L’intercepteur traducteur est un spécialiste qui travaille au sein du renseignement de l’armée de l’air. Il recherche et intercepte des trafics électromagnétiques émis dans différentes langues.
L’intercepteur traducteur de l’armée de l’air participe à l’élaboration du renseignement dans les états-majors et postes de commandement, en recherchant et interceptant des trafics d’origine électromagnétique dans différentes langues.Il les analyse et en apprécie l’information véhiculée. Puis, il la situe en perspective avec d’autres sources de renseignements, dans le but d’élaborer des dossiers pertinents à destination du renseignement militaire.
Il peut être affecté à Évreux en escadron d’interception de signaux électroniques, mais aussi à Orléans en escadron électronique sol, ou bien encore en poste outre-mer.
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Conditions d’accès
L’intercepteur traducteur de l’armée de l’air dépend du corps des sous-officiers. À ce titre, les conditions exigées pour postuler sont les suivantes :
- être titulaire d’un baccalauréat général, technologique ou professionnel ;
- avoir moins de 24 ans ;
- être en règle vis-à-vis de ses devoirs civiques (recensement et JDC).
Formation
Une fois la candidature enregistrée, le candidat est soumis à des tests de capacité comprenant une évolution sportive, un inventaire médical, des tests psychotechniques et des entretiens de motivation.
Pour certains métiers requérant des prédispositions particulières, le candidat peut être soumis à des tests spécifiques complémentaires.
En cas de réussite à tous ces tests et ayant reçu l’aval de la commission d’intégration, le candidat intègre l’armée de l’air et signe son contrat (5 ans sauf cas particuliers). Il suit une formation rémunérée comprise entre 47 et 113 semaines en fonction de la langue de travail (durées données à titre indicatif) :
La formation comprend 3 phases :
- une formation militaire : à l’École des sous-officiers de Rochefort, l’élève apprend les rudiments de la vie de militaire durant 16 semaines : maniement des armes, règles de discipline générale, renforcement musculaire, progression sportive…Ces quatre mois sont validés par la remise d’un certificat d’aptitude militaire (CAM).
- stage de qualification élémentaire de 31 à 103 semaines. Cette formation se conclut par l’obtention du brevet élémentaire de spécialiste et par une affectation sur une base aérienne par ordre de mérite.
- une phase d’application en unité de 6 mois
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Le sous-officier a la possibilité d’évoluer de 2 manières distinctes.
- En tant que sous-officier : son ancienneté, ajoutée à divers examens et stages qui jalonnent sa carrière, l’amène à progresser en grade et responsabilités.
De simple technicien, il passera chef d’équipe, puis chef de service et enfin cadre de maîtrise.
- En accédant au corps des officiers : soit par concours interne en début de carrière (après 2 à 3 ans en poste de sous-officier), soit plus tardivement sur dossier et entretien (après une quinzaine d’années en tant que sous-officier).
Ce changement statutaire donne lieu à de plus grandes responsabilités et permet d’accéder à une échelle de rémunération plus importante.
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Élève sous-officier (aviateur) : 1 322 € net
Sergent (13ème mois de service) : 1 377 € net
Sergent-chef (10 ans de service) : 1 577 € net
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L’école militaire de Dar El-Beïda, est l’actuelle Académie royale militaire (ARM), fut créée par le général Lyautey fin 1918 à Meknès, c’est une institution militaire unique en Afrique du Nord, elle a été créée dans le but d’intégrer les élites marocaines proches de l’administration coloniale, notamment les fils de Caïds et de Pachas marocains outre les personnalités de notables influentes de la société. Cette institution avait contribué à la formation de cadres militaires dans divers disciplines et administratifs (Caïd, Pachas, Khalifas ).
La formation des militaires des Forces armées françaises et des services de soutien s’effectuent dans :
- des écoles de formation initiale;
- des écoles d’application;
- des centres de formation.
Ces écoles et ces centres forment des militaires de tous grades en formation initiale ou en formation continue.
Niveau de formation
Type de formation
CAP formation initiale en traduction des messages de l’armée de l’air
CAP d’application sur terrain en traduction des messages de l’armée de l’air
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