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Protéger l'environnement

Ingénieur d’études des milieux naturels

[td_block_text_with_title custom_title= »introduction : » header_color= »#7030a0″]

L’ingénieur d’études des milieux naturels est un gestionnaire de la nature. Il développe, adapte et applique des techniques de suivi des évolutions positives ou négatives des milieux naturels. Il met en œuvre les solutions aux problèmes posés.

[td_block_text_with_title custom_title= »Description métier : » header_color= »#7030a0″]

L’ingénieur d’études des milieux naturels et ruraux est un observateur scientifique et un homme d’action.

Il réalise des campagnes de recueil de données et des enquêtes sur le terrain (flore, faune, sols, irrigation…). Il analyse les données recueillies, les met en forme pour les exposer. Pour ce faire, il gère des bases de données.

C’est l’ingénieur qui rédige les rapports d’études et d’expériences ainsi que les notes techniques. Pour exécuter les études et les travaux qui en résultent, il passe des accords de partenariat avec différents acteurs de terrain : professionnels, institutions, collectivités locales…

Il a la responsabilité de la gestion des moyens techniques et humains et des budgets pour accomplir les études nécessaires. Il assure une veille technologique et scientifique dans sa spécialité.

Le travail pédagogique de l’ingénieur est important car il est souvent chargé d’enseignement, de formation et d’encadrement d’étudiants, ainsi que d’expertises techniques.

Autres aspects de ce métier de responsable : animation d’équipe et définition du rôle de chacun au sein de cette dernière.

Ce métier s’exerce dans trois cadres différents : bureau, laboratoire de recherche et d’enseignement et sur le terrain en extérieur. Des déplacements, parfois de longue durée, ne sont pas à exclure.

[/td_block_text_with_title][td_block_text_with_title custom_title= »Études / Formation : » header_color= »#7030a0″]

Les connaissances exigées de l’ingénieur des milieux naturels concernent l’écologie, l’agronomie, la génétique des populations, la biologie animale et/ou végétale, mais aussi les techniques d’échantillonnage et de méthodes d’analyse de données.

Les ingénieurs d’études des milieux naturels et ruraux sont formés dans les Écoles nationales supérieures d’agronomie :
– ENSAT
– ENSAIA,
– AgroParisTech,
– Agrocampus Ouest,
– Montpellier SupAgro.

La voie la plus directe est celles des concours maths sup/maths spé. Certains concours d’entrée peuvent être accessibles aux titulaires de BTSA ou de diplômes universitaires niveau licence ou master dans le secteur des sciences du vivant, biologie, écologie …

A signaler : au niveau technicien il existe un bac technologique STAV (sciences et technologies de l’agronomie et du vivant). Il permet de préparer un BTSA.

[/td_block_text_with_title][td_block_text_with_title custom_title= » Évolutions : » header_color= »#7030a0″]

Les connaissances exigées de l’ingénieur des milieux naturels concernent l’écologie, l’agronomie, la génétique des populations, la biologie animale et/ou végétale, mais aussi les techniques d’échantillonnage et de méthodes d’analyse de données.

Les ingénieurs d’études des milieux naturels et ruraux sont formés dans les Écoles nationales supérieures d’agronomie :
– ENSAT
– ENSAIA,
– AgroParisTech,
– Agrocampus Ouest,
– Montpellier SupAgro.

La voie la plus directe est celles des concours maths sup/maths spé. Certains concours d’entrée peuvent être accessibles aux titulaires de BTSA ou de diplômes universitaires niveau licence ou master dans le secteur des sciences du vivant, biologie, écologie …

A signaler : au niveau technicien il existe un bac technologique STAV (sciences et technologies de l’agronomie et du vivant). Il permet de préparer un BTSA.

[/td_block_text_with_title][td_block_text_with_title custom_title= »Salaires » header_color= »#7030a0″]

Selon le type de structure pour laquelle il travaille (bureau d’études techniques, collectivité territoriale, agence de développement, ministère de l’Agriculture…), l’ingénieur débutant est rémunéré aux alentours de 2 500/3 000 € par mois.

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L’école nationale supérieure d’agronomie et des industries alimentaires (ENSAIA) est l’une des 210 écoles d’ingénieursfrançaises habilitées à délivrer un diplôme d’ingénieur.

Elle est située à Vandœuvre-lès-Nancy près de Nancy en Meurthe-et-Moselle. L’ENSAIA est une composante de l’Université de Lorraine et fait partie du collégium Institut national polytechnique de Lorraine.

L’Institut des sciences et industries du vivant et de l’environnement1, dit AgroParisTech, est l’une des 210 écoles d’ingénieurs françaises habilitées à délivrer un diplôme d’ingénieur. Il est placé sous la tutelle du ministère de l’Agriculture.

AgroParisTech est membre du pôle de recherche et d’enseignement supérieur UniverSud Paris, du pôle ParisTech et de la conférence des grandes écoles et bénéficie du statut de grand établissement1.

AgroParisTech est un des membres fondateurs du centre technologique Paris-Saclay. Le déménagement de ses bâtiments sur le campus du plateau de Saclay est prévu pour 2019

L’Institut national d’études supérieures agronomiques de Montpellier, plus couramment appelé Montpellier SupAgro, est un établissement français d’enseignement supérieur et de recherche scientifique en agronomie. C’est l’une des 210 écoles d’ingénieurs françaises habilitées à délivrer un diplôme d’ingénieur.

Membre de la conférence des grandes écoles, il revêt la forme juridique d’établissement public à caractère scientifique, culturel et professionnel (EPSCP) de type grand établissement. Son siège est à Montpellier et il dispose de plusieurs autres sites dont l’un est à Florac.

Niveau de formation

Bac + 5

Type de formation

Ingénieur d’études des milieux naturels et ruraux

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Protéger l'environnement

Technicien de mesure de la pollution

[td_block_text_with_title custom_title= »introduction : » header_color= »#7030a0″]

Le technicien de mesure de la pollution, qui entretient les appareils d’enregistrement de données atmosphériques, est au cœur des enjeux actuels liés à la santé publique. Il a des compétences scientifiques, techniques, électrotechniques et électroniques.

[td_block_text_with_title custom_title= »Description métier : » header_color= »#7030a0″]

Le technicien de mesure de la pollution travaille sous l’autorité de l’ingénieur d’études responsable.

Jouissant d’une bonne condition physique car en permanence sur le terrain, il travaille seul pour surveiller le fonctionnement des stations de captage situées en différents endroits de la ville ou de sa périphérie.

Il effectue la surveillance de la qualité de l’air mais il réalise aussi des contrôles de qualité des rejets d’installations industrielles dans les cours d’eau et les nappes phréatiques.

Fort de sa maîtrise de tous les instruments de mesures des stations, il détecte la présence éventuelle de substances toxiques dans l’air. Il relève périodiquement les mesures indiquées par les instruments.

Relevés et mesures sont faits avec beaucoup de rigueur et de minutie. Il transmet ensuite toutes les données recueillies afin de les faire valider par l’ingénieur d’études. Il peut entrer ces données sur ordinateur pour traitement.

La synthèse des résultats peut déclencher une alerte des pouvoirs publics si les taux de pollution dépassent les normes de sécurité préétablies.

Il faut toutefois noter que la nature de la fonction de technicien change avec l’évolution technique des stations. En effet, la transmissions des données est généralement automatique grâce à des modems informatiques. Ainsi le technicien fait moins de mesures ou de relevés mais davantage de maintenance des appareils (entretien et pannes).

AIRPARIF, en Ile-de-France emploie une cinquantaine de personnes. Mais dans la plupart des villes, les stations de mesures fonctionnent avec des équipes plus réduites voire seulement un ingénieur et un technicien.

[/td_block_text_with_title][td_block_text_with_title custom_title= »Études / Formation : » header_color= »#7030a0″]

Plusieurs formations technologiques peuvent être prise en compte pour exercer ce métier :

– Bac STL spécialités biotechnologies ou sciences physiques et chimiques en laboratoire,
– BTS FED – fluides, énergies, domotique
– DUT MP – mesures physiques,

D’autres diplômes sont aussi intéressants :
– BTS métiers de l’eau,
– BTSA Gemeau (gestion et maîtrise de l’eau),
– BTS MSE – métiers des services à l’environnement,
– BTS BIOAC – bio analyses et contrôles,
– BTS biophysicien de laboratoire,
– BTS biotechnologies,
– BTS métiers de la chimie,

– DUT QLIO – qualité, logistique industrielle et organisation, option métrologie et gestion de la qualité,
– DUT génie biologique, option génie de l’environnement,
– DUT HSE – hygiène, sécurité, environnement.

[/td_block_text_with_title][td_block_text_with_title custom_title= » Évolutions : » header_color= »#7030a0″]

Le technicien de mesure de la pollution peut évoluer vers un poste de responsable de secteur pour encadrer 2 à 3 techniciens. Avec de l’expérience, il peut devenir chef du service exploitation et plus rarement, chargé d’études.

[/td_block_text_with_title][td_block_text_with_title custom_title= »Salaires » header_color= »#7030a0″]

Le revenu mensuel brut d’un technicien de mesure débutant est de 1 600 €. Les salaires peuvent être un peu différents en fonction de la structure pour laquelle il travaille.

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La formation BTS Gemeau forme des techniciens supérieurs en gestion et maîtrise de l’eau employés par des entreprises privées ou publiques très diverses. Dans tous les cas, il fait appel à des compétences spécifiques au domaine de l’eau.

Contenu de la formation BTS FLUIDES-ÉNERGIES-DOMOTIQUE (FED) OPTION A : GÉNIE CLIMATIQUE ET FLUIDIQUE

Enseignement professionnel, technologique :
– le stockage, la transformation et la distribution de l’énergie et des fluides.
– Échanges thermiques et transferts de masse. Régulation, contrôle et réglage.
– Réglementation thermique, conception et rénovation énergétique des bâtiments.
– Étude du chauffage solaire, pompe à chaleur, cogénération, chauffage gaz et bois.
– Étude des bâtiments, bilans thermiques, étude de systèmes, simulation thermique dynamique.
– Réaliser les plans, les dimensionnements, les devis.
– Techniques graphiques : les règles du dessin technique, DAO.
– L’hygiène, normes et réglementation qualité, sécurité, environnement, développement durable.
– Communication commerciale.
– Gestion économique et technique d’une opération.
– Conduite de projet et rapport d’activités.

Enseignement général : expression française, anglais, mathématiques, sciences physiques.

La formation permet aux diplômés de devenir des préventeurs ouverts aux aspects techniques et réglementaires dans les domaines de la santé et sécurité au travail et de la sécurité et protection de l’environnement.

Le lien de la formation :http://www.iut.fr/formations-et-diplomes/les-specialites/dut-hygiene-securite-environnement.html

Niveau de formation

Bac / BTS / DUT / BTSA

Diplôme obtenu après formation

Diplôme Technicien de mesure de la pollution

 

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Protéger l'environnement

Zoologiste

[td_block_text_with_title custom_title= »introduction : » header_color= »#7030a0″]

Le zoologiste est un spécialiste des animaux, de leur organisme et de leurs modes de vie. Il est souvent expert d’une classe d’animaux (mammifères, reptiles…) ou d’un comportement (reproduction, alimentation…). En général, il est aussi enseignant-chercheur.

[td_block_text_with_title custom_title= »Description métier : » header_color= »#7030a0″]

Le zoologiste travaille à la croisée de plusieurs secteurs et disciplines : agriculture, environnement, aquaculture, écologie, anatomie comparée… Qu’il dresse l’inventaire de la faune d’un territoire donné ou qu’il procède au recensement de diverses espèces, le zoologiste travaille d’abord sur le terrain, puis en laboratoire.

Le zoologiste observe les animaux dans leur écosystème, analyse leurs relations avec l’environnement, leurs comportements, leur nutrition. Il participe aux projets de protection d’une ou plusieurs espèces, en alertant éventuellement les autorités publiques sur le danger d’une extinction animale.

Il capture parfois des spécimens pour les étudier en laboratoire ou les filmer.

En laboratoire, le zoologiste fait des expérimentations de substances nouvelles destinées à l’industrie pharmaceutique, alimente et assure la maintenance de bases de données informatisées, crée des répertoires et rédige des rapports pour alimenter des publications scientifiques.

Dans un parc zoologique, le zoologiste a un rôle d’information important auprès du public. Pour des musées, il rédige des documents didactiques.

Le zoologiste ne travaille jamais seul, mais toujours au sein d’une équipe de spécialistes proches de sa discipline : vétérinaires , chimistes, ingénieurs forestiers, botanistes …

[/td_block_text_with_title][td_block_text_with_title custom_title= »Études / Formation : » header_color= »#7030a0″]

Pour devenir zoologiste, un master (bac + 5) constitue le bagage minimum. Exemples :

  • master pro biologie de la reproduction (Tours)
  • master pro éthologie appliquée (Paris 13),
  • master recherche sciences de la Terre et environnement, écologie – Biodiversité et écosystèmes continentaux (Bordeaux).

Les qualifications professionnelles des zoologistes impliquent donc de longues études, en université de sciences (sciences du vivant, de la nature et de la vie), en école vétérinaire ou en école d’ingénieurs spécialisée (biologie, élevage, zootechnie…).

Après un master de recherche, les étudiants ont tout intérêt à préparer un doctorat en zoologie (bac + 8) dans l’une des nombreuses spécialisations. Coordonnées des universités sur le site du ministère de l’enseignement supérieur.

On peut par ailleurs envisager une formation en école d’ingénieurs spécialisée en biologie, biochimie, biotechnologie, océanologie, voire agronomie.

À noter : les écoles vétérinaires présentent des certificats (CEAV) et des spécialisations (DESV) susceptibles d’intéresser de futurs zoologistes.

[/td_block_text_with_title][td_block_text_with_title custom_title= » Évolutions : » header_color= »#7030a0″]

En tant qu’enseignant, un zoologiste peut franchir les différentes étapes de la carrière universitaire.

Dans un laboratoire public ou privé, il peut accéder à des responsabilités et diriger une équipe pluridisciplinaire de chercheurs.

[/td_block_text_with_title][td_block_text_with_title custom_title= »Salaires » header_color= »#7030a0″]

Entre 2 000 € et 2 500 € brut par mois pour un jeune chargé de recherche salarié du CNRS.

Les autres salaires dépendent beaucoup du poste occupé et de l’organisme employeur.

[/td_block_text_with_title]

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Avec le master d’éthologie nous proposons une formation originale au niveau national et régional, articulée sur une première année (M1) commune aux deux spécialités « Éthologie fondamentale et comparée » (recherche) et « Éthologie appliquée » (professionnel).

L’université Paris 13 est la seule université en France à offrir actuellement 2 spécialités à l’intérieur de la mention du MASTER. Il s’agit là d’une longue tradition puisque ces formations de master ont fait suite, en 2004 (année d’ouverture du M1) et 2005 (M2), au DEA de biologie du comportement, créé par P. Jaisson en 1981 et au DESS d’éthologie appliquée et chronobiologie du comportement, créé par C.Baudoin en 1991. Chaque année environ 100 candidatures à la première année de master nous parviennent de toutes les régions françaises, de pays francophones et de pays européens. Cette formation s’appuie sur le laboratoire d’éthologie expérimentale et comparée, LEEC, dirigé par M. Rödel et sur un réseau d’une vingtaine de laboratoire d’accueil (UMR, EA, INRA) en France et à l’étranger. Cette spécialité a pour but de répondre à une demande de formation de spécialistes de niveau Bac+5 dans différents domaines d’application des sciences du comportement (gestion des élevages, écotourisme, conception et utilisation des produits industriels, environnement et handicaps, etc.).

Le diplômé du Master Sciences, Technologies, Santé, mention STEE, spécialité Biodiversité et Ecosystèmes Continentaux, a acquis une formation en biologie et écologie générales, physiologie animale et végétale, systématique. Il a une bonne connaissance des fonctionnements des écosystèmes terrestres et aquatiques continentaux. Suivant sa spécialisation de 2ème année il développera des compétences en ingénierie de l’eau et expertise des milieux aquatiques ou des écosystèmes terrestres, forestiers ou agricole.

Le diplômé du Master Sciences, Technologies, Santé, mention STEE, spécialité Biodiversité et Ecosystèmes Continentaux, est polyvalent et possède une culture scientifique pluridisciplinaire.

Des experts en biologie de la reproduction animale qui pourront s’intégrer dans les domaines suivants : la reproduction des animaux d’élevage (INRA, UNCEIA, coopératives), la gestion de la faune sauvage et de la biodiversité (MNHN, zooparcs, organisations internationales /WWF), la toxicologie de la reproduction (industrie pharmaceutique, toxicologie directive REACH, toxicologie environnementale) et la reproduction humaine (centre de PMA, laboratoires INSERM, centre hospitaliers, industrie pharmaceutique).

Niveau de formation

Bac + 5

Type de formation

Diplôme Zoologiste

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Protéger l'environnement

Urbaniste

[td_block_text_with_title custom_title= »introduction : » header_color= »#7030a0″]

Les missions de l’urbaniste sont très diversifiées : plan local d’urbanisme, plan d’occupation du sol, élaboration de programme d’aménagement de lotissements, voies de circulation ou revalorisation d’un quartier, préparation d’une étude sur le tracé du TGV, ville nouvelle.

[td_block_text_with_title custom_title= »Description métier : » header_color= »#7030a0″]

L’urbaniste est avant tout un chef d’orchestre. En effet, si dans un projet d’urbanisme, différents spécialistes interviennent, il est celui qui, en plus de sa formation de départ (architecture, géographie), a acquis une compétence spécifique lui permettant de relier les intervenants.

Il coordonne, synthétise les compétences des uns et des autres. Son travail exige une vision globale : il doit penser à tout et garder à l’esprit que la ville est une dynamique où les éléments interagissent les uns sur les autres.

Si, dans ce métier, comme en architecture, le dessin constitue la base du travail, la ressemblance s’arrête là. L’urbaniste agit avant l’architecte ou l’ingénieur, qu’il s’agisse de réhabiliter, développer ou protéger un lieu ou un espace. Il programme et prépare, alors que l’architecte construit.

L’urbaniste peut intervenir en amont comme en aval du projet. Il collecte et interprète les données (économiques, démographiques, foncières, sociologiques, physiques et spatiales). Il participe au processus de décision et aux discussions des politiques d’aménagement.

Dans les collectivités locales, il conseille, propose et organise des projets concernant le milieu social. Il assume un rôle de médiateur entre les décideurs et les associations de défense des usagers, la décision finale étant du ressort des élus.

Parallèlement à ce travail, l’urbaniste mène des travaux de recherche. Il assure très souvent des enseignements à l’université ou dans les écoles d’architecture.

Les urbanistes sont fonctionnaires du ministère de l’Ecologie, du Développement durable, des Transports et du Logement.

Dans le secteur privé ils exercent à titre libéral, rémunérés sur honoraires. Certains travaillent en tant que salariés dans des bureaux d’études.

[/td_block_text_with_title][td_block_text_with_title custom_title= »Études / Formation : » header_color= »#7030a0″]

Les urbanistes sont issus des écoles d’architecture agrémentées de spécialisations en urbanisme, de formations universitaires niveau master ou doctorat ou d’écoles d’ingénieurs.

A l’université, un 1er niveau se concrétise avec une licence :
– licence pro aménagement du territoire et urbanisme (diverses spécialités possibles :  développement territorial et maîtrise de projets Nantes/Clisson/La Roche sur Yon, urbanisme environnement géomatique Paris 1, aménagement des territoires urbains à Paris Est)
– Licence géographie et aménagement Grenoble, Lyon 2, Lille

Le master pro urbanisme et aménagement proposé notamment à Lille, Montpellier, Brest, Aix Marseille offre de nombreuses spécialités (aménagement et valorisation des patrimoines, construction et aménagement durable, environnement conception de projets développement des territoires, urbanisme et projet de territoire…)

Pour s’informer : www.enseignementsup-recherche.gouv.fr rubrique enseignement supérieur/universités

Plusieurs écoles d’ingénieurs préparent aussi à ce métier, soit avec le diplôme qu’elles délivrent, soit en préparant à un mastère spécialisé (MS) post-diplôme (MS management urbain et immobilier à l’ESSEC, MS aménagement et maîtrise d’ouvrage urbaine / AMUR à l’Ecole des Ponts ParisTech).

Un concours est nécessaire pour être recruté comme urbaniste par l’État. Deux options coexistent : urbanisme et aménagement, d’une part, et patrimoine architectural urbain et paysages, d’autre part.

[/td_block_text_with_title][td_block_text_with_title custom_title= » Évolutions : » header_color= »#7030a0″]

Dans le secteur public, après quelques années d’exercice du métier, les urbanistes peuvent évoluer vers un poste comme celui de directeur de l’urbanisme d’une municipalité.

Dans le privé, les situations et les statuts sont très disparates. Ils peuvent exercer à titre libéral, dans de gros cabinets d’architectes, faire des vacations et des études à la demande. Un réseau relationnel dense est le bienvenu.

[/td_block_text_with_title][td_block_text_with_title custom_title= »Salaires » header_color= »#7030a0″]

Le salaire salaire moyen mensuel est de 2 800 € brut par mois.

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L’IGARUN est une Unité de Formation et de Recherche. Elle a donc deux missions : assurer une formation pour les étudiants et participer à la production d’un savoir nouveau par la recherche scientifique.

L’objectif de la formation est de former des étudiants souhaitant entrer dans la vie professionnelle à l’issue de cette troisième année de formation universitaire.
La licence professionnelle prépare aux métiers de l’urbanisme et de l’aménagement qui peuvent s’exercer à différentes échelles et dans des structures variées (publiques, parapubliques, privées, associatives).

Niveau de formation

Bac +3


Type de formation

Diplôme Urbaniste

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Protéger l'environnement

Technicien traitement déchets

[td_block_text_with_title custom_title= »introduction : » header_color= »#7030a0″]

Le technicien du traitement des déchets est chargé de l’organisation de la collecte, du transport, du traitement et de la valorisation des déchets produits par les ménages et les entreprises industrielles.

[td_block_text_with_title custom_title= »Description métier : » header_color= »#7030a0″]

Les activités du technicien traitements déchetsvarient en fonction de sa formation et du secteur dans lequel il travaille.

Selon le déchet à traiter (plastique, papier, ferraille…) les techniques de recyclage ne sont pas identiques.

Ses tâches principales concernent l’organisation du tri des déchets afin d’éliminer ou de recycler le maximum de déchets et le prélèvement d’échantillons pour effectuer des analyses.

Enfin, il a en charge le recyclage proprement dit comme, par exemple, la transformation du plastique en granulés ou fibres synthétiques, le papier en cellulose ou encore le mâchefer, fruit de la combustion des déchets, en produit de remblaiement des routes.

Il dirige une équipe et est placé sous l’autorité de l’ingénieur. Selon ses activités, le technicien du traitement de déchets travaille en milieu ouvert (station d’épuration) ou fermé (laboratoire de décharge ou usine de traitement des déchets).

D’une manière générale l’activité s’exerce dans un environnement qui peut comporter des nuisances comme le bruit, la poussière, les odeurs. Parfois l’utilisation de produits toxiques ou dangereux exige le respect strict de consignes de sécurité.

Les lieux de travail sont des usines de retraitement des déchets, des laboratoires, des décharges, des sociétés de collecte rattachés à de grandes entreprises privées (Sita-Suez Environnement, Veolia Propreté) ou de grosses entreprises industrielles qui ont leur propre système de retraitement.

[/td_block_text_with_title][td_block_text_with_title custom_title= »Études / Formation : » header_color= »#7030a0″]

Le niveau bac +2 est le minimum requis pour exercer le métier de technicien en traitement de déchets.

niveau bac
– bac pro GPPE – gestion des pollutions et protection de l’environnement,

niveau bac +2
– BTS MSE – métiers des services à l’environnement,
– BTS métiers de la chimie,
– BTS bioanalyses et contrôles,
– DUT HSE – hygiène, sécurité, environnement,
– DUT chimie options chimie analytique et de synthèse ou chimie des matériaux,
– DUT génie biologique option génie de l’environnement,
– DUT génie industriel et maintenance,
– DUT MP – mesures physiques,
– DUT génie chimique génie des procédés option bio-procédés
– DEUST environnement et déchets (université de Lille 1),

bac +3 (formations accessibles après un bac + 2 en Chimie, Biologie, Biochimie, Génie chimique et Matériaux) :
– licence pro protection de l’environnement spécialités gestionnaire des déchets la Roche sur Yon, traitement des eaux et des déchets Nevers, gestion et traitement des déchets – GTD Besançon ;
– licence pro traitement et valorisation des déchets industriels Toulouse 3 ;
– licence pro génie des procédés pour l’environnement spécialités rudologie gestion et traitement des déchets Le Havre, écotechnologie pour la dépollution Perpignan,
– licence pro gestion et traitement des pollutions et des déchets – GESTRAPOL Reims ;
– licence pro métiers de la protection et de la gestion de l’environnement spécialités maitrise des pollutions et nuisances Lyon 1, gestion et protection de l’environnement : air, eau, sols, déchets – spécialité Gestion eau, sol, sous-sol (GEOSSOL) Lille 1 etc…
– diplôme européen d’études supérieures – DEES techniques d’environnement à l’Ecole supérieure d’agriculture La Raque

[/td_block_text_with_title][td_block_text_with_title custom_title= » Évolutions : » header_color= »#7030a0″]

Après plusieurs années d’expérience professionnelle, le technicien du traitement des déchets peut devenir responsable d’un service ou d’un site.

Par le biais de la formation continue, il peut également devenir ingénieur.

[/td_block_text_with_title][td_block_text_with_title custom_title= »Salaires » header_color= »#7030a0″]

Dans la fonction publique territoriale un technicien du traitement des déchets débute à environ 1 467 € brut par mois. Confirmé il peut envisager de gagner aux alentours de 2 100 €.

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L’université de Lille, sciences et technologies (nom officiel : Lille-I; antérieurement université des sciences et technologies de Lille – USTL) est l’une des trois universités publiques de la Métropole Européenne de Lille (France) aux côtés de Lille 2 et de Lille 3. Elle est située sur un campus de 110 hectares et d’une centaine de bâtiments appelé Cité scientifique qu’elle partage avec de nombreuses autres écoles (École centrale de Lille, Télécom Lille, Chimie Lille, Polytech’ Lille) et lieux scientifiques (CNRS, IEMN, IFSTTAR, ITEEM, ICARE/CNES, Météo France etc.) à Villeneuve-d’Ascq, ville technopole du sud-est de la métropole lilloise.

L’université Toulouse-III-Paul-Sabatier, (nom d’usage : Université Paul-Sabatier ; abréviation : UPS) est une université française, située à Toulouse.

Elle a été constituée en 1969, à la suite de la loi Faure, par le regroupement des facultés de sciences et les facultés médicales de l’ancienne université de Toulouse, elle-même fondée en 1229. En 2007, elle fait partie du PRES Université de Toulouse en tant que membre fondateur.

Spécialisée dans les sciences, les technologies, les disciplines de la santé et les sports, elle compte aujourd’hui plus de 30 000 étudiants.

L’université Toulouse-III a été classée 1re parmi les meilleures universités françaises pour trouver un emploi. Cette étude a été publiée le  par le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, et interprétée par le journal Le Monde.

L’Institut Universitaire de Technologie (IUT) de Reims-Châlons-Charleville est une composante de l’Université de Reims Champagne-Ardenne.

L’IUT de Reims-Châlons-Charleville est situé sur trois sites comme son nom l’indique.

À Reims, l’IUT est situé rue des Crayères (Chemin des rouliers) sur le campus Moulin de la Housse. À Châlons-en-Champagne, l’IUT est localisé Chaussée du Port. À Charleville-Mézières, l’IUT est situé 4, boulevard Jean-Delautre. Il accueille plus de 2800 étudiants et stagiaire de la formation continue

Niveau de formation

Bac + 2, Bac + 3

Type de formation

Diplôme Technicien traitement déchets

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Catégories
Protéger l'environnement

Technicien de la qualité de l’eau

[td_block_text_with_title custom_title= »introduction : » header_color= »#7030a0″]

Le technicien de la qualité de l’eau analyse, mesure et contrôle en laboratoire les qualités chimiques, physiques et biologiques de l’eau. Il est ainsi au premier rang pour détecter impuretés et pollutions, quelles qu’en soient l’origine et la nature

[td_block_text_with_title custom_title= »Description métier : » header_color= »#7030a0″]

Le technicien de la qualité de l’eau ne travaille pas que sur l’eau destinée à la consommation humaine (eau potable), même si cette dernière est au centre de ses préoccupations.

Il analyse aussi les eaux du milieu naturel (nappes phréatiques), les eaux usées, les eaux de baignade (mer, rivières, lacs) et les eaux de piscine.

Il reçoit dans son laboratoire les échantillons recueillis par les préleveurs d’eau, puis suit un protocole d’analyse très précis. Lors de l’analyse, il note les mesures indiquées par ses instruments (dont il a la charge de l’entretien et de la maintenance).

Il enregistre ces données sur ordinateur et les transmet à l’ingénieur responsable du labo pour validation des paramètres, avant l’envoi des résultats à l’instance qui a commandité l’analyse : services de l’État, Région, Département, entreprise de distribution d’eau, organisme professionnel ou autre laboratoire.

S’il travaille pour une entreprise distributrice d’eau de consommation humaine, le technicien de la qualité de l’eau peut être amené à jouer les « goûteurs d’eau ».

Dans un laboratoire qui travaille sur les eaux destinées à la consommation humaine, il peut avoir à assurer, en cas de pollution accidentelle, une astreinte due à l’urgence de la situation.

[/td_block_text_with_title][td_block_text_with_title custom_title= »Études / Formation : » header_color= »#7030a0″]

Plusieurs formations débouchant sur des diplômes nationaux permettent d’accéder au métier :

Niveau CAP :
– CAP AQE – agent de la qualité de l’eau (pour un poste d’opérateur),

Niveau bac :
– Bac pro GPPE (gestion des pollutions et protection de l’environnement),
– bac pro PCE (procédés chimiques et métiers de l’eau),
– bac STL biotechnologies,

Niveau bac +2 :
– BTS métiers de l’eau,
– BTSA Gémeau – gestion et maîtrise de l’eau,
– BTS PLP – pilotage des procédés,
– DUT GB ABB – génie biologique, option analyses biologiques et biochimiques.

Niveau bac +3 et bac +5
– licences professionnelles :  ingénierie et exploitation des eaux (Saint Etienne…), gestion et exploitation des eaux, usage et qualité des eaux (Poitiers), ressources et qualité de l’eau (UPMC), métiers de l’eau (Amiens), aménagement et gestion des ressources en eau (Pau), technologie et gestion des eaux de santé (Bordeaux), gestion de l’eau en milieu rural (Caen), alimentation en eau potable (Annecy), gestion durable des eaux pluviales dans l’aménagement des espaces (Paris Saclay), eau ressources et infrastructures (Nancy1), animateur technique de bassin versant (Le Havre), eau et environnement (Corte), gestion des eaux urbaines et rurales (Strasbourg),  gestion et optimisation des systèmes de traitement de l’eau (Aix-Marseille 3)…
– master : gestion de l’environnement et valorisation des ressources naturelles (Corte), systèmes aquatiques et gestion de l’eau (Paris Diderot), gestion et ingénierie pour le traitement des eaux et pour l’environnement (Limoges), gestion de l’eau et développement local (Nanterre), eau (Montpellier), gestion et traitement des eaux, des sols et des déchets (ParisTech), sol eau environnement (UPMC)…

[/td_block_text_with_title][td_block_text_with_title custom_title= » Évolutions : »][td_block_text_with_title custom_title= »Salaires » header_color= »#7030a0″]

De 1 700 € à 1 900 € brut par mois pour un technicien de la qualité de l’eau (épuration, qualité, gestion) débutant. Environ 3 200 € en fin de carrière.

[/td_block_text_with_title]

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Le titulaire du Bac Pro Gestion des Pollutions et Protection de l’Environnement est conducteur de chantier dans le secteur de l’assainissement, de la propreté urbaine et du nettoyage des sites industriels et naturels pollués.
Il est également chef d’équipe dans le secteur de la collecte, du tri, du traitement, de la valorisation et de l’élimination des déchets.
Il mène des actions préventives et correctives en matière de protection de l’environnement.

La formation BTS Gemeau forme des techniciens supérieurs en gestion et maîtrise de l’eau employés par des entreprises privées ou publiques très diverses. Dans tous les cas, il fait appel à des compétences spécifiques au domaine de l’eau.

Niveau de formation

Cap , Bac + 2, Bac + 3, Bac + 5

Type de formation

Diplôme technicien de la qualité de l’eau

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Catégories
Protéger l'environnement

Rudologue

[td_block_text_with_title custom_title= »introduction : » header_color= »#7030a0″]

Le rudologue est un spécialiste de la gestion des déchets industriels ou ménagers et de la prévention des pollutions de l’environnement. Il analyse la production des déchets et des nuisances qu’ils génèrent, et propose des solutions.

[td_block_text_with_title custom_title= »Description métier : » header_color= »#7030a0″]

La société moderne produit toujours plus de déchets (industriels, ménagers, hospitaliers, nucléaires…) qu’il faut traiter, détruire ou enfouir dans le respect de normes européennes ou internationales de plus en plus sévères. Ainsi, la surveillance, le traitement et la valorisation des déchets constituent une activité en fort développement.

Le rudologue (du latin rudus, décombres) met en place des méthodes et des moyens de protection afin de réduire la fréquence des risques environnementaux, surveille les installations (stations de désintoxication, centres d’enfouissement, stations d’épuration…) pouvant provoquer des nuisances sur l’environnement.

Le rudologue fait respecter les règles de protection de l’environnement, effectue des prélèvements sur des sites suspects et les analyse.

Il est surtout employé par les organismes publics ou parapublics de protection de l’environnement et par les collectivités territoriales. Dans l’industrie, seules les entreprises très polluantes ou productrices de déchets à risque font appel à un rudologue.

Le rudologue travaille sur le terrain, mais aussi en laboratoire. Sur le terrain, son activité peut comporter des déplacements et des astreintes, et il peut être exposé aux pollutions et aux nuisances écologiques. En laboratoire, ses horaires sont souvent réguliers, sauf en cas d’accident ou de catastrophe.

Pour exercer ce métier, il faut avoir des compétences techniques et scientifiques pointues, mais aussi d’excellentes dispositions pour communiquer et convaincre.

[/td_block_text_with_title][td_block_text_with_title custom_title= »Études / Formation : » header_color= »#7030a0″]

Pour devenir rudologue, il faut avoir suivi une formation scientifique universitaire ou d’ingénieur. Les BTS, BTSA  et DUT des domaines de la biologie, de la chimie, de la géologie, de l’environnement et de la maîtrise de l’eau conduisent à des postes de technicien supérieur.

Les licences professionnelles et les masters sont nombreux dans le domaine de l’environnement et de sa protection. Exemples :

  • Licences pro rudologie gestion et traitement des déchets (Le Havre), traitement des eaux et dépollution des sols (Chambéry), traitement des eaux et des déchets (Dijon), traitement et valorisation des déchets industriels (Toulouse 3)…
  • Masters :  rudologie ingénierie des déchets (Le Mans), géorisques (Paris Est), gestion et évolution de la biodiversité (Lille 1), gestion des risques dans les collectivités territoriales (Lyon 3), risques majeurs (Corte), sécurité qualité hygiène et environnement – SQHE (Reims), management environnemental déchets énergie – MEDE (Reims), management des risques industriels et environnementaux (Iriaf Poitiers)
  • master pro : sciences et ingénierie de l’environnement (Angers), gestion et traitement des eaux, des sols et des déchets (ParisTech, école nationale supérieure des Mines de Paris, AgroParisTech), urbanisme durable et gestion des déchets (univesrité du Maine – Le Mans)

Les diplômes délivrés par les écoles d’ingénieurs sont nombreux également. Exemples :

  • Écoles de chimie : ENSC Montpellier, Mulhouse, Rennes, ParisTech, Lille
  • Cesi (Centres d’études supérieures industrielles) : Angoulême, Bordeaux, Lyon, Nancy, Pau, Rouen…
  • Écoles d’ingénieurs ayant des spécialités en environnement : Agrocampus Angers et Rennes, Engees Strasbourg, École de Cherbourg, Isa Lille, EBI Cergy-Pontoise, Isara Lyon…
Possibilité de poursuivre vers un mastère spécialisé (MS) gestion traitement et valorisation des déchets (GEDE)

[/td_block_text_with_title][td_block_text_with_title custom_title= » Évolutions : » header_color= »#7030a0″]

Un rudologue évolue surtout en fonction de sa spécialité de départ. Néanmoins, en raison de l’exigence croissante quant à la qualité de vie et des efforts à accomplir sur l’environnement, la profession devrait connaître une évolution dans les années à venir, si bien que les évolutions professionnelles devraient se diversifier. Alors que le métier employait 900 personnes en 2013, on estime que ce métier d’avenir devrait employer 5 000 personnes en 2025.

[/td_block_text_with_title][td_block_text_with_title custom_title= »Salaires » header_color= »#7030a0″]

Entre 1 500 € et 1 700 € net par mois pour un rudologue technicien employé par une municipalité. À partir de 1 800 € en entreprise privée ou dans un organisme spécialisé.

À partir de 2 200 € brut par mois pour un ingénieur rudologue.

[/td_block_text_with_title]

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L’institut universitaire de technologie du Havre est rattaché à l’Université du Havre.

Il s’étend sur deux sites : Caucriauville en ville haute et Frissard en ville basse.

La licence professionnelle en Protection de l’Environnement TEDS, permet d’accéder à des métiers dans les activités d’aide à la conception, de mise en œuvre et de gestion d’ouvrages techniques ou de services d’exploitation, dans le cadre du service aux collectivités, dans les domaines de l’hydraulique urbaine et rurale, du traitement des eaux, de la dépollution des sols.

Les  objectifs  du  Master  Biodiversité, Écologie  et  Évolution  se  déclinent  en  deux  composantes majeures :

(1) Former des étudiants capables d’appréhender les mécanismes qui interviennent dans l’évolution de la biodiversité et le fonctionnement des écosystèmes continentaux et marins naturels ou dégradés.

(2) Initier les étudiants aux méthodes d’analyse, d’ingéniérie écologique et d’intervention dans les domaines de l’écologie, de  l’océanologie,  de  la  biologie  et  génétique  de  la  conservation,  du  diagnostic  des pollutions et de la remédiation

Niveau de formation

Bac + 3, Bac + 5

Type de formation

Diplôme Rudologue

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Protéger l'environnement

Qualiticien

[td_block_text_with_title custom_title= »introduction : » header_color= »#7030a0″]

Dans l’entreprise, le qualiticien met en place un système de contrôle qualité, de la réception des matières premières au stockage des produits finis et livrés. Il met en œuvre les procédures qui assurent la qualité et la conformité des produits aux normes.

[td_block_text_with_title custom_title= »Description métier : » header_color= »#7030a0″]

Par définition, la démarche qualité est transversale à plusieurs secteurs d’activité, industries et services : automobile, aéronautique, industrie pharmaceutique, agroalimentaire, transports, assurances, etc.

Le qualiticien travaille en lien avec la direction et tous les responsables opérationnels : recherche-développement, méthodes, production. Son rôle est central pour obtenir une certification et un label qualité pour les produits de l’entreprise.

À toutes les étapes du processus, il met en place les points de contrôle des produits. Il veille même au bon entretien des machines et des locaux.

En cas de besoin, il élabore des opérations correctives ou préventives. S’il y a défaillance, il en analyse les causes, il propose des solutions et les communique aux services concernés.

Au stade du produit fini, il en valide la conformité au cahier des charges initial, aux normes et aux réglementations.

Ingénieur, responsable ou technicien de contrôle qualité, le qualiticien est aussi un pédagogue. Il sensibilise le personnel au souci de qualité, d’hygiène et de sécurité. Il vérifie que les consignes diffusées pour chaque poste de travail sont applicables et efficaces. Il les corrige si nécessaire.

C’est également l’interlocuteur de l’administration (répression des fraudes…) et des clients (suivi des réclamations).

Le qualiticien effectue surtout un travail de bureau et de laboratoire. Néanmoins, ses visites de terrain et des sites de production font aussi partie de son quotidien.

[/td_block_text_with_title][td_block_text_with_title custom_title= »Études / Formation : » header_color= »#7030a0″]

Un niveau bac + 3 minimum est requis. La plupart des qualiticiens en charge d’encadrement et de responsabilités ont toutefois un diplôme d’ingénieur, un master ou un mastère spécialisé. Un niveau bac + 2 ou bac + 3 permet de démarrer comme animateur QSDD / animateur QSE ou cadre technique d’hygiène et de sécurité ou de l’environnement.

Bac + 3
– LP gestion de la production industrielle spécialités : animateur qualité, management de la qualité, qualité securité environnement
– LP management des organisation spécailité qualité sécurité environnement
– LP mécanique spécialité innovation et développement industriel en génie mécanique
– LP métiers de la qualité
– Titre d’Animateur Qualité, Sécurité, Santé au travail et Environnement

niveau bac + 4
– titre de responsable qualité environnement sécurité (Aforp)

niveau bac + 5
– 
master : manager QSE Toulouse ; QSE UPEM, université de Franche Comté ; qualité, environnement et sécurité dans l’industrie et les services Université de Bourgogne ; MQSE Essym, Paris Saclay
– diplôme d’ingénieur.

Beaucoup d’écoles d’ingénieurs forment également des étudiants dans ce domaine : CESI, ENSAM, AgroParisTech, Bordeaux sciences agro, les ITI (institut des techniques d’ingénieur de l’industrie), l’UTC, etc. La plupart délivrent des mastères spécialisés dans un ou plusieurs secteurs de production où les suivis « qualité » sont devenus indispensables, voire obligatoires.

Tous les établissements recrutent sur concours maths sup/spé. Certains sont ouverts aux titulaires de BTS, de licences ou de master pro.

[/td_block_text_with_title][td_block_text_with_title custom_title= » Évolutions : » header_color= »#7030a0″]

Le technicien qualité ou qualiticien peut après quelques années d’expérience évoluer vers un poste de responsable qualité, responsable environnement, responsable de la gestion des risques, chargé d’études en organisation.

Au sein d’un cabinet de consultant, il peut vendre des prestations qualité à des entreprises clientes.

[/td_block_text_with_title][td_block_text_with_title custom_title= »Salaires » header_color= »#7030a0″]

Selon le niveau de qualification, le secteur d’activité et l’entreprise, le salaire mensuel d’un qualiticien débutant est compris dans la fourchette 1 500 / 2 400 € brut. Un ingénieur confirmé responsable d’une équipe gagne entre 3 800 et 4 000 € par mois.

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L’IAE Toulouse École de management (en anglais : Toulouse University Graduate School of Management) est une composante de l’université Toulouse 1 Capitole. L’établissement propose des diplômes de Licences et de Masters en gestion, en formation initiale et continue dans les principales disciplines du management. Il fait partie du réseau des IAE.

L’IAE Toulouse offre également un programme de doctorat en sciences de gestion1, qui permet la formation d’enseignants-chercheurs.

L’université de Franche-Comté est une université française, établissement public à caractère scientifique, culturel et professionnel (EPSCP), dont le siège est à Besançon. Elle est constituée de 12 composantes qui sont soit des unités de formation et de recherche (UFR), plus communément appelées facultés, soit des écoles ou des instituts. Elle est répartie sur cinq sites : Besançon(Doubs), Belfort (Territoire de Belfort), Montbéliard (Doubs), Vesoul (Haute-Saône) et Lons-le-Saunier (Jura).

Elle comprend 27 unités de recherche qui sont soit des équipes d’accueil (EA), soit des unités mixtes avec de grands organismes de recherche comme le CNRS et l’INSERM, et parfois avec d’autres établissements d’enseignement supérieur. Les thématiques de recherche se répartissent entre les sciences de l’environnement et de la santé, les sciences de l’homme et de la société et les sciences pour l’ingénieur et sciences fondamentales.

Niveau de formation

Bac +3, Bac +4, Bac +5

Type de formation

– LP gestion de la production industrielle spécialités : animateur qualité, management de la qualité, qualité securité environnement
– LP management des organisation spécailité qualité sécurité environnement
– LP mécanique spécialité innovation et développement industriel en génie mécanique
– LP métiers de la qualité
– Titre d’Animateur Qualité, Sécurité, Santé au travail et Environnement
– titre de responsable qualité environnement sécurité (Aforp)

– master : manager QSE ; qualité, environnement et sécurité dans l’industrie et les services Université de Bourgogne ; MQSE Essym, Paris Saclay
– diplôme d’ingénieur.

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Protéger l'environnement

Pédologue

[td_block_text_with_title custom_title= »introduction : » header_color= »#7030a0″]

Le pédologue, technicien ou ingénieur, est un spécialiste des sols, de leur formation, de leurs propriétés physico-chimiques, de leur évolution et de leur utilisation. L’environnement, l’agriculture ou encore l’urbanisme sont des domaines qui font appel à ses diagnostics.

[td_block_text_with_title custom_title= »Description métier : » header_color= »#7030a0″]

Scientifique de la nature, le pédologue travaille sur la structure des sols. Il est soit technicien supérieur, soit ingénieur.

Il pratique des fouilles, des sondages et des prélèvements par carottage : il découpe une « tranche pédologique ».

Il analyse ensuite ces prélèvements pour connaître l’état du sol en profondeur, son évolution et les impacts éventuels qu’auront sur lui des aménagements agricoles, des cultures ou des équipements urbains envisagés. Il mesure par exemple la capacité d’un sol à absorber la pluie. Le pédologue fait donc un travail préventif sur l’environnement.

Le pédologue classe ensuite le sol étudié et en numérise les données avant de les communiquer à ses commanditaires (État, collectivités locales, aménageurs, urbanistes, sociétés agronomiques…).

Il a aussi une mission de conseiller, voire d’avertisseur, qui attire l’attention sur d’éventuels problèmes de pollution industrielle ou agricole dans l’environnement (épandages, nitrates, produits phytosanitaires, rejets…).

Le pédologue travaille pour des organismes de recherche du type INRA (Institut national de la recherche agronomique) ou pour des organismes professionnels agricoles, cabinets ou bureaux d’études spécialisés en agriculture ou environnement.

L’important travail d’analyse en laboratoire se déroule toujours en équipe (chimistes, biologistes…).

Une grande part du métier de pédologue exige de bonnes capacités rédactionnelles.

[/td_block_text_with_title][td_block_text_with_title custom_title= »Études / Formation : » header_color= »#7030a0″]

Dans le domaine de la pédologie, les formations sont nombreuses et concernent tous les niveaux : technicien, ingénieur ou chercheur. Elles impliquent diverses disciplines scientifiques et professionnelles : géologie, chimie-biochimie-biologie, agronomie, hydrologie…

Technicien :

– BTS géologie appliquée
– DUT mesures physiques, option contrôles physico-chimiques
– DUT génie biologique, option génie de l’environnement.

Ces formations peuvent intéresser les titulaires d’un bac scientifique (S)  ou technologique comme le bac STAV (sciences et technologies de l’agronomie et du vivant).

Bac +3 :
– licence pro Biologie / Ecologie /Sciences de la Vie, de la Terre et de l’Univers (SVTU)  Picardie,

Bac + 5 :

– master pro sciences de la vie, spécialité géologie appliquée à Besançon…
– master hydrogéologie, hydrobiogéochimie, hydropédologie à Rennes,
– master hydrologie et transfert à Poitiers,
– master hydrologie, sols et environnement à Avignon,
– master sciences de la terre, spécialité hydrogéologie et sols (Paris 11)….

Ingénieur :

– Diplôme d’ingénieur de l’Institut national polytechnique de Bordeaux – ENS en environnement, géoressources et ingénierie du développement durable,
– Diplôme d’ingénieur de l’Institut polytechnique LaSalle Beauvais spécialité sciences de la terre et environnement

[/td_block_text_with_title][td_block_text_with_title custom_title= » Évolutions : » header_color= »#7030a0″]

Le technicien supérieur pédologue peut devenir ingénieur.

L’ingénieur pédologue est amené à prendre des responsabilités d’animation et de direction d’équipe. Il peut aussi se spécialiser dans un domaine particulier d’investigation, comme l’hydrogéologie.

[/td_block_text_with_title][td_block_text_with_title custom_title= »Salaires » header_color= »#7030a0″]

Entre 1 600 € et 1 700 € brut par mois pour un technicien pédologue débutant, en fonction du type d’organisme. Le salaire d’un ingénieur est bien supérieur et dépend de son entreprise et de sa mission.

[/td_block_text_with_title]

[td_block_ad_box spot_id= »sidebar »][td_block_3 category_id= »76″ ajax_pagination= »next_prev »]

L’université de Franche-Comté est une université française, établissement public à caractère scientifique, culturel et professionnel (EPSCP), dont le siège est à Besançon. Elle est constituée de 12 composantes qui sont soit des unités de formation et de recherche (UFR), plus communément appelées facultés, soit des écoles ou des instituts. Elle est répartie sur cinq sites : Besançon(Doubs), Belfort (Territoire de Belfort), Montbéliard (Doubs), Vesoul (Haute-Saône) et Lons-le-Saunier (Jura).

Le Master Hydrogéologie et Transferts de l’Université de Poitiers a pour but de former des hydrogéologues de haut niveau, capables d’appréhender les problèmes environnementaux majeurs de gestion des ressources en eaux souterraines aussi bien sur le plan quantitatif (optimisation de l’implantation des forages, détermination des volumes prélevables) que qualitatif (qualité physico-chimique des eaux, problème de pollutions, …).

Niveau de formation

BTS / DUT / Bac+3 / Bac+5

Type de formation

– BTS géologie appliquée
– DUT mesures physiques, option contrôles physico-chimiques
– DUT génie biologique, option génie de l’environnement.

Ces formations peuvent intéresser les titulaires d’un bac scientifique (S)  ou technologique comme le bac STAV (sciences et technologies de l’agronomie et du vivant).

– licence pro Biologie / Ecologie /Sciences de la Vie, de la Terre et de l’Univers (SVTU)  Picardie

– master pro sciences de la vie, spécialité géologie appliquée à Besançon…
– master hydrogéologie, hydrobiogéochimie, hydropédologie à Rennes,
– master hydrologie et transfert à Poitiers,
– master hydrologie, sols et environnement à Avignon,
– master sciences de la terre, spécialité hydrogéologie et sols (Paris 11)….

– Diplôme d’ingénieur de l’Institut national polytechnique de Bordeaux – ENS en environnement, géoressources et ingénierie du développement durable,
– Diplôme d’ingénieur de l’Institut polytechnique LaSalle Beauvais spécialité sciences de la terre et environnement

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Protéger l'environnement

Paysagiste

[td_block_text_with_title custom_title= »introduction : » header_color= »#7030a0″]

Le paysagiste est un architecte des espaces verts. Il est chargé d’aménager et de mettre en valeur l’environnement, des jardins et espaces verts.

[td_block_text_with_title custom_title= »Description métier : » header_color= »#7030a0″]

Le paysagiste n’est pas un jardinier même s’il maîtrise les techniques aratoires ou connaît sur le bout des doigts les végétaux et plantes.

Son rôle est avant tout de concevoir des amégements paysagers en fonction d’un cahier des charges. Il a bien entendu le sens de l’esthétique et réféchit aux solutions possibles (essences, matériaux naturels ou artificiels..) en fonction du site qu’il doit transformer (nature du site, finalité, climat…)

Il réalise ses travaux de conception via des logiciels de DAO mais aussi à l’aide de croquis, dessins et esquisses et élabore en parallèle les documents techniques et administratifs nécessaires à la mise en oeuvre de son projet.

Sur des chantiers importants, il peut travailler en collaboration avec des architectes, des urbanistes, des ingénieurs. Pour l’aménagement d’espaces verts, la réalisation ou la réhabilitation de jardins privés, il fait appel à des spécialistes des végétaux ou de la flore, (pépinériste, horticuleur) ainsi qu’à des jardiniers pour effectuer les travaux. Selon la société qui l’emploie on peut lui demander d’assurer le suivi ou non des travaux.

Le paysagiste côtoie les clients les plus divers. Il traite avec des personnes privées, des fonctionnaires, des représentants de sociétés sportives, de grandes régies immobilières ou de sociétés d’autoroutes.

Ses activités varient évidemment au fil des saisons. Il s’agit vraiment d’un métier « vert » tenant compte des rythmes de la nature, un métier de l’environnement.

La vision du paysagiste doit également être portée dans le temps et exige de bonnes connaissances professionnelles. Un jardin aménagé aujourd’hui va se développer au cours des années à venir, exigeant un entretien approprié.

Le paysagiste doit également veiller au fait que ses créations soient toujours appréciées de nombreuses années plus tard.

Les qualités nécessaires sont une excellente connaissance du monde végétal, des connaissances mécaniques, un sens de l’initiative et de la minutie et du soin. Mais le paysagiste doit aussi savoir négocier et avoir des connaissances juridiques et administratives souvent nécessaires pour le montage de ses projets

Salarié ou à son compte le paysagiste travaille rarement seul.

[/td_block_text_with_title][td_block_text_with_title custom_title= »Études / Formation : » header_color= »#7030a0″]

Pour devenir paysagiste, un niveau bac + 3 minimum est requis :

– DE paysagiste (accès par concours après un bac + 2). Proposé dans 5 écoles : école nationale supérieure du paysage Marseille, Versailles ; école nationale supérieure d’architecture et de paysage Bordeaux, Lille ; école nationale supérieure de la nature et du paysage Bois,
– Diplôme de l’école supérieure d’architecture des jardins,
– Diplôme d’ingénieur spécialisé en paysage (Institut supérieur des sciences agronomiques, agroalimentaires, horticoles et du paysage de Rennes, institut supérieur d’agriculture Lille, Antibes).

Attention : la profession ne bénéficie d’aucune protection et n’importe qui peut s’équiper sommairement et s’intituler « jardinier-paysagiste », « entrepreneur de jardin » sans même être titulaire d’un diplôme de formation professionnelle adéquate.

[/td_block_text_with_title][td_block_text_with_title custom_title= » Évolutions : » header_color= »#7030a0″]

Après plusieurs années d’expérience professionnelle et des formations complémentaires, le technicien paysagiste peut devenir architecte paysagiste ou ingénieur paysagiste. Cette dernière qualification exige des connaissances scientifique de très haut niveau.

[/td_block_text_with_title][td_block_text_with_title custom_title= »Salaires » header_color= »#7030a0″]

Les salaires ou les revenus sont très variables selon que le paysagiste est salarié ou à la tête de sa propre entreprise.

Un artisan qui débute à son compte gagne selon le volume de ses commandes (environ 1 900€)

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L’École supérieure d’architecture des jardins et des paysages (ESAJ) est une école privée française fondée en 1966 ayant le statut d’association loi 1901. Elle forme des architectes paysagistes et accueille 120 élèves répartis sur quatre années d’étude. Depuis l’année 2003, le diplôme bénéficie d’une accréditation en master européen de « Concepteur en paysage ». Cette école est reconnue par la Fédération française du paysage (FFP) ainsi que par la Fédération européenne du paysage (EFLA).

L’Institut national supérieur des sciences agronomiques, agroalimentaires, horticoles et du paysage, nom d’usage AGROCAMPUS OUEST, est l’une des 210 écoles d’ingénieurs françaises habilitées à délivrer un diplôme d’ingénieur.

Constitué de deux centres, l’un implanté à Rennes et l’autre à Angers, l’établissement revêt la forme d’un établissement public à caractère scientifique, culturel et professionnel (EPSCP) de type grand établissement. Il est placé sous la tutelle du ministre chargé de l’agriculture.

L’ISA Lille est l’une des 210 écoles d’ingénieurs françaises habilitées à délivrer un diplôme d’ingénieur.

C’est un établissement privé d’enseignement supérieur à vocation agricole, sous contrat avec le ministère de l’Agriculture.

Créé en 1963, à la demande des organisations professionnelles agricoles, l’ISA Lille a une double mission : la formation et la recherche. L’ISA Lille forme des ingénieurs pour la Terre et le vivant. L’ISA Lille est une des quatre écoles faisant partie de la fédération des écoles supérieures d’ingénieurs en agriculture (FESIA).

Niveau de formation

Bac + 2

Type de formation

– Diplôme de l’école supérieure d’architecture des jardins,
– Diplôme d’ingénieur spécialisé en paysage .

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Catégories
Protéger l'environnement

Jardinier

[td_block_text_with_title custom_title= »introduction : » header_color= »#7030a0″]

Dans le secteur public ou privé, le jardinier crée, aménage et entretient parcs, jardins et terrains de sport. La préparation des sols, les semis, les plantations de fleurs ou d’arbustes et l’entretien des allées et des pelouses sont de son ressort.

[td_block_text_with_title custom_title= »Description métier : » header_color= »#7030a0″]

Technicien de la nature, le jardinier d’espaces verts effectue toute une série de travaux qui varient en fonction des saisons, de la préparation des sols en amont jusqu’au remplacement des plantations en fin de cycle.

Chargé des semis (fleurs, plantes ou arbustes) et des bouturages, il doit connaître les caractéristiques des végétaux et des contraintes saisonnières. Il réalise aussi l’engazonnement des surfaces destinées aux pelouses, dont il assure ensuite l’entretien (passage du rouleau, tonte, traitements phytosanitaires…).

Outre les labours de surface, il dessine des parterres et trace des allées, dont il assure souvent les travaux de maintenance : terrassement, dallage, rigole de drainage, petite maçonnerie…

Il taille aussi les arbustes et a la charge d’évacuer et de recycler les déchets verts (herbe coupée, feuilles mortes, produits de la taille…). Dans certaines circonstances, lors du défrichement d’un nouvel espace, il s’occupe du débroussaillage.

Le jardinier d’espaces verts a la responsabilité de l’entretien des outils et machines motorisées qu’il utilise : tondeuse à moteur, petit tracteur, débroussailleuse, aspirateur à feuilles… Ces instruments étant souvent très bruyants, des protections auditives sont indispensables !

De nombreux jardiniers travaillent pour dans les entreprises publiques ou les collectivités territoriales (municipalité, conseil général, HLM…). Dans ce cas, il opère dans une petite équipe.

Il peut être aussi salarié d’une entreprise (jardinerie, travaux paysagers). Ses horaires sont alors relativement réguliers. Le jardinier peut encore louer ses services à des particuliers. Le cas échéant, il travaille les samedis.

Quel que soit son employeur, le jardinier travaille toujours en plein air, au soleil ou sous les intempéries.

[/td_block_text_with_title][td_block_text_with_title custom_title= »Études / Formation : » header_color= »#7030a0″]

Les formations et diplômes professionnels qui préparent aux métiers du jardinage et du paysage sont  :

niveau CAP
– CAP agricole jardinier paysagiste,

niveau bac
– bac pro aménagements paysagers,
– BP aménagements paysagers (2 ans après le CAP).

[/td_block_text_with_title][td_block_text_with_title custom_title= » Évolutions : » header_color= »#7030a0″]

Salarié d’une collectivité locale ou d’une entreprise du paysage, un jardinier peut évoluer vers une fonction de chef d’équipe.

Avec une formation complémentaire de type BTSA aménagements paysagers ; production horticole ; technico-commercial spécialité agrofournitures, il peut devenir responsable d’une jardinerie ou d’une entreprise.

Il a aussi la possibilité de s’établir en tant qu’artisan à son compte ou de créer une entreprise de jardinage.

Enfin, il peut se spécialiser en passant des CS appropriés comme le CS jardinier de golf et des sols sportifs engazonnés pour devenir jardinier de golf.

[/td_block_text_with_title][td_block_text_with_title custom_title= »Salaires » header_color= »#7030a0″]

Du Smic (1 480,27 € brut mensuel)  à 1 600 € brut pour un jardinier débutant.

Les revenus d’un jardinier installé à son compte varient en fonction de sa clientèle.

[/td_block_text_with_title]

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l’Objectif de cette formation est de former aux métiers paysagers :
entretien des voiries, des espaces communaux, des bords de cours d’eau, des espaces privés (jardins, domaines, propriétés de chasse…)

Pour plus d’info : http://www.mfr-gien.com/formations-5-15-cap-agricole–jardinier-paysagiste.html

L’objectif de ce CAP agricole Jardinier Paysagiste est de former des ouvriers qualifiés pour les entreprises paysagistes, les collectivités territoriales les services espaces verts des villes. Ce travailleur est capable d’assurer les travaux nécessaires à l’entretien d’un espace vert ou d’un jardin : travaux d’aménagement (drainage), arrosage, décoration, plantation de végétaux d’ornement, utilisation de fertilisants et produits phytosanitaires, entretien courant du matériel, relations avec les fournisseurs et les clients.

L’objectif du CAP agricole Jardinier Paysagiste (anciennement CAPA Travaux Paysagers) par apprentissage est de former des ouvriers qualifiés pour les entreprises paysagistes, les collectivités territoriales, les services espaces verts des villes, Ce travailleur est capable d’assurer les travaux nécessaires à l’entretien d’unespace vert ou d’un jardin. C’est une formation par apprentissage qui déroule au centre de formation à Courcelles-Chaussy près de Metz en Lorraine.

Durée de formation

1 ans

Type de formation

niveau CAP
– CAP agricole jardinier paysagiste,

niveau bac
– bac pro aménagements paysagers,
– BP aménagements paysagers (2 ans après le CAP).

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Catégories
Protéger l'environnement

Ingénieur sécurité sanitaire

[td_block_text_with_title custom_title= »introduction : » header_color= »#7030a0″]

L’ingénieur sécurité sanitaire est un spécialiste de l’hygiène des établissements de santé. Il intervient dans la gestion des déchets hospitaliers, de l’air et de l’eau. Sa mission principale : prévenir les risques notamment les infections nosocomiales.

[td_block_text_with_title custom_title= »Description métier : » header_color= »#7030a0″]

L’ingénieur sécurité sanitaire est un fonctionnaire de catégorie A, expert des méthodes et des moyens de protection contre les risques sanitaires qui travaille au sein d’une ARS (agence régionale de santé).

Il propose des actions et des moyens pour réduire les nuisances à l’intérieur comme à l’extérieur des établissements, identifier et traiter les déchets, assurer la prévention de la légionellose. Il examine les dangers liés au plomb et à l’amiante.

Les tâches de l’ingénieur peuvent se décliner comme suit : identification des situations à risque, définition d’un programme de prévention et de surveillance, planification des opérations à réaliser, rédaction des protocoles de fonctionnement, information et sensibilisation des utilisateurs.

Toutes ces tâches peuvent concerner la gestion des déchets, le traitement de l’eau et de l’air et le respect de toute réglementation concernant l’hygiène.

L’ingénieur met en place des procédures de surveillance des installations et dresse la liste des opérations curatives à effectuer en cas de besoin.

Il remplit donc des fonctions d’expertise technique, des fonctions d’organisation et de gestion d’équipe (recrutement et évaluation du personnel, gestion des conflits…).

Il a un rôle pédagogique (organisation de sessions de formation sur les risques sanitaires), une fonction budgétaire (programmer des investissements pluriannuels).

Il assure également les relations avec les fournisseurs de matériels.

[/td_block_text_with_title][td_block_text_with_title custom_title= »Études / Formation : » header_color= »#7030a0″]

Les formations qui permettent d’accéder à la fonction d’ingénieur sanitaire sont toutes de niveau bac + 5.

L’École des hautes études en santé publique EHESP prépare aux concours d’ingénieur d’études sanitaires et d’ingénieur du génie sanitaire. Pour être admis, il faut déjà avoir un diplôme d’ingénieur ou être titulaire d’un master de recherche ou professionnel. A titre d’exemples :

– master sciences de la vie et de la santé, sécurité et veille sanitaire
– master maîtrise des risques nosocomiaux et iatrogène
– master spécialité sécurité, qualité, hygiène et environnement
– master sciences du risque dans le domaine de la santé
– master risques sanitaires radionucléaires, biologiques et chimiques
– master droit de la sécurité sanitaire et alimentaire
– master gestion des risques en santé publique

[/td_block_text_with_title][td_block_text_with_title custom_title= » Évolutions : » header_color= »#7030a0″]

Fonctionnaire de la fonction publique hospitalière ou salarié d’une clinique privée, l’ingénieur sanitaire peut créer sa propre structure ou cabinet conseil et intervenir en tant que prestataire extérieur auprès d’établissements qui le sollicitent en tant qu’expert.

L’ingénieur sécurité sanitaire peut effectuer des missions humanitaires.

[/td_block_text_with_title][td_block_text_with_title custom_title= »Salaires » header_color= »#7030a0″]

Un ingénieur hygiène et sécurité débute avec un salaire mensuel brut entre 1 850 € et 2 500 €. Au cours de sa carrière, des primes viennent compléter des salaires qui évoluent.

[/td_block_text_with_title]

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L’université Paris-Descartes — dont le nom officiel est Paris-V et dont le nom d’usage est université Paris Descartes — est une université française créée en 1971.

C’est une des treize universités parisiennes, héritières de l’université de Paris et de la Sorbonne. Elle est pluridisciplinaire et fait partie de l’université Sorbonne Paris Cité. Elle se définit comme « l’université des sciences de l’homme et de la santé ».

Master de spécialité sécurité, Qualité, Hygiène et Environnement

Objectifs du programme

La mention GENI est orientée vers les disciplines dont le radical commun est l’environnement et les sciences qui y sont associées. En conséquence, elle est pluridisciplinaire et transversale, ouverte à des cursus divers de Sciences et du secteur Santé. Elle s’appuie sur une large équipe pédagogique d’universitaires provenant de plusieurs UFR (Sciences – à l’initiative de cette spécialité – Pharmacie, Médecine, ESIReims, Sciences Economiques et Gestion, IUT). Les principales disciplines enseignées et principaux champs disciplinaires concernés sont : Sciences physiques, Sciences pour l’Ingénieur (Sûreté de fonctionnement, fiabilité, Génie des procédés…), Sciences biologiques (écotoxicologie, toxicologie, épidémio-surveillance, microbiologie, biologie des agro-ressources…), Chimie (analyses et traitements des sols, eau, air, déchets…), Economie et Droit de l’Environnement (normes…), Statistiques…   Les étudiants provenant de L3 scientifiques possèdent des connaissances dans des domaines scientifiques multidisciplinaires (chimie, physique, biologie etc.).   Ils acquerront au sein de la mention des connaissances fondamentales dans les sciences de l’environnement et du développement durable en plus des connaissances spécifiques à leur spécialité. La formation commune au travers de l’enseignement des PCL (communs aux trois spécialités), permettra aux étudiants d’acquérir des connaissances en management, communication et réglementation.

Niveau de formation

Bac + 5

Type de formation

– master sciences de la vie et de la santé, sécurité et veille sanitaire
– master maîtrise des risques nosocomiaux et iatrogène
– master spécialité sécurité, qualité, hygiène et environnement
– master sciences du risque dans le domaine de la santé
– master risques sanitaires radionucléaires, biologiques et chimiques
– master droit de la sécurité sanitaire et alimentaire
– master gestion des risques en santé publique

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Catégories
Protéger l'environnement

Ingénieur des ponts, des eaux et forêts

[td_block_text_with_title custom_title= »introduction : » header_color= »#7030a0″]

L’ingénieur des ponts, des eaux et des forêts travaille à l’aménagement du territoire, à la préservation des espaces naturels et à leur valorisation. Il remplit des fonctions de conception et de direction de nature scientifique et administrative.

[td_block_text_with_title custom_title= »Description métier : » header_color= »#7030a0″]

L’ingénieur des ponts, des eaux et des forêts (IPEF) participe à la conception, à l’élaboration, à la mise en oeuvre et à l’évaluation des politiques publiques dans de multiples domaines : climat, demande énergétique, aménagement et developpement durable des territoires, logement et ville, transports, mise en valeur agricole et forestière, gestion et préservation des espaces et des ressources naturelles terrestres et maritimes, alimentation et agro-industrie.

Il exerce des missions générales de direction, d’encadrement, de contrôle, d’inspection, d’étude, d’expertise, d’évaluation, d’enseignement et de recherche y compris dans les organismes internationaux.

Il maîtrise les méthodes de simulation, de modélisation et d’approche systémique. Il procède à des études statistiques. Ces études contribuent à l’élaboration et à la mise en œuvre des projets d’aménagement rural, forestier et peuvent concerner la gestion de l’eau.

Cet ingénieur travaille en relation avec les préfets, les élus locaux et tous les professionnels de l’agriculture et de l’élevage. Reboisement, choix des essences, voies de circulation, protection anti incendie, production de bois… et location d’espaces pour la chasse sont de son ressort.

L’ingénieur des ponts, des eaux et des forêts appartient à un corps interministériel. Il peut exercer ses fonctions dans les services du ministère de l’Agriculture, ceux du ministère de l’Ecologie, de l’Energie, du Développement et de l’aménagement durable, ainsi que dans l’ensemble du secteur public et des établissements placés sous la tutelle de ces ministères : Office national des forêts (ONF), Inventaire national forestier (INF), Centre national professionnel de la propriété forestière (CNPPF), etc. Il exerce également au sein des collectivités territoriales, dans le secteur parapublic ainsi que dans le secteur privé dans un second temps.

Au plan statutaire l’ingénieur du génie rural est donc, soit haut fonctionnaire, soit ingénieur civil. Dans ce dernier cas, il travaille pour une société privée.

[/td_block_text_with_title][td_block_text_with_title custom_title= »Études / Formation : » header_color= »#7030a0″]

L’ingénieur des ponts, des eaux et forêts est issu d’AgroParisTech, grand établissement sous tutelle du Ministère de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la Forêt.

Le cursus est proposé en apprentissage ou sous statut étudiant. La 1ère année est une année de tronc commun. Les 2ème et 3ème année proposent 4 domaines d’enseignement :
– production, filières, territoires pour le développement durable
– ingénierie des aliments, biomolécules et énergie
– gestion et ingénierie de l’environnement
– ingénierie et santé

Accès en 1ère année :
– accès à la filière par apprentissage dès la1ère année :

il faut avoir moins de 26 ans et être titulaire d’un BTS, BTSA, DUT ou d’une licence pro dans les sciences du vivant ou être dans la dernière année de préparation d’un de ces diplômes.

– accès sous statut étudiant :

  • classes prépa BCPST : concours A BIO commun à 12 écoles d’ingénieurs et aux 4 écoles vétérinaires,
  • filières technologiques : concours A TB BIO (élèves issus d’une classe prépa TB), concours C BIO (élèves tutulires d’un BTS, DUT ou d’un Diplôme de technicien supérieur, concours C2 (élèves titulaires d’un DUT en dernière année de DUT)
  • filière universitaire : concours B (élèves inscrit en L3 ou déjà titulaires d’une licence à caractère scientifique ou d’une licence pro).

Accès en 2ème année 

  • concours D (étudiants relevant d’établissements en double diplômes avec AgroParisTech)
  • concours DE (pour les élèves étrangers ayant validé des études scientifiques)
  • admission dans les dominantes d’approfondissement (élève ingénieurs des écoles partenaires)

[/td_block_text_with_title][td_block_text_with_title custom_title= » Évolutions : » header_color= »#7030a0″]

Au cours de sa carrière, l’Ipef peut donc voir ses compétences glisser d’un ministère à l’autre ou se voir confier des missions interministérielles tant au plan national qu’international. Après des débuts comme chef de bureau, chef de service dans une direction départementale ou régionale, les IPEF se dirigent ensuite naturellement vers des postes de conseiller technique en cabinet ministériel, d’expert, d’adjoint à un sous directeur ou à un directeur départemental avant de parvenir pour finir à des postes de dirigeant.

L’ingénieur assistant l’Ipef peut devenir ingénieur chef.

[/td_block_text_with_title][td_block_text_with_title custom_title= »Salaires » header_color= »#7030a0″]

Les salaires mensuels moyens de l’ingénieur des ponts, des eaux et forêts, en début de carrière, s’échelonnent entre 2 400 € et 4 600 € s’il est ingénieur confirmé.

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[td_block_ad_box spot_id= »sidebar »][td_block_3 category_id= »76″ ajax_pagination= »next_prev »]

L’Institut des sciences et industries du vivant et de l’environnement, dit AgroParisTech, est l’une des 210 écoles d’ingénieurs françaises habilitées à délivrer un diplôme d’ingénieur. Il est placé sous la tutelle du ministère de l’Agriculture.

AgroParisTech est membre du pôle de recherche et d’enseignement supérieur UniverSud Paris, du pôle ParisTech et de la conférence des grandes écoles et bénéficie du statut de grand établissement.

AgroParisTech est un des membres fondateurs du centre technologique Paris-Saclay. Le déménagement de ses bâtiments sur le campus du plateau de Saclay est prévu pour 2019.

Créé en 1992 par MINES ParisTech (l’École des Mines de Paris), l’École Nationale des Ponts et Chaussées et l’École nationale du génie rural, des eaux et des forêts, l’ISIGE est le centre de formation de MINES ParisTech dédié à l’environnement et au développement durable. Son but est de former des experts de haut niveau capables d’appréhender de façon globale ces enjeux complexes.

L’ISIGE accueille ses étudiants sur les campus de Fontainebleau et de Paris de MINES ParisTech. L’institut a pour principaux partenaires l’Université de Tsinghua, l’INSA de Lyon, CEGOS, et l’Université de Pennsylvanie.

L’Institut Lillois d’Ingéniérie de la santé désormais appelé Faculté d’Ingénierie et Management de la Santé (ILIS) est une unité de formation et de recherche de l’université de Lille II qui forme des professionnels de santé non-soignants, polyvalents et adaptés à l’économie d’entreprise et au monde hospitalier.

  • Ce site est desservi par la station de métro CHR B-Calmette.
  • à 20 minutes de la gare de Lille Europe (TGV-Paris 58 minutes ; TGV-Bruxelles 35 minutes ; Eurostar-Londres 80 minutes)
  • à 8 km de l’aéroport de Lille – Lesquin.

Niveau de formation

Bac + 5

Type de formation

Ingénieur en :

– production, filières, territoires pour le développement durable
– ingénierie des aliments, biomolécules et énergie
– gestion et ingénierie de l’environnement
– ingénierie et santé

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Catégories
Protéger l'environnement

Hydrogéologue

[td_block_text_with_title custom_title= »introduction : » header_color= »#7030a0″]

Scientifique de haut niveau, l’hydrogéologue est un spécialiste des eaux souterraines. Il intervient pour résoudre des problèmes de ressources en eau, exploiter des nappes aquifères et protéger la qualité des eaux et des sols contre toute pollution.

[td_block_text_with_title custom_title= »Description métier : » header_color= »#7030a0″]

L’hydrogéologue recherche les zones aquifères (riches en eau), évalue leurs ressources et dresse des plans d’exploitation pour gérer au mieux la distribution de l’eau.

Il est donc un prospecteur, puisqu’il travaille d’abord à la détection des nappes souterraines destinées à la consommation, à l’irrigation ou à la géothermie.

Après avoir déterminé les lieux de captage et la mise en place de leur protection, il dirige l’équipe de forage pour assurer le suivi technique de l’opération et prévenir tout risque de pollution lors des essais de pompage.

L’hydrogéologue a également en charge la surveillance de la qualité de l’eau et, à ce titre, il œuvre pour la protection de l’environnement.

Il intervient dans le cadre d’études de projets d’aménagement urbain, industriel, agricole ou de génie civil aux effets potentiellement négatifs sur les eaux souterraines.

En cas de pollution, il dresse les plans de décontamination du sol et des nappes d’eau, puis en assure la mise en œuvre.

L’hydrogéologue exerce un métier d’études et de recherches en laboratoire, mais il travaille aussi sur le terrain, en plein air, ce qui implique beaucoup de déplacements, y compris dans le cadre de missions à l’étranger et notamment pour des missions humanitaires (recherche et exploitation de l’eau).

Disponibilité et mobilité maximales sont indispensables.

Le plus souvent, l’hydrogéologue est employé par des services déconcentrés de l’État (Industrie, Environnement, Agriculture, Forêt, Équipement), des collectivités locales, le BRGM (Bureau de recherches géologiques et minières), les Agences de l’eau ou des bureaux spécialisés en environnement.

[/td_block_text_with_title][td_block_text_with_title custom_title= »Études / Formation : » header_color= »#7030a0″]

Les hydrogéologues sont des géologues. Ils ont des formations d’ingénieurs ou d’universitaires ou souvent les deux. Il existe des techniciens et des ingénieurs.

Formations courtes :
– BTS géologie appliquée,
– BTS métiers de l’eau,
– Titre de technicien supérieur en géologie (bac + 3) délivré par LaSalle Beauvais.

Formations universitaires :
–    master : hydrogéologie-hydrobiogéochime-hydropédologie Rennes 1 ; hydrologie, sol et environnement Avignon ; Master Sciences de la Terre et des planètes, environnement Paris sud 11 ; Master sciences de la Terre et de l’environnement spécialité hydrogéologie et transferts Poitiers.
A noter : les étudiants poursuivent généralement en doctorat (bac + 8), voire un post-doctorat (bac+11).

Ecoles d’ingénieurs : sur concours après prépas, bac, bac +2

[/td_block_text_with_title][td_block_text_with_title custom_title= » Évolutions : » header_color= »#7030a0″]

Le besoin de spécialistes de l’environnement et de la ressource en eau entraîne actuellement une demande en ingénieurs.

Un technicien hydrogéologue peut être admis à suivre une formation d’ingénieur dans le cadre de la formation continue. Il peut aussi faire valoir son expérience en utilisant la procédure VAE (validation des acquis de l’expérience).

Les ingénieurs, eux, ont accès à tous les postes d’encadrement d’équipe et de responsabilité, quelle que soit la structure qui les emploie.

[/td_block_text_with_title][td_block_text_with_title custom_title= »Salaires » header_color= »#7030a0″]

De 1 700 € à 1 900 € brut par mois pour un technicien hydrogéologue débutant + primes de mission.

Environ 3 000 € brut par mois pour un jeune ingénieur hydrogéologue + primes de mission.

[/td_block_text_with_title]

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L’École nationale supérieure de géologie (ENSG) est l’une des 210 écoles d’ingénieurs françaises habilitées à délivrer un diplôme d’ingénieur.

Située sur le technopôle de Nancy-Brabois, elle est membre de l’université de Lorraine, qui forme des ingénieurs-géologues travaillant essentiellement dans les domaines de l’eau, l’environnement, les ressources naturelles et énergétiques, la géotechnique et la recherche scientifique.

IFP School (anciennement ENSPM – École nationale supérieure du pétrole et des moteurs) est l’une des 210 écoles d’ingénieurs françaises habilitées à délivrer un diplôme d’ingénieur.

Elle dépend d’IFP Énergies nouvelles (anciennement : l’Institut français du pétrole) et forme des ingénieurs qui travailleront dans le secteur de l’énergie. Elle est une école d’application de l’École polytechnique.

L’école communique à présent sous le nom IFP School, « pour traduire l’évolution de l’école qui élargit son périmètre de formation pour préparer les ingénieurs aux défis de la transition énergétique ». Le nom officiel de l’École reste cependant École nationale supérieure du pétrole et des moteurs. La grande particularité de l’école est qu’elle regroupe en son sein environ 50 % d’étudiants internationaux.

L’École et observatoire des sciences de la Terre (EOST) est l’une des 210 écoles d’ingénieurs françaises habilitées à délivrer un diplôme d’ingénieur.

Elle assure des missions d’enseignement, de recherche, d’observation et de diffusion des connaissances en Sciences de la Terre. Elle est placée sous la tutelle de l’Université de Strasbourg et du CNRS. L’EOST est installé dans deux bâtiments du campus central de Strasbourg et compte plus de 150 membres permanents.

L’école nationale supérieure d’ingénieurs de Poitiers (ENSI Poitiers) est l’une des 210 écoles d’ingénieurs françaises habilitées à délivrer un diplôme d’ingénieur.

Créée en 1984 sous le nom d’ESIP, elle se trouve au cœur du campus de l’université de Poitiers, au bâtiment B1. L’école change de nom en 2010 et devient l’ENSI Poitiers. Elle forme des élèves dans plusieurs domaines sur un thème principal : l’Ingénierie pour la protection de l’environnement. Les deux grandes branches sont l’Énergie d’une part, et l’Eau et le Génie Civil d’autre part. Les enseignements proposés vont de l’acoustique et l’énergétique au traitement des eaux et à la géothermie.

L’école nationale supérieure en environnement, géoressources et ingénierie du développement durable (ENSEGID) est l’une des 210 écoles d’ingénieurs françaises habilitées à délivrer un diplôme d’ingénieur.

C’est une école de l’Institut polytechnique de Bordeaux, créée par arrêté du , elle a ouvert en septembre 2011. Elle se situe dans la continuité d’une maîtrise Sciences et Techniques de « Géologie Pratique » créée en 1969 au sein de l’université Bordeaux III.

Ses locaux sont situés sur le domaine universitaire de Talence Pessac Gradignan.

L’école est habilitée par le ministère de l’enseignement supérieur et la Commission des Titres d’Ingénieurs

Niveau de formation

BTS, Bac + 5

Diplome de formation

Diplôme Bac+5 Hydrogéologue ou bien BTS hydrogéologue

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Catégories
Protéger l'environnement

Ecotoxicologue

[td_block_text_with_title custom_title= »introduction : » header_color= »#7030a0″]

L’écotoxicologue (écologue + toxicologue) étudie les effets nocifs des produits chimiques et des polluants sur l’environnement (l’eau, l’air, le sol et les aliments) et la santé. Il propose des moyens pour les mesurer, les contrôler et les supprimer.

[td_block_text_with_title custom_title= »Description métier : » header_color= »#7030a0″]

L’écotoxicologue recherche la présence de produits chimiques et de toxines et analyse la façon dont ils se dispersent dans l’environnement. Il recueille et identifie les produits chimiques dangereux, puis détermine leurs concentrations et les conditions dans lesquelles ils peuvent être dangereux pour les écosystèmes (terrestres, aériens, aquatiques) et les populations animales.

Il est donc amené à manipuler des produits chimiques et toxiques qui demandent le strict respect de consignes de sécurité et un parfait maniement du matériel de protection individuelle.

L’écotoxicologue conçoit des études environnementales et participe à leur réalisation, en collaboration avec des équipes d’experts (chimistes, biologistes, chimistes). Il prépare les dossiers d’homologation, d’autorisation de mise sur le marché.  Il informe aussi sur les mesures à prendre en cas d’exposition à des produits toxiques, et fournit des conseils sur les politiques et les programmes de gestion des produits toxiques.

L’environnement de travail de l’écotoxicologue peut comporter des nuisances (bruit, poussière, odeurs…) et se fait dans des conditions climatiques variables (température, humidité, intempéries…).

Les horaires de travail sont plutôt réguliers (sauf en cas d’alerte), mais l’activité peut comporter des déplacements et des astreintes.

Ce métier demande bien sûr des compétences techniques et scientifiques pointues, mais aussi d’excellentes dispositions pour communiquer et convaincre.

Un écotoxicologue peut travailler pour les pouvoirs publics (services du ministère chargé de l’environnement) mais aussi pour les instituts et organismes de recherche publics et parapublics (Cemagref, Anses, Onema, CNRS, Inra, les agences de l’eau, l’Ineris), les laboratoires et les sociétés d’expert-conseil en environnement, les entreprises industrielles (chimie, pharmacie, phytosanitaire, cosmétique, pétrole).

[/td_block_text_with_title][td_block_text_with_title custom_title= »Études / Formation : » header_color= »#7030a0″]

Pour devenir écotoxicologue, un niveau bac +5 minimum est requis après un bac scientifique :

– masters en toxicologie avec une spécialisation en écotoxicologie, en biologie, en biochimie, en biotoxicologie environnementale et industrielle ou en chimie de l’environnement, en hygiène sécurité environnement :

  • toxicologie et sécurité en santé et environnement – TSSE (Paris 7, Paris Est Créteil Val de Marne, Paris 11, Politech Nice Sophia, Angers)
  • toxicologie humaine, évaluation des risques, vigilances – THERV (Paris 7)
  • toxicologie et écotoxicologie (Paris 5, Paris 7, Lyon 3)
  • méthodes de recherche en environnement santé, toxicologie, ecotoxicologie – MRESTE (Grenoble)
  • toxicologie et environnement professionnel (Lille 2)
  • analyse du risque toxicologique pour le consommateur (Brest)
  • écotoxicologie et chimie de l’environnement (Bordeaux 2)
  •  toxicologie de l’environnement (Le Mans)
  • biologie intégrative et écotoxicologie (Toulouse 3)
  • environnement, écotoxicologie, écosystèmes -3 E (Metz)

Coordonnées des universités sur le site du ministère de l’Enseignement supérieur.

– doctorat en écotoxicologie, chimie organique, agronomie, chimie de l’environnement, environnement

– diplôme d’ingénieur :

  • Écoles d’ingénieurs de chimie, Cefipa Nanterre, Chimie ParisTech, CPE Lyon, ENSCPB Bordeaux, ENSCM Montpellier, Ensic Nancy, Oniris Nantes…
  • Écoles d’ingénieurs en biologie, EBI Cergy, ENSTBB Bordeaux, ESBS Strasbourg, Esiab Brest, ISBS Créteil…

À noter : le diplôme d’État de docteur en pharmacie (6 ans d’études) conduit également au métier.

[/td_block_text_with_title][td_block_text_with_title custom_title= » Évolutions : » header_color= »#7030a0″]

Un écotoxicologue peut prendre la responsabilité d’un laboratoire et d’une équipe.

Il peut aussi devenir responsable sécurité environnement chargé de la mise en place de programmes, à grande échelle, de lutte contre des produits dangereux (amiante, plomb…), chef d’unité écotoxicologie, consultant en écotoxicologie pour l’industrie.

[/td_block_text_with_title][td_block_text_with_title custom_title= »Salaires » header_color= »#7030a0″]

Entre 1 900 € et 2 200 € net par mois pour un écotoxicologue en début de carrière.

Pour ce poste de haut niveau à la frontière entre la recherche et l’industrie, les salaires sont variables selon que l’employeur est privé ou public.

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La formation est centrée sur la toxicologie du médicament, la toxicologie réglementaire et la pharmacovigilance. Elle offre un enseignement mutualisé, complet et visible dans le domaine de la toxicologie et des vigilances.

Le but de cette formation est l’acquisition des bases de la toxicologie, la compréhension des mécanismes de toxicité associés à des expositions aux médicaments, l’apprentissage des approches méthodologiques. L’accent est mis sur l’acquisition de solides connaissances scientifiques sur les mécanismes cellulaires et moléculaires d’action des toxiques, les modalités d’exposition selon les environnements considérés, la compréhension des préoccupations actuelles en matière de toxicologie et de sécurité, la conception et la mise en œuvre de projets de recherche et développement dans le cadre de l’évaluation des risques ainsi que l’acquisition  de compétences pour  réaliser une analyse critique de résultats scientifiques.

Une originalité de ce parcours est de proposer une approche complémentaire via la compréhension de la vigilance (pharmaco-, toxico, -cosmétovigilance).

Les deux finalités Recherche et Professionnelle permettent une insertion dans le  milieu professionnel ou une formation à la recherche.

Cette formation est co-accréditée avec les Universités Paris Descartes et Paris Diderot.

La parcours de M2 MRESTE offre une approche multidisciplinaire pour aller des sciences fondamentales aux pathologies, ou de l’émergence de pathologies à l’identification des facteurs de risques. Ce master s’adosse ainsi sur de nombreuses équipes de recherche grenobloises, que ce soit dans le domaine des Sciences de la Vie et de la Santé (CHU, TIMC, CEA, INSERM, LECA) ou de l’environnement (LGGE, LCME) mais aussi sur des équipes lyonnaises (VetagroSup, IRSTEA, ENTPE).

Alors qu’il existe de nombreux chercheurs et experts au niveau de l’étude des milieux (eau, air, sol), la France manque de spécialistes en Toxicologie Humaine et Ecotoxicologie alors que de plus en plus d’interrogations sociétales se posent quant aux relations potentielles entre les modifications de l’environnement et l’émergence de maladies ou de perturbations des écosystèmes. Ce déficit existe d’autant plus que la mise en place de la réglementation européenne REACH impose aux fabricants de produits chimiques d’évaluer la toxicité et les risques sanitaires des substances mises sur le marché. De plus, sont apparues des directives de plus en plus nombreuses en lien avec les recommandations des Plans Nationaux Santé Environnement et des Plans Santé Travail, qui ont fait suite au Grenelle de l’Environnement.

Les compétences sur les risques (pour les végétaux, les animaux et les humains) mais aussi la connaissance des méthodes d’évaluation de ces risques (études in vitro, expérimentations animales, modélisation et changement d’échelles, épidémiologie) sont des atouts importants pour pouvoir répondre à ces enjeux majeurs de société. Elles permettront à nos étudiants d’occuper les postes de chercheurs, chargés d’étude ou d’experts qui sont de plus en plus demandés dans les établissements publics, les organismes internationaux, les agences sanitaires et institutions de santé publique, les entreprises et les bureaux d’études.

L’objectif de ce master est d’assurer une formation pluridisciplinaire en Santé-Environnement afin de former des chercheurs ou chargés d’étude et de développement en entreprises spécialisés dans l’étude de l’impact sanitaire des nuisances environnementales.

La spécialité Ecotoxicologie et Chimie de l’Environnement du Master Sciences, Technologies, Santé, mention Chimie vise à former des étudiants en écotoxicologie et en évaluation du risque environnemental et sanitaire des substances chimiques, aussi bien dans le domaine de la recherche fondamentale que dans le domaine professionnel.

  • Gère, analyse et résout les problèmes liés à la protection de la nature, à l’environnement et à l’amélioration du cadre de vie (élimination et recyclage des déchets, qualité de l’air et de l’eau, contrôle des nuisances et du bruit …). Suivant le domaine d’application, assure une fonction préventive, corrective, de recherche ou de sensibilisation. Peut être chargé de la mise au point de technologies « propres », de la conception des installations de sites de stockage, de la maintenance d’installations ou encore de la gestion administrative et financière d’une structure.
  • Conçoit et conduit des projets de recherche fondamentale sur des phénomènes naturels et concernant l’acquisition de connaissances abstraites ou spéculatives. Réalise des schémas représentatifs et vérifie des hypothèses par des expérimentations appropriées. Elabore et organise les interprétations théoriques des expériences et des analyses. Peut effectuer des travaux prospectifs sur des phénomènes naturels. Rend compte de ses travaux et de ses découvertes par divers moyens de diffusion (publications, conférences, …)
  • Assure dans sa discipline un service d’enseignement et de recherche. Transmet des connaissances dans le cadre d’un programme d’enseignement dont il assure la préparation. Oriente les étudiants, les conseille et les encadre dans leur travail. Une part importante de son activité est consacrée aux travaux de recherche et de publication ainsi qu’au développement de la recherche fondamentale et appliquée. Contribue à la coopération entre recherche universitaire et recherche industrielle. Participe à la création et à la diffusion du savoir, répondant aux objectifs et missions de l’enseignement supérieur. Participe fréquemment à des jurys d’examens et de concours. Peut assurer la direction d’une unité de formation et de recherche (UFR).
  • Participe à la surveillance des rejets solides, liquides ou gazeux des unités de production et des sites industriels, en collaboration avec les services analytiques et de l’instrumentation. Procède à la mise oeuvre et assure la maintenance des détecteurs et analyseurs de pollution, situés directement en place sur les unités, à leur périphérie, ou à la périphérie des sites industriels. Procède au diagnostic qualitatif et quantitatif des pollutions accidentelles et des rejets réguliers. Assure un rôle prépondérant vis-à-vis de la sécurité et de l’environnement du site industriel tel que le plan d’opération interne (POI) ou le plan particulier d’intervention (PPI).
  • Concourt à la mesure de la pollution par l’observation de l’un ou l’autre des éléments naturels (air, eau, terre) et contribue à l’élimination ou au traitement des substances polluantes (taux hors normes de composants toxiques, , déchets ménagers et industriels, radiations …) par des procédés biologiques, chimiques, physiques, mécaniques … Détecte sensoriellement ou à l’aide d’instruments de mesure, ces substances qui peuvent apparaître de manière variable et aléatoire. Assure les opérations de destruction de ces substances, sur site ou à distance, par l’utilisation d’outils ou d’instruments, par la conduite d’appareils ou d’installations, ou les rend conformes à leur norme, ou en autorise le stockage.

Niveau de formation

Bac + 5

Type de formation

Diplôme certifié d’Ecotoxicologe

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Catégories
Protéger l'environnement

Econome de flux

[td_block_text_with_title custom_title= »introduction : » header_color= »#7030a0″]

L’économe de flux est un spécialiste de la prévention des gaspillages en matière d’énergie. Il intervient auprès des collectivités et des entreprises pour diminuer leurs consommations. Il établit des diagnostics et préconise des solutions.

[td_block_text_with_title custom_title= »Description métier : » header_color= »#7030a0″]

Econome de flux est un métier récent à la fois technique et gestionnaire. C’est aussi un communiquant et un pédagogue.

Il examine les factures d’énergie et d’eau des installations et confectionne des tableaux de bord pour surveiller leur évolution dans le temps.

Il pose des diagnostics sur ces consommations et détecte les inadaptations entre les matériels en fonctionnement et les besoins présents de l’entreprise. Le cas échéant, il préconise des modifications sur les contrats de fourniture d’énergie, par exemple.

Il évalue à l’avance l’impact économique, social et environnemental des solutions choisies pour remédier à d’éventuelles surconsommations.

En matière de rejets de déchets ses missions sont identiques : diagnostiquer, évaluer, conseiller, préconiser… Son rôle pédagogique est donc essentiel. L’économe de flux est un informateur sur l’utilisation rationnelle de l’eau et de l’énergie.

Il développe des animations sur ces thèmes en direction du grand public et dans le monde scolaire (enseignants et élèves). Maître es économie d’énergie il rédige des notes d’information sur ces sujets : dépense énergétiques, protection de l’environnement, problèmes industriels ou agricoles, etc.

Les employeurs principaux d’un économe de flux sont les collectivités locales, les établissements municipaux, les grandes entreprises grosses consommatrices d’énergie ou d’eau ou productrices d’importantes quantités de déchets industriels, les hôpitaux, les distributeurs d’énergie (EDF, GDF…), les offices HLM, les écoles.

Sauf catastrophe ses horaires sont en général réguliers. Métier d’études et de réflexion l’économe de flux est aussi un homme de terrain très souvent en visite d’inspection (usines, entreprises, bâtiments publics…).

[/td_block_text_with_title][td_block_text_with_title custom_title= »Études / Formation : » header_color= »#7030a0″]

Les formations et les diplômes préparant à ce métier se développent. Après un bac scientifique ou technologique STI2D, on peut citer :

bac + 2
– BTS FED – Fluides, énergies, domotique option A génie climatique et fluidique, option B froid et conditionnement d’air,
– DUT GTE – Génie thermique et énergie

bac + 3
– licences pro (bac+3): conduite de projets en éco matériaux et éco construction (Bretagne-Sud) ; conseiller en maîtrise de l’énergie pour le secteur agricole (Chambéry ) ; éco-gestion des énergies renouvelables Energie électrique – Environnement (Lorraine) ; gestion et optimisation des systèmes de traitement de l’eau (Aix-Marseille) ; recyclage et valorisation des matériaux pour le transport (Bordeaux 1) ; – technico-commercial en services et matériels thermiques et énergétiques Grenoble ; assistant et conseiller technique en énergie électrique et renouvelable Rennes ;  sciences et technologies de la maîtrise de l’énergie et des énergies renouvelables Saint-Sylvain d’Anjou ;  sciences et technologies des énergies renouvelables : systèmes électriques Tarbes ; sciences et technologies des énergies renouvelables : systèmes thermiques Tarbes ; valorisation des énergies renouvelables et techniques énergétiques Poitiers.

bac + 5
– master pro : gestion et droit des énergies et du développement durable Strasbourg ; économie du développement durable, de l’environnement et de l’énergie Palaiseau ; économie et politique de l’environnement et de l’énergie Dijon,
– diplômes d’ingénieurs : IFP School, Polytech, ESI Reims

[/td_block_text_with_title][td_block_text_with_title custom_title= » Évolutions : » header_color= »#7030a0″]

L’évolution possible dans ce métier est largement tributaire de l’accroissement quantitatif des missions qui vont lui incomber dans l’avenir. Le développement durable s’installe aujourd’hui dans le paysage.

Les secteurs d’activité qui vont avoir recours à lui ne cessent de grandir : transports, industries d’équipement, rénovation dans le BTP.

Avec une qualification d’ingénieur, l’économe de flux est appelé à diriger des équipes dont les missions consistent à minimiser les coûts d’approvisionnement en énergie et en eau ou à tarir ou à recycler la production de déchets.

[/td_block_text_with_title][td_block_text_with_title custom_title= »Salaires » header_color= »#7030a0″]

Un technicien économe de flux, au sortir de sa formation, est embauché avec un salaire brut mensuel d’environ 1 500 €. S’il est ingénieur débutant il peut compter sur un salaire brut aux alentours de 2 100 €.

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Le DUT Génie Thermique et Énergie forme en 4 semestres des assistants ingénieurs et des techniciens supérieurs dans les métiers liés à la production, la distribution, l’utilisation et la gestion de l’énergie dans l’industrie ou les transports, et à la thermique du bâtiment (chaud et froid).

Les enseignements de technologie générale apportent des savoir-faire en bureau d’études, processus de fabrication et des bases de données dans la connaissance des machines et des appareillages utilisés.

Un accent particulier est mis sur la formation personnelle et humaine en développant tous les aspects de l’expression et de la communication, la maîtrise de l’anglais, ainsi que l’autonomie et l’acquisition des méthodologies de travail pour l’apprentissage et en accompagnant l’étudiant dans la définition de son projet personnel et professionnel.

  • Licence Professionnelle Spécialité Éco Conception Énergie Environnement (EC-2E) Parcours Éco-Gestion des Énergies Renouvelables Énergie électrique-Environnement (EGER)
  • Cette formation est particulièrement dédiée aux métiers des secteurs industriels relevant du domaine de l’énergie électrique : production, consommation et gestion durable de l’énergie électrique, supervision et contrôle à distance de la production décentralisée, intégration des énergies renouvelables (particulièrement éolien, solaire photovoltaïque et hydraulique), dimensionnement des dispositifs de production. Elle traite également les aspects« développement durable » et « éco-conception » en lien direct avec la problématique de l’énergie.

La Licence Professionnelle Eco-matériaux, Eco-construction a pour objectif la formation de Techniciens Supérieurs, d’assistant ingénieurs et de cadres intermédiaires autonomes dans la gestion de projet, la conduite de construction et de fabrication, le négoce dans le domaine de l’éco-construction et des éco-matériaux avec une insertion professionnelle directe à l’issue de l’année de licence.

Niveau de formation

BTS / DUT / Licence Pro / Master Pro

Diplôme obtenu

Certificat Econome de flus

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Catégories
Protéger l'environnement

Eco-conseiller

[td_block_text_with_title custom_title= »introduction : » header_color= »#7030a0″]

L’éco-conseiller fait l’interface entre les multiples acteurs publics et privés qui interviennent dans l’aménagement du territoire. Son objectif principal est l’amélioration du cadre de vie ou sa protection. Il propose pour cela des solutions innovantes mais réalistes.

[td_block_text_with_title custom_title= »Description métier : » header_color= »#7030a0″]

L’éco-conseiller analyse les problèmes posés par la protection de la nature et de l’environnement afin d’améliorer le cadre de vie.

Ses activités principales concernent l’élimination et le recyclage des déchets, l’amélioration de la qualité de l’air et de l’eau, le contrôle des nuisances et du bruit etc.

Dans tous ces domaines, il assure une action, soit préventive, soit corrective, soit de sensibilisation, mais également de recherche. Il peut aussi être chargé de la mise en place de technologies propres, de l’installation de sites de stockage et de leur maintenance.

La dimension gestion administrative et financière d’une structure ou d’un équipement fait aussi partie de ses attributions.

L’éco-conseiller travaille auprès des collectivités locales (municipalités, chambres de commerce et d’industrie, chambres d’agriculture, par exemple), des associations, des entreprises du secteur public ou privé.

Son environnement de travail peut comporter des nuisances telles que le bruit, la poussière, les odeurs ainsi que des conditions climatiques variables (température, humidité, intempéries…).

Il peut être amené à manipuler des produits chimiques et toxiques qui demandent le respect de consignes de sécurité et un parfait maniement du matériel de protection individuelle.

Il a des horaires plutôt réguliers et de jour. Cependant, l’activité peut comporter des déplacements et des astreintes.

Si cette fonction implique des compétences techniques et scientifiques pointues, l’éco-conseiller doit aussi être doté d’excellentes dispositions pour communiquer et convaincre.

[/td_block_text_with_title][td_block_text_with_title custom_title= »Études / Formation : » header_color= »#7030a0″]

Le métier d’éco-conseiller requiert une formation de niveau bac + 5 :

– master en gestion de l’environnement ; géographie, aménagement, environnement et développement ; sciences de la Terre et des planètes, environnement ; agrosciences, environnement, territoires, paysage, forêt ; risques et environnement,

– diplôme d’ingénieur (agriculture, agronomie, paysage, chimie, biotechnologies, sciences de l’eau, génie rural, etc.).

– MS (mastère spécialisé) : éco-conseiller (Insa strabourg), éco-conception et management environnemental (ParisTech), manager de l’environnement et de l’éco-efficacité énergétique (Insa Lyon).

[/td_block_text_with_title][td_block_text_with_title custom_title= » Évolutions : » header_color= »#7030a0″]

Les possibilités d’évolution sont encore peu nombreuses; ce métier étant relativement récent. L’évolution tient davantage aux spécialités d’origine de chaque conseiller.

Cependant on estime que les professions ayant trait à l’écologie et à l’environnement connaîtront un fort développement dans les années à venir. Pollutions de toutes sortes obligent.

[/td_block_text_with_title][td_block_text_with_title custom_title= »Salaires » header_color= »#7030a0″]

Un conseiller en environnement débutant reçoit un salaire variable en fonction du type d’entreprise ou de collectivité qui l’emploie. Les salaire en début de carrière est de 1 650 € brut mensuels et peut atteindre avec de l’expérience 2 500 € brut mensuels.

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L’objectif de la mention Gestion de l’environnement est de former des professionnels  équipés conceptuellement et méthodologiquement, pour faire face aux défis de la gestion de l’environnement.  Cet objectif est poursuivi par la définition d’un socle de compétences communes en Gestion de l’environnement et une déclinaison en parcours professionalisant en e-logistique, en LEAN et en Responsabilité Sociétale des Entreprises.
Il s’agit donc d’intégrer dans un enseignement professionnel de haut niveau :
– la question de la performance environnementale, économique et sociale associée à la création de valeur (la valeur partagée) qui demeure un enjeu important pour les organisations investissant dans des politiques de développement durable, notamment  dans le cadre de partenariats, réseaux des parties prenantes (chaîne de valeur).
– les impacts sur le nouveau modèle productif (nouvelles compétences, changements organisationnels et sociétaux : e- logistique). En même temps, les exigences de minimisation des coûts tout en recherchant une amélioration continue des processus (élimination des gaspillages et de leurs sources : Lean Six sigma) s’accommodent mieux des confrontations concurrentielles imposées par la globalisation des marchés, de la dimension environnementale s’imposant au niveau planétaire et des flux qui en découlent (RSE).

L’institut national des sciences appliquées de Strasbourg (INSA Strasbourg) est l’une des 210 écoles d’ingénieurs françaises habilitées à délivrer un diplôme d’ingénieur.

C’est une école d’architectes et d’ingénieurs, située à Strasbourg, sur le campus central de Strasbourg. Elle a été fondée le  sous le nom de Technische Winterschule für Wiesenbautechniker. En 2003, elle rejoint le groupe INSA regroupant six écoles d’ingénieurs françaises et prend son nom actuel.

L’institut national des sciences appliquées de Lyon est l’une des 210 écoles d’ingénieurs françaises habilitées à délivrer un diplôme d’ingénieur.

Il a été créé par Jean Capelle, alors recteur de l’université de Dakar et par le philosophe Gaston Berger, en application de la loi de création du 18 mars 1957, et ouvert le 12 novembre 1957.

L’école se situe sur le campus LyonTech – La Doua à Villeurbanne.

Son offre de formation comprend, outre la formation d’ingénieur d’une durée de cinq ans, onze masters recherche, dix Mastères spécialisés, huit écoles doctorales et de nombreuses formations courtes (formation continue).

Niveau de formation

Bac + 5

Type de formation

Diplôme Eco-Conseiller

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Catégories
Protéger l'environnement

Eco-concepteur

[td_block_text_with_title custom_title= »introduction : » header_color= »#7030a0″]

L’éco-conseiller fait l’interface entre les multiples acteurs publics et privés qui interviennent dans l’aménagement du territoire. Son objectif principal est l’amélioration du cadre de vie ou sa protection. Il propose pour cela des solutions innovantes mais réalistes.

[td_block_text_with_title custom_title= »Description métier : » header_color= »#7030a0″]

L’éco-conseiller analyse les problèmes posés par la protection de la nature et de l’environnement afin d’améliorer le cadre de vie.

Ses activités principales concernent l’élimination et le recyclage des déchets, l’amélioration de la qualité de l’air et de l’eau, le contrôle des nuisances et du bruit etc.

Dans tous ces domaines, il assure une action, soit préventive, soit corrective, soit de sensibilisation, mais également de recherche. Il peut aussi être chargé de la mise en place de technologies propres, de l’installation de sites de stockage et de leur maintenance.

La dimension gestion administrative et financière d’une structure ou d’un équipement fait aussi partie de ses attributions.

L’éco-conseiller travaille auprès des collectivités locales (municipalités, chambres de commerce et d’industrie, chambres d’agriculture, par exemple), des associations, des entreprises du secteur public ou privé.

Son environnement de travail peut comporter des nuisances telles que le bruit, la poussière, les odeurs ainsi que des conditions climatiques variables (température, humidité, intempéries…).

Il peut être amené à manipuler des produits chimiques et toxiques qui demandent le respect de consignes de sécurité et un parfait maniement du matériel de protection individuelle.

Il a des horaires plutôt réguliers et de jour. Cependant, l’activité peut comporter des déplacements et des astreintes.

Si cette fonction implique des compétences techniques et scientifiques pointues, l’éco-conseiller doit aussi être doté d’excellentes dispositions pour communiquer et convaincre.

[/td_block_text_with_title][td_block_text_with_title custom_title= »Études / Formation : » header_color= »#7030a0″]

Le métier d’éco-conseiller requiert une formation de niveau bac + 5 :

– master en gestion de l’environnement ; géographie, aménagement, environnement et développement ; sciences de la Terre et des planètes, environnement ; agrosciences, environnement, territoires, paysage, forêt ; risques et environnement,

– diplôme d’ingénieur (agriculture, agronomie, paysage, chimie, biotechnologies, sciences de l’eau, génie rural, etc.).

– MS (mastère spécialisé) : éco-conseiller (Insa strabourg), éco-conception et management environnemental (ParisTech), manager de l’environnement et de l’éco-efficacité énergétique (Insa Lyon).

[/td_block_text_with_title][td_block_text_with_title custom_title= » Évolutions : » header_color= »#7030a0″]

Les possibilités d’évolution sont encore peu nombreuses; ce métier étant relativement récent. L’évolution tient davantage aux spécialités d’origine de chaque conseiller.

Cependant on estime que les professions ayant trait à l’écologie et à l’environnement connaîtront un fort développement dans les années à venir. Pollutions de toutes sortes obligent.

[/td_block_text_with_title][td_block_text_with_title custom_title= »Salaires » header_color= »#7030a0″]

Un conseiller en environnement débutant reçoit un salaire variable en fonction du type d’entreprise ou de collectivité qui l’emploie. Les salaire en début de carrière est de 1 650 € brut mensuels et peut atteindre avec de l’expérience 2 500 € brut mensuels.

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L’institut national des sciences appliquées de Strasbourg (INSA Strasbourg) est l’une des 210 écoles d’ingénieurs françaises habilitées à délivrer un diplôme d’ingénieur.

C’est une école d’architectes et d’ingénieurs, située à Strasbourg, sur le campus central de Strasbourg. Elle a été fondée le  sous le nom de Technische Winterschule für Wiesenbautechniker. En 2003, elle rejoint le groupe INSA regroupant six écoles d’ingénieurs françaises et prend son nom actuel.

L’institut national des sciences appliquées de Lyon est l’une des 210 écoles d’ingénieurs françaises habilitées à délivrer un diplôme d’ingénieur.

Il a été créé par Jean Capelle, alors recteur de l’université de Dakar et par le philosophe Gaston Berger, en application de la loi de création du 18 mars 1957, et ouvert le 12 novembre 1957.

L’école se situe sur le campus LyonTech – La Doua à Villeurbanne.

Son offre de formation comprend, outre la formation d’ingénieur d’une durée de cinq ans, onze masters recherche, dix Mastères spécialisés, huit écoles doctorales et de nombreuses formations courtes (formation continue).

Niveau de formation

Bac + 5

Durée de formation et diplôme obtenu

  • 5 ans
  • Diplome Eco-concepteur

 

 

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Protéger l'environnement

Directeur de parc naturel

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Le directeur d’un parc naturel national ou régional ou d’une réserve gère l’ensemble des activités permettant de protéger et de mettre en valeur ces espaces. Préservation de l’environnement mais aussi promotion de ce dernier sont au cœur de ce métier.

[td_block_text_with_title custom_title= »Description métier : » header_color= »#7030a0″]

La France compte 10 parcs nationaux et 48 parcs régionaux. Les débouchés en tant que directeur de parc naturel sont donc plutôt restreints.

Lorsqu’un milieu naturel doit être préservé, l’Etat peut le classer et toutes les activités relevant du parc, devenu national par décret, sont alors strictement réglementées. A la tête de cet organisme gestionnaire public est nommé un directeur.

Dans un parc naturel régional, le territoire et les missions du parc sont définies par la région en concertation avec les collectivités locales. Le parc régional est géré par un syndicat mixte.

Des chargés de mission y travaillent en fonction de leurs compétences et spécialités. Par exemple, un chargé de mission s’occupera de la faune, un autre de la flore.

Troisième cas de figure : la réserve naturelle. L’Etat, par l’intermédiaire du préfet, nomme un gestionnaire, le plus souvent une association qui emploie une équipe chargée de protéger le site.

Le directeur de parc naturel est un véritable homme orchestre aux multiples fonctions. Avant tout, c’est un gestionnaire qui gère un budget et des hommes (agents techniques, techniciens, ingénieurs des eaux et forêts…) mais c’est aussi un gestionnaire de projets et un communicant qui doit assurer la promotion, la préservation et le développement de sa structure (marketing territorial, communication institutionnelle…).

C’est aussi un spécialiste de l’environnement qui peut, par exemple, mettre en place dans le parc toutes les conditions nécessaires à la vie et à la reproduction de telles ou telles espèces d’oiseaux ou de reptiles.

Il doit aussi collaborer avec des scientifiques, avoir des notions de droit de l’environnement, encadrer l’accueil du public, organiser les relations entre le parc et les responsables locaux.

Diplomatie, compétences techniques, juridiques et en gestion, telles sont les qualités et compétences essentielles pour exercer ce métier.

[/td_block_text_with_title][td_block_text_with_title custom_title= »Études / Formation : » header_color= »#7030a0″]

Il n’existe pas de formation type. Le profil d’un directeur de parc national, régional ou d’une réserve naturelle peut être celui d’un scientifique avec une expérience dans la gestion des milieux. Un profil gestion + formation scientifique est aussi possible.

A ce poste, les formations bac+2/3 ne sont pas suffisantes. C’est au niveau des écoles d’ingénieurs que les formations se situent : ingénieur IPEF (ponts, eaux et forêts ) ; AgroParisTech ENGREF ; Bordeaux Sciences Agro, Cnam Paris.

Les formations universitaires master et post-master dans le domaine de l’environnement mais aussi dans la gestion de projet avec une expérience dans ce dernier domaine sont aussi intéressantes.

Les recrutements s’effectuent sur dossier ou par concours.

[/td_block_text_with_title][td_block_text_with_title custom_title= » Évolutions : » header_color= »#7030a0″]

Les évolutions ne sont pas nombreuses. Un directeur de parc naturel peut occuper une fonction de responsabilité au ministère de l’environnement, de l’énergie et de la mer ou intégrer le service gestion des risques-environnement d’une grande entreprise opérant dans le domaine de la chimie ou de l’énergie.

[/td_block_text_with_title][td_block_text_with_title custom_title= »Salaires » header_color= »#7030a0″]

Les salaires sont très variables selon que l’employeur est un organisme public, privé, une collectivité régionale, une association. Information auprès du ministère de l’Ecologie, de l’Energie, du Développement durable.

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L’Institut des sciences et industries du vivant et de l’environnement, dit AgroParisTech, est l’une des 210 écoles d’ingénieurs françaises habilitées à délivrer un diplôme d’ingénieur. Il est placé sous la tutelle du ministère de l’Agriculture.

AgroParisTech est membre du pôle de recherche et d’enseignement supérieur UniverSud Paris, du pôle ParisTech et de la conférence des grandes écoles et bénéficie du statut de grand établissement.

AgroParisTech est un des membres fondateurs du centre technologique Paris-Saclay. Le déménagement de ses bâtiments sur le campus du plateau de Saclay est prévu pour 2019.

L’École nationale supérieure des sciences agronomiques de Bordeaux ou Bordeaux Sciences Agro est l’une des 210 écoles d’ingénieurs françaises habilitées à délivrer un diplôme d’ingénieur.

Elle est située au cœur du campus de Bordeaux dans le département de la Gironde en région Nouvelle-Aquitaine.

Niveau de formation

Bac + 5

Type de formation

Ingénieur ponts, eaux et forêts

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Catégories
Protéger l'environnement

Conducteur de station d’épuration

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Le conducteur de station d’épuration « lave » l’eau. Il épure et retraite les eaux urbaines et industrielles usées. Il est biologiste, chimiste et électromécanicien. Il traite les boues en les déshydratant.

[td_block_text_with_title custom_title= »Description métier : » header_color= »#7030a0″]

Le conducteur de station d’épuration assure tous les entretiens quotidiens des installations permettant le bon fonctionnement de la station.

Son travail tourne autour de trois axes essentiels : le pré-traitement, le traitement des boues et l’entretien des bassins. Cela exige la polyvalence.

Quotidiennement, il relève les compteurs des turbines, analyse l’acidité de l’eau, contrôle les pompes, entretient et répare les équipements.

Il doit doser les produits chimiques d’épuration, effectuer les prélèvements nécessaires aux analyses pour le contrôle de la qualité des eaux, opérer les réglages et mesures correctives. D’une manière générale, il veille au bon fonctionnement des installations.

Il s’occupe en outre du traitement des boues. Il a la responsabilité de la gestion des stocks de produits comme le chlorure ferrique, les polymères, la chaux…

Plusieurs fois par jour, il règle les centrifugeuses afin de mesurer la siccité des boues c’est-à-dire leur état de sécheresse et donc leur contenu en eau. C’est lui qui s’occupe de la déshydratation des boues. Enfin, il organise l’évacuation des boues : prise des rendez-vous avec les chauffeurs de camions, nettoyage des bennes et des cuves de stockage.

Le conducteur de station d’épuration doit aussi être capable d’assurer les dépannages et le renouvellement de des équipements ce qui nécessite des compétences techniques notamment en électromécanique.

S’il dispose d’une grande autonomie, son travail implique des responsabilités. Travailler au traitement des effluents qu’ils soient urbains ou naturels mais souillés nécessite une fibre environnementale sans faille.

Il ne s’agit pas d’un travail de bureau. La station debout est la plus fréquente. Il travaille pour une collectivité locale ou une société privée de traitement des eaux usées.

[/td_block_text_with_title][td_block_text_with_title custom_title= »Études / Formation : » header_color= »#7030a0″]

Du CAP au BTS :

– CAP AQE – agent de la qualité de l’eau,
– CAP agent d’assainissement et de collecte des déchets liquides spéciaux,
– Bac pro PCE – procédés de la chimie, de l’eau et des papiers-cartons,
– Bac pro GPPE – gestion des pollutions et protection de l’environnement.

Les BTS préparent à une qualification visant la prise de responsabilité en entreprise ou en collectivité territoriale :
– BTS métiers de l’eau,
– BTSA Gémeau – gestion et maîtrise de l’eau,
– BTS MSE – métiers des services à l’environnement.

[/td_block_text_with_title][td_block_text_with_title custom_title= » Évolutions : » header_color= »#7030a0″]

Après plusieurs années d’expérience, le conducteur de station d’épuration peut prendre des responsabilités et voir son poste évoluer vers celui de chef de secteur

[/td_block_text_with_title][td_block_text_with_title custom_title= »Salaires » header_color= »#7030a0″]

Un agent débutant gagne le Smic (1 480,27 € brut mensuel). Un agent qualifié gagne 1 600 € hors primes.

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[td_block_ad_box spot_id= »sidebar »][td_block_3 category_id= »76″ ajax_pagination= »next_prev »]

Le titulaire du CAP Agent de la Qualité de l’Eau peut exercer son activité au sein d’entreprises(Véolia, Saur, Suez, etc.) ou de services publics (régie municipale de l’eau de Paris, communautés urbaines, piscines, etc.) intervenants dans les domaines du traitement des eaux, de leur distribution ainsi que du suivi de leur qualité.

Le titulaire de ce diplôme est un professionnel qualifié chargé du traitement des déchets industriels liquides : hydrocarbures, produits explosifs, mélanges dangereux, produits toxiques, etc.

Les connaissances acquises au cours du CAP lui permettent d’effectuer des travaux de nettoyage de dispositifs d’assainissement et/ou d’installations industrielles, de collecte des déchets pompables, d’exploitation des réseaux d’assainissement.

En assainissement, ce professionnel procède à l’identification des produits et des ouvrages de récupération, à la vérification des réseaux, au curage, au pompage, au nettoyage des cuves, au transport des déchets. Le diplômé connaît les véhicules d’assainissement, les pompes, le matériel d’inspection et de curage. Il a appris à reconnaître les risques que ces déchets entraînent. Il sait appliquer les consignes de sécurité et les mesures de protection du public et de l’environnement.

La formation BTS Gemeau forme des techniciens supérieurs en gestion et maîtrise de l’eau employés par des entreprises privées ou publiques très diverses. Dans tous les cas, il fait appel à des compétences spécifiques au domaine de l’eau.

Niveau de formation

CAP / BAC Pro / BTS

Diplôme obtenu

Conducteur de station d’épuration

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