Catégorie : Protéger l’environnement

[td_block_text_with_title custom_title= »introduction : » header_color= »#7030a0″]

L’animateur qualité, sécurité et développement durable ou qualité sécurité environnement met tout en oeuvre pour que la qualité des produits fabriqués par son entreprise soit cohérente avec la politique définie et respectueuse de l’environnement.

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L’animateur ou l’animatrice QSDD (aussi appelé QSE) met en œuvre la politique choisie par l’entreprise dans les domaines de la qualité, de la prévention & sécurité et du développement durable.

Il est garant de l’application de la réglementation, des normes et des protocoles.

Il développe les démarches qualité, sécurité et environnementales sur les chantiers, rédige les procédures et assure leur suivi. Il propose des solutions d’amélioration et forme éventuellement le personnel.

Il suit, analyse les différentes données de contrôle et crée des tableaux de bord réguliers afin de mettre à disposition les informations nécessaires à la poursuite de la qualité.

Il s’assure de la bonne résolution des porblèmes constatés et opére une veille des installations, pratiques…

Ses principaux interlocuteurs sont les clients, les agents, les responsables opérationnels, la direction, les organismes extérieurs.

L’animateur QSDD a des compétences techniques, de méthode et présente des qualités relationnelles et pédagogiques.

On retrouve l’animateur QSDD dans de nombreuses entreprises relevant des secteurs de l’automobile, de l’aéronautique, de l’industrie agroalimentaire/cosmétique/pharmaceutique…

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Le diplôme requis pour cet emploi est  le :

Bac + 2
– BTS MSE – métiers des services à l’environnement
– DUT QLIO – qualité logistique industrielle et organisation
– BTS QIABI – qualité dans les industries alimentaires et les bio-industries
– BTS pilotage des procédés
– BTS BIOAC – Bioanalyses et contrôles
– BTS Europlastics et composites
– BTS métiers de la chimie

Bac + 3
– LP gestion de la production industrielle spécialités : animateur qualité, management de la qualité, qualité securité environnement, logistique et qualité,
– LP management des organisation spécailité qualité sécurité environnement
– LP mécanique spécialité innovation et développement industriel en génie mécanique
– LP métiers de la qualité
– Titre d’Animateur Qualité, Sécurité, Santé au travail et Environnement

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L’animateur QSDD peut évoluer vers des fonctions d’encadrement (responsable assurance qualité…). Avec une formation complémentaire d’ingénieur ou un master possibilité d’évoluer vers la fonction d’ingénieur qualité, qualiticien…

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[td_block_text_with_title custom_title= »introduction : » header_color= »#7030a0″]

L’ambassadeur du tri est chargé d’informer et de motiver les habitants d’un lieu afin de valoriser la collecte sélective des déchets.

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L’ambassadeur du tri ou animateur tri a pour mission d’informer et d’inciter les habitants d’une commune à trier correctement leurs déchets (recyclable, verre, papier, encombrant, pile et encre) dans le cadre d’une politique environnementale et de développement durable.

Pour cela, il organise des réunions pour expliquer les principes et les enjeux de la collecte sélective pour l’environnement (élus, personnel des collectivités locales, associations, commerçants).

Il joue aussi un rôle de médiation entre les usagers et les élus en faisant remonter les problèmes et les questions. Il identifie les problèmes et engage des actions correctives.

L’animateur du tri sélectif anime des stands dans des lieux publics, il réalise des animations dans les écoles et peut participer à la rédaction d’un « Guide du tri » qui sera distribué lors de ses visites.

Il assure le suivi qualitatif et quantitatif des déchets valorisables, collecte des données et les analyse (tonnages, rendements, erreurs de tri) et actualise la base de données informatique.

L’ambassadeur du tri a le sens du contact et de l’écoute. Il a une aptitude à communiquer et à convaincre. La prise de parole ne lui fait pas peur. Il doit aussi savoir faire des propositions et les réaliser (création de jeux éducatifs par exemple).

L’ambassadeur du tri travaille en équipe sous la responsabilité d’un coordonnateur de collecte sélective. Il se déplace beaucoup, en faisant du porte à porte notamment.

L’ambassadeur du tri travaille pour des collectivités territoriales (syndicat intercommunal), dans des réseaux et structures de développement local, dans des entreprises de récupération et de recyclage.

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Il n’y a pas encore de diplôme spécifique mais un parcours de formation assuré par des sociétés comme Ecoemballages, Adelphe ou LetM qui ont passé des conventions avec le ministère de l’Ecologie. Cependant le CAP Propreté de l’environnement urbain – collecte et recyclage peut être utile.

Ce diplôme peut se préparer en dehors du système scolaire, en alternance ou en formation professionnelle.

Certaines collectivités locales ont passé des accords de formations avec des associations spécialisées.

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L’ambassadeur du tri n’a pas vocation à exercer très longtemps son activité.

S’il poursuit dans le secteur de l’environnement, il doit évoluer vers des postes d’agent d‘exploitation ou de responsabilité dans le recyclage, la gestion des déchets, l’animation et la médiation, le technico-commercial.

Il devra alors passer le bac pro hygiène, propreté et stérilisation ou gestion des pollutions et protection de l’environnement.

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Environ 1 480,27 €

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[td_block_text_with_title custom_title= »introduction : » header_color= »#7030a0″]

L’agent vérificateur d’appareils extincteurs installe, vérifie et entretient les matériels de protection et de lutte contre les incendies, dans les administrations, les entreprises et tout type d’organisme.

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L’agent vérificateur d’appareils extincteurs recueille les besoins du client, le conseille (besoins, catalogue, prix) dans l’achat d’extincteurs ou de robinet d’incendie armé (lance). Il l’informe sur l’utilisation de l’appareil et lui remet des notices explicatives.

Il le conseille sur l’opportunité de procéder à une remise en état ou au remplacement de l’appareil quand il en a déjà un.

L’agent prépare les matériels d’intervention, configure le système d’appareils, le met en place aux endroits adaptés (faciles d’accès) puis installe la signalétique correspondante.

Il fait de la maintenance préventive (date de péremption, défaut) et corrective. Il procède aux réparations éventuelles sur place ou en atelier. Il note la date de son passage sur l’appareil.

Il planifie ses activités (tournées). Il traite aussi la documentation technique, administrative (assurance), commerciale et financière.

L’agent vérificateur d’appareils extincteurs travaille dans une entreprise de fabrication et de distribution d’extincteurs (marques), une entreprise de maintenance qui a passé un contrat avec des clients (usines, sociétés, associations, administrations, collectivités locales…).

L’agent vérificateur d’appareils extincteurs travaille en général seul. Il se déplace beaucoup chez les clients. Il soulève et manipule des charges. Il peut porter une tenue de travail au nom de la société qui l’emploie.

L’agent vérificateur est rigoureux et appliqué dans son travail. Il respecte les normes d’installation et les règles de sécurité. Il  travaille en autonomie.

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Formation de base : CAP agent vérificateur d’appareils extincteurs (proposé dans 4 établissements seulement).

En formation initiale, en alternance ou en formation professionnelle.

Le permis de conduire est souvent demandé.

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Environ 1 480,27 € + des primes

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L’agent de propreté spécialisé est un professionnel de l’entretien et du nettoyage de pointe dans des espaces sensibles et/ou à risques : milieu médical et paramédical, agroalimentaire, laboratoires de recherche et d’essais, nucléaire…

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A partir d’une formation de base appliquée aux locaux et surfaces du commun (bureaux, écoles, mairie…) cet agent de propreté spécialisé exerce dans des secteurs nécessitant compétences et moyens particuliers :

– en milieu médical et paramédical, il réalise des prestations d’entretien courant dans des établissements de santé (hôpitaux, cliniques, cabinets médicaux…). Il effectue des opérations de décontamination et de désinfection et s’occupe du nettoyage dans les zones à risques ou sensibles (bloc opératoire…). Il doit donc respecter des protocoles très stricts.
Il utilise du matériel professionnel tel que chariot de bio-nettoyage, brumisateur, lamelles gélosées… Il porte des équipements de protection spécifiques.

– dans l’agro-alimentaire, il est responsable de la propreté des lignes de production. Il a la charge de l’entretien courant des locaux, ainsi que des procédés de décontamination et de désinfection. Selon ses zones d’intervention (laboratoires de transformation…) il met en œuvre des opérations de bio nettoyage répondant à des normes et des protocoles adaptés. En plus des opérations de nettoyage et de désinfection, l’agent de nettoyage industriel peut avoir à démonter et remonter des machines intervenant dans le processus de production.

– en ultra propreté, il réalise des opérations de décontamination, de désinfection et de bio-nettoyage en respectant des protocoles très stricts. Lorsqu’il travaille sur des sites très spécifiques et notamment des environnements à empoussièrement contrôlé (salle blanche), il peut procéder à des actes de décontamination chimique et microbiologique (laboratoires, sites nucléaires…).
Il utilise des produits et matériels professionnels tel que des canons à mousse…

Le métier reste physique (station debout, déplacements) malgré l’utilisation de machines. Les horaires sont décalés (en dehors des horaires de travail normaux). Les interventions, de nuit, les jours fériés et les dimanches  sont des caractéristiques du métier. Il en est tenu compte , sous forme de primes, dans la rémunération.

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Le métier d’agent de propreté spécialisé nécessite une formation et un diplôme :

– CAP agent de propreté et d’hygiène,
– CQP agent machiniste, (certificat organisé par la branche)
– CQP chef d’équipe propreté,
– Bac pro hygiène propreté et stérilisation,
– BTS MSE – métiers des services à l’environnement.

L’alternance est un bon moyen d’insertion professionnelle.

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L’agent d’entretien et d’assainissement participe au nettoyage de notre environnement public ou privé quotidien. Il entretient toutes sortes d’installations et d’équipements collectifs : canalisations d’eaux usées, fosses septiques, égouts…

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L’agent d’assainissement entretient et nettoie les canalisations d’assainissement et les ouvrages qui s’y rapportent sous la voirie et dans les sations de relèvement et de pompage. Il intervient chez des particuliers et des industriels, dans les immeubles et sur des sites de l’espace public.

Il visite le réseau et assure à la fois une maintenance préventive et corrective de ce dernier. Il détecte les anomalies, procède au curage et au nettoyage, débouche les canalisations, colmate les fuites et effectue les réparations courantes des ouvrages et des réseaux d’assainissement.

Dans certaines circonstances, il est amené à utiliser du matériel d’inspection vidéo (caméra vidéo fixée sur un chariot robotisé et filoguidé qui transmet des images sur un écran de contrôle). De plus en plus, il utilise des techniques de pointe pour contrôler l’état des réseaux enterrés et procéder aux travaux d’entretien (moyens mécaniques et hydrauliques haute pression). L’utilisation de ce type d’engins et de matériaux a évidemment modifié la qualification de l’égoutier à « l’ancienne ».

Il opère aussi dans les tunnels d’autoroutes ou de voies de chemin de fer, dans les stations d’épuration et sur des pistes d’aéroport. En cas de marée noire, il participe au nettoyage des côtes polluées et à la remise en état des sites urbains après une inondation.

Certaines de ses interventions ne sont pas sans risques. Des règles strictes de sécurité sont à observer. Il travaille le plus souvent debout avec des allées et venues continuelles, de multiples manutentions et des déplacements de matériels et de produits de nettoyage sont à réaliser.

Ses horaires ne sont pas toujours réguliers. Il peut travailler la nuit, le dimanche et les jours fériés dans le cadre d’une astreinte (service de garde, interventions urgentes…).

L’agent d’assainissement opère le plus souvent en équipe et en extérieur en milieux obscurs. Contraintes climatiques, bruit et odeurs, font partie de ses conditions de travail.

Il porte des vêtements de protection, des gants, un casque, un masque, des chaussures et un équipement de sécurité adapté aux tâches à effectuer.

Il est employé le plus souvent par des sociétés privées de distribution et d’assainissement d’eau, parfois par des collectivités locales

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On peut accéder à ce métier sans diplôme en se formant auprès d’un employeur.  Il existe néanmoins des diplômes professionnels accessibles en formation initiale ou dans le cadre de l’apprentissage :

– CAP d’agent d’assainissement et de collecte des déchets liquides spéciaux,
– CAP plombier,
– CAP installateur sanitaire,
– CAP AQE – agent de la qualité de l’eau,
– Bac pro GPPE – gestion des pollutions et protection de l’environnement.

Pour intégrer la fonction publique territoriale : concours de catégorie C

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Avec une formation complémentaire (type BTS : métiers de l’eau, Gémeau, métiers des services à l’environnement), un agent d’entretien et d’assainissement peut accéder à un poste de chef d’équipe, de conducteur des travaux ou d’opérateur matériel vidéo.

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Pour un débutant, il est rémunéré au Smic (1 480,27 € brut mensuel). Des primes peuvent exister en fonction de la nature de l’employeur et des travaux de nettoyages exceptionnels liés à l’actualité (catastrophe, accident…).

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L’agent de nettoyage urbain assure l’entretien et le nettoyage de tout l’espace public en ville : chaussées, rues, trottoirs, parcs de stationnement, jardins publics, passages piétons souterrains, places de marchés découverts… et aussi le mobilier urbain.

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L’agent d’entretien et de nettoyage public enlève les petits déchets tels que papiers, mégots, emballages, sacs en plastique, mais aussi, à la saison, les feuilles mortes et autres déchets végétaux.

Il utilise pelles et balais traditionnels et désormais des outils mécaniques : soufflettes pour entasser les feuilles en un seul endroit, caninettes pour ramasser les crottes de chien, appareils de lavage à l’eau sous pression.

L’entretien des toilettes publiques et le nettoyage du mobilier urbain lui incombe également : abribus, panneaux de signalisation, bancs, corbeilles, supports publicitaires. Pour effacer les tags et enlever l’affichage sauvage des murs et des monuments publics, il utilise un kärcher.

En cas d’intempéries neigeuses ou de verglas, l’agent de nettoyage urbain répand le sel ou le sable sur les chaussées. En cas de besoin, il utilise un chasse-neige.

Le plus souvent il travaille par équipe de deux, mais il opère parfois seul. Par définition, sa tâche s’effectue à l’extérieur, soumis aux intempéries, aux odeurs et au bruit des engins qu’il utilise.

Il est au contact du public (usagers des transports, promeneurs, etc.) et doit respecter des normes de sécurité et d’hygiène (emploi de produits, machines, port de vêtements professionnels).

Il peut être employé municipal ou salarié d’une entreprise de nettoyage privée liée par contrat à à une collectivité territoriale.

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Le métier est accessible sans diplôme. Le statut d’agent de collectivités territoriale s’obtient sans concours (1er grade du corps de catégorie C), le concours est exigé pour les grades supérieurs.

L’insertion professionnelle est toutefois plus aisée avec :

– CAP PEUCR – propreté de l’environnement urbain – collecte et recyclage,
– Bac pro HPS – hygiène propreté stérilisation- (orienté vers les industries agroalimentaires et secteur hospitalier),
– Bac pro GPPE – gestion des pollutions et protection de l’environnement (orienté vers la propreté urbaine, la gestion de déchets, l’assainissement et le nettoyage des sites industriels, la dépollution).

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Environ les 1 480,27 €

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L’acousticien est un spécialiste de la lutte contre les nuisances sonores, urbaines, industrielles, routières ou liées aux transports. Sa mission : rechercher des solutions contre ce type de pollution.

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Le travail de l’acousticien membre d’un bureau d’études ou de contrôle porte sur plusieurs secteurs d’activité : bâtiment et travaux publics, transports aériens et terrestres, services, industrie métallurgique et énergétique, électroacoustique, sonorisation. Les problèmes soulevés sont chaque fois différents.

L’acousticien se déplace obligatoirement sur le terrain (usine, immeuble, chantier d’autoroute, de chemin de fer, lieux culturels et musicaux…), où il définit comment construire en tenant compte du relief et des particularités du site.

Il réalise des mesures acoustiques et vibratoires, réalise des simulations à l’aide de codes numériques d’acoustique et de vibrations puis analyse le résultats de ces dernières. À partir de ces analyses, l’acousticien conçoit des procédés techniques pour réduire le niveau sonore, voire le supprimer.

Il préconise l’utilisation de tels ou tels matériaux en fonction de leurs propriétés isolantes, il jauge les distances et identifie précisément ce qui est ou deviendra source de bruit.

Dans le bâtiment, il possède la haute main sur la partie acoustique, en relation avec l’architecte, pour faire respecter les normes et les règlements : cloisons, isolations, suspensions…

Avant le démarrage du chantier, il effectue des mesures à proximité des riverains pour vérifier que le projet respectera la réglementation. Pour toutes ces opérations, il utilise, outre des appareils de mesure, l’informatique. Il doit par ailleurs savoir interpréter des résultats parfois contradictoires !

En tant que professionnel du son, l’acousticien peut aussi être requis pour la construction de salles de spectacle dont il optimisera l’acoustique.

La condition de travail la plus gênante est bien sûr le bruit des lieux que l’acousticien visite en permanence. Pour cette raison, la surdité le guette, et l’utilisation de protections spéciales est donc indispensable.

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Les formations vont de bac + 2 (niveau technicien) à bac + 5 (niveau ingénieur).

niveau bac + 2 : BTS, DUT ou L2 dans les secteurs de la mesure, de la physique, de la mécanique, de la maintenance, du génie civil, de la thermique et de l’énergie (BTS MP, BTS GEII, BTS GMP, BTS audovisuel, BTS batiment, BTS domotique…), CQPM technicien en acoustique et vibration (IUT Saint-Etienne).

niveau bac + 3 :
– licence pro mécanique acoustique et vibration (formation la plus spécialisée dans le domaine de l’acoustique) parcours acoustique environnementale et bâtiment ou acoustique et vibrations industrielles .
– licence en physique et en électronique

niveau bac + 5
– master acoustique spécialité acoustique et fluides parcours acoustique physique (Paris Diderot), ingénierie acoustique ou Traitement du signal, informatique et acoustique musicale (UPMC), Acoustique ATVE/Acoustique MR AC/Acoustique MR CAM (Le Mans), ingénierie acoustique (Paris Saclay), acoustique physique/capteurs et CND par ultrasons (ESPCI Paris tech), recherche acoustique (Marseille)…
– master of science in acoustics (Université de Lyon / Ecole centrale de Lyon),
– diplôme d’ingénieur : génie mécanique filière acoustique et vibrations industrielles (UTC).

L’acousticien qui souhaite poursuivre sa formation peut intégrer une école d’ingénieur en mécanique filière acoustique ou parcours éclairage, acoustique, thermique.

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Entre 1 600 € et 2 300 € brut par mois et ça peut aller jusqu’à 3 500 € et plus pour un chercheur très pointu en acoustique.

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