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L’enseignement au Congo

Histoire de l’enseignement au Congo

L’enseignement au Congo belge était semblable à l’enseignement officiel de Belgique. Les six premières années sont appelées « primaires » (6 à 12 ans). Le cycle « secondaire » se divise en deux: Deux années de cycle d’orientation et quatre années de cycle secondaire appelé aussi Humanités. Le cycle secondaire offre plusieurs orientations, à savoir : humanités pédagogiques (psychologie, pédagogie), les humanités littéraires (latin, grec, mathématiques), humanités scientifiques (Biologie, Chimie) et (Maths-Physique), les humanités commerciales (sciences commerciales et administratives), les humanités techniques (mécanique générale, électronique, électricité, arts et métiers), les humanités professionnelles, 3 ans après le cycle d’orientation (mécanique auto, électricité, techniques commerciales, accoucheuses, aides-soignantes, coupe et couture…. ). Un diplôme sanctionne la fin de cycle de trois ans des humanités professionnelles. Le terme des six années secondaires est sanctionné par un diplôme d’État d’études secondaires, après avoir passé un examen d’admission portant sur la capacité d’entreprendre les études choisies (examens d’État). Le diplôme d’État offre le choix aux études supérieures (enseignement non universitaire: entre 2 et 6 ans dont un an de classe préparatoire) et ou « universitaires » (2 années de candidature, trois et plus d’années de licence, suivies d’un doctorat).

Malgré le fait que le financement public de l’éducation se soit effondré dès 1985, le système éducatif congolais a continué à se développer, et ce grâce au financement direct des ménages.

En 2001/2002, le pays comptait près de 19 100 écoles primaires avec 159 000 enseignants pour plus de 5,47 millions d’élèves et près de 8 000 écoles secondaires avec 108 000 enseignants pour 1,6 million d’élèves. La même année, l’enseignement supérieur comptait près 326 établissements pour 200 000 étudiants.

Le taux de scolarité est de 76 % en milieu urbain et 48 % en milieu rural.

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Etudier en France, ce qu’il faut savoir pour les étudiants camerounais

Etudier en France, ce qu’il faut savoir pour les étudiants camerounais

Les nouveautés dans la demande de visa étudiant!

C’est au cours d’une conférence de presse organisée le 3 avril 2009 que des responsables de l’ambassade de France au Cameroun, accompagnés des membres de CampusFrance, ont tenu à éclairer l’opinion publique camerounaise sur les procédures à remplir pour l’obtention d’un visa pour continuer les études en France. Il s’agit notamment de remplir les conditions telles que les justifications d’admission dans un établissement, de ressources pour un an, d’ouverture de compte et un passeport valide.

D’après les différents participants à cette conférence, ce sont les candidats qui passent par CampusFrance qui sont les plus privilégiés. Mais il faut qu’ils remplissent toutes les conditions requises, ce qui leur permet d’obtenir de plein droit le titre de séjour s’il est inscrit dans un établissement du dispositif. Cependant, il peut arriver qu’un candidat soit accepté dans une institution et que le visa ne lui soit pas accordé parce que l’université n’est pas toujours en possession des éléments dont nous avons besoin, précise Aïda Sy-Wonyu, responsable de l’espace CampusFrance Cameroun.

 

© Journalducameroun.com

Le choix des étudiants pour étudier en France étant devenu plus sélectif, les conditions d’obtention d’un visa pour le pays de Nicolas Sarkozy relèvent de plus en plus d’un véritable parcours du combattant. Devant leur capacité d’accueil réduite, les universités n’appliquent qu’une règle: la sélection des meilleurs dossiers. L’on dénombre donc aujourd’hui 5200 camerounais inscrits dans les universités et les grandes écoles françaises. En 2008, 1419 candidats ont passé les entretiens pour des inscriptions. Et depuis le début de cette année, l’on enregistre déjà près de 600 dossiers reçus pour les inscriptions en première année. Des demandes de visas pour étudier en France qui vont croissantes malgré leur difficulté d’obtention. A l’ambassade de France au Cameroun, c’est une longue file de personnes qui attendent des heures durant dans le but d’obtenir un visa. Ce qui n’est pas évident: J’ai fais des demandes de visas pour la France trois fois pour aller continuer mes études et je n’ai jamais pu voyager, et aujourd’hui, je suis découragée, raconte une étudiante de l’université de Yaoundé I.

Des camerounais qui fréquentent en France, 95% étudient sur fonds propres. Même si des bourses d’étude sont encore octroyées, elles sont très peu nombreuses. Sur 140 dossiers de bourses d’études reçus l’année dernière, 28 ont été retenus. Des dossiers qui sont essentiellement axés sur le renforcement des capacités des universités et des cadres de ministères.

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Bourses du gouvernement français 2017

Bourses du gouvernement français 2017

Orientations du Service de Coopération et d’Action Culturelle (2017)

Le Service de Coopération et d’Action Culturelle de l’Ambassade de France attribue des bourses du gouvernement français à des étudiants camerounais souhaitant poursuivre leurs études en France.

Ces bourses sont attribuées pour des formations de Master et des séjours de recherche doctorale.

La priorité est donnée aux demandes :
• Emanant des institutions d’enseignement supérieur camerounaises
• Se rattachant à des actions prioritaires de coopération bilatérale
• Portant sur des problématiques clés du développement
• S’insérant dans le cadre de partenariats entre universités françaises et camerounaises
• En partenariat avec les instituts de recherche français (IRD, CIRAD, ANRS…)

Critères d’éligibilité pour l’obtention d’une bourse du gouvernement français :

Etre de nationalité camerounaise, âgé de moins de 26 ans (Master), de moins de 32 ans (Doctorat), et remplir les conditions requises.

En complément de l’excellence académique des candidats, les dossiers seront évalués selon leur pertinence au regard des priorités sectorielles suivantes :

Secteur Santé
Secteur Environnement et Climat
Secteur Biodiversité et conservation
Secteur Développement Durable
Secteur Océanographie & Littoral
Secteur Géomatique & Télédétection
Secteur Gouvernance (Droit, Sciences politiques…)
Secteur Développement Culturel

Procédure de sélection :

Bourses de Master :

En 2017, quelques bourses de niveau Master seront attribuées uniquement dans le cadre de partenariats avec les instituts de recherche français. Les instituts français transmettent directement les dossiers au Service de Coopération avant le 31 mars 2017.

Les étudiants ne peuvent déposer directement un dossier de demande de bourse de Master.

Bourse de Doctorat :

Le formulaire de candidature est téléchargeable sur cette page.

Les dossiers de candidature devront être imprimés et déposés à l’accueil du SCAC (Institut Français du Cameroun), avec votre nom et vos coordonnées au plus tard le 31 mars 2017.

(Attention : seuls les dossiers complets et sur support papier seront acceptés).

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ETUDIANTS AFRICAINS EN FRANCE, QUEL PARCOURS?

ETUDIANTS AFRICAINS EN FRANCE, QUEL PARCOURS?

N.D.L.R. Jusqu’à 110 000 étudiants africains s’inscrivent chaque année dans des établissements d’enseignement supérieur français (chiffres 2005-2006 ). Ce fort contingent est aussi à relativiser avec la forte mobilité des étudiants africains à l’étranger. « Les étudiants africains sont les plus mobiles au monde », explique Pierre-Antoine Gioan, responsable géographique Afrique de Campus France. « 10 % d’entre eux partent étudier dans un pays étranger. Entre 30 % et 40 % en France, puis en Afrique du Sud, aux Etats-Unis, au Royaume Uni et en Allemagne ».

Etudiants africains en France, quel parcours? par Christelle Auguste

Etudier en France n’a rien d’un séjour touristique ou d’agrément. Les rouages, les étudiants étrangers les connaissent aussi bien que la sonnerie étourdissante de leurs réveils matin. Ils sont confrontés au quotidien aux tracasseries administratives, aux suspicions et aux soucis d’argent.

Un étudiant étranger pour dix Français

Dossiers verts pour les étrangers résidants d’un côté, dossiers blancs transmis par les consulats, de l’autre. Dernières vérifications au bureau des admissions des étudiants étrangers de l’université Paris 8 avant le départ en vacances. Patrick Saint-Léger, le responsable, reçoit quotidiennement plusieurs demandes de renseignements provenant de l’étranger. Avec un étudiant étranger pour 10 Français, la France reste la troisième destination études au monde après les Etats-Unis et la Grande-Bretagne. Parmi ses plus grands prétendants : le Maghreb et l’Afrique noire. A Paris 8, la moyenne d’étudiants originaires de ce continent est une des plus élevée. Dans cette université de banlieue, la grisaille des murs contraste avec le métissage ambiant. Près de 3 étudiants sur 10 sont de nationalité étrangère hors Union européenne. Entre le téléphone et son PC, Patrick Saint-Léger, parcourt quelques dossiers de pré-inscription en première année qu’il a en charge de gérer. « Les demandes doublent d’une année sur l’autre », souligne ce responsable. Avec la libéralisation des frontières, au Maroc, ces deux dernières années et sa longue tradition d’accueil d’étudiants étrangers, l’université fait face à un nouvel afflux.

La loi des meilleurs
Pour une récente rentrée universitaire, rien qu’en provenance du Sénégal, le responsable du bureau des admissions de Paris 8 a reçu 101 dossiers de première inscription. Seules 33 demandes ont été acceptées. Les demandes viennent majoritairement du Sénégal, du Cameroun, de la Côte d’Ivoire, du Gabon, du Mali , du Maroc et de l’Algérie, pour l’Afrique francophone. Devant leur capacité d’accueil réduite, les universités n’appliquent qu’une règle : la sélection des meilleurs dossiers. D’abord les nouveaux bacheliers en France, résidants étrangers compris. Viennent ensuite, les transferts d’universités à universités et enfin les dossiers étrangers au cas par cas, au prix de nombreuses déceptions. Cette mère, qui appelle du Maroc, commence à peine à se rendre compte des difficultés qui l’attendent. Sa fille vient d’obtenir son baccalauréat dans un lycée au pays. Elle ne peut pas s’inscrire pour la rentrée de cette année à Paris 8 ni dans une autre université française. « Les inscriptions sont closes malheureusement », lui répond-t-on au bureau des admissions. Il ne lui reste plus qu’ à retirer un dossier au service culturel de l’ambassade de France, à Rabat, pour la rentrée 2003, procédure normale pour les étrangers non résidant en France. Beaucoup la contournent pourtant, parce que seule une infime partie des demandes pourra être validée. Saturées, les ambassades délivrent donc au compte-goutte les visas mention : « étudiant » pour la France.

Vannes fermées pour la France

Constituer un dossier complet est la première difficulté du prétendant aux études en France. En plus des traditionnelles pièces, photocopies certifiées conformes des diplômes, les étudiants étrangers doivent obtenir, avant leur départ une foule de documents complexes : des justificatifs de ressources, une pré-inscription par l’université française, un visa « long séjour étudiant » émis provisoirement par l’ambassade du pays et enfin un certificat médical, signé du médecin de la coopération française du pays de départ. Ce dernier document demandé est des plus controversés. Si l’on en croit les dires des étudiants africains, il n’aurait pas pour finalité de les informer de leur état de santé, ni de vérifier qu’ils sont à jour concernant les vaccinations obligatoires en France. Certains étudiants sont convaincus que c’est une manière détournée de s’assurer qu’ils ne sont pas atteints de maladies graves pour leur refuser ensuite leurs visas.

La France « des désillusions »

Alikaou, son bac en poche obtenu au Mali, s’est inscrit en première année de Maths et Analyses numériques à l’Institut Galilée à Paris. Il déclare : « Les gens au pays ont une autre idée de la vie ici, ils pensent que tout est facile, mais moi, je pense que c’est le contraire. Quand tu n’as pas la nationalité française, c’est difficile ». Désirée, elle, vient de la République démocratique du Congo. Elle est une des rares étudiantes étrangères, non boursières du gouvernement français, à avoir franchi ce premier cap sans grande difficulté. Elle a une sœur à Paris qui l’héberge et subvient à ses besoins avec l’aide de son père. A 24 ans, une maîtrise de Droit en poche, elle a quitté son pays pour s’inscrire à la Sorbonne. Désirée voulait préparer l’examen d’accès à l’école des avocats. Il ne lui restait plus qu’à se présenter au secrétariat de l’université, une fois sur place pour le faire. A priori, il ne s’agissait que d’une petite formalité pour confirmer et valider son choix d’ inscription. Mais l’université lui a refusé cette inscription et préconisé d’entreprendre un DEA d’Anthropologie juridique, une science qui analyse les institutions et les principes de Droit des pays. Un diplôme d’études approfondies de troisième cycle universitaire, qui ne lui permettrait cependant pas d’accéder directement à l’école des avocats. Pour Désirée, la position du secrétariat de la Sorbonne, une des plus vieilles et des plus cotées des universités françaises, était claire : soit elle acceptait son inscription en DEA, soit elle refusait mais dans ce cas, elle n’obtiendrait pas d’autre inscription dans cette université. « Quand cette dame m’a reçue, elle a voulu d’office me réinscrire en maîtrise de Droit », explique pour conclure Désirée, alors qu’elle était déjà en possession de ce diplôme.

Catalogués africains

Avec les suspicions de faux diplômes qui pèsent sur certains pays d’Afrique, instables politiquement, tel que la République démocratique du Congo, le secrétariat lui a donc vivement recommandé de s’inscrire d’abord pour obtenir un diplôme français. Pour certains pays, les tampons de certifications des consulats font foi. Pour d’autres, rien ne permet, selon le responsable d’un bureau d’admissions universitaires, de s’assurer que « les employés autochtones ne monnayent pas les diplômes, ce dont on les accuse parfois.» « J’ai été sous-estimée, rabaissée, parce que je viens d’Afrique », confie Désirée. Elle l’affirme aujourd’hui : « En France, avec un diplôme africain, on n’est pas forcément bien vu. Il faut savoir rester ferme sur ses exigences et, au mieux, quitter les facultés du pays avec un bon dossier universitaire. » Les diplômes obtenus avec mention ne sont pas plus crédibles pour autant aux yeux de l’administration française. Un étudiant qui prétend, lorsqu’il remplit son dossier de pré-inscription, avoir une mention très bien et qui se présente ensuite avec une mention passable, a de quoi paraître suspect aux yeux du personnel des bureaux d’admissions. Il a l’œil. « On a un peu repéré, avec le temps, les ressortissants des pays qui fournissent vraiment des faux comme Haïti, la République démocratique du Congo, un peu mais beaucoup moins, le Sénégal et aussi l’Afrique anglophone. Oui, il y a des préjugés, parfois justifiés », déclare franchement un responsable administratif. Au secrétariat, on avoue ne pas être experts mais on fait attention : « Il arrive que l’on s’attache à des petits détails comme les dates, les chiffres ». Les agents vérifient, par exemple, que l’âge de l’étudiant et l’année d’obtention du diplôme correspondent au parcours. Les diplômes sont ainsi triés sur le volet, vérifiés, lors de la présentation des originaux par l’étudiant, ce qui semble parfaitement naturel. Malheureusement, une suspicion presque systématique paraît mal vécue par la majorité des étudiants, qui en témoignent.

« Des préjugés qui collent à la peau »

Adonis est boursier du gouvernement français.Il est arrivé du Cameroun, l’été dernier pour préparer le fameux DEA en Anthropologie juridique, une des rares spécialités qui aborde des réalités du continent africain. Il n’a pas eu à souffrir personnellement « des préjugés qui collent à la peau des étudiants africains » mais il les connaît bien, dit-il. Deux des plus tenaces ressortent des discussions échangées, à l’occasion d’un cours. Il s’agit des préjugés d’incompétence ou de corruption. « Convaincre à la fac, mais aussi au quotidien, c’est ce que nous nous devons de faire, nous autres étudiants africains, et plus que les autres ». Convaincre qu’il ne sont, ni des imposteurs, ni des parvenus. « Ces pratiques, si elles existent, ne peuvent être étendues à tous les Africains. Je n’ai jamais entendu parler d’instituts qui fourniraient des diplômes à la pelle, moyennant finance. Oui, il y a bien eu en Afrique, quelques problèmes, de fraudes informatiques dans le cadre des examens. Il y a bien eu quelques faveurs accordées ci et là, quelques rumeurs de « notes sexuellement transmissibles », comme on dit chez moi au Cameroun, et, malheureusement, il faut l’avouer, nos universités sont mal gérées, mais tout ceci n’est pas propre à l’Afrique et il s’agit de quelques faits isolés, exhibés comme la norme en France et en Europe. On dirait, ajoute t-il, qu’ une seule dent gâtée a pourri toute la bouche. »

Pas de droit à l’erreur

Malgré tout, l’administration en est convaincue, ses responsables le disent tout simplement : tous les étudiants ne sont pas de mauvaise foi. Les universités et les IUT français ont accueilli l’an dernier 140 849 étudiants étrangers. Et « a priori, ils sont très motivés, car ces étudiants ont une obligation de réussite ». Elle ne leur est pas imposée par l’université mais par les contrôles des services de préfecture…à l’affût des faux étudiants qui prétexteraient d’étudier en France alors qu’ils n’obtiennent que peu de résultats. Il existe quelques cas isolés. Patrick Saint-Léger, responsable des admissions à Paris 8 cite l’exemple d’un étudiant qui a obtenu très peu de résultats aux examens et que l’on soupçonne de travailler à temps complet, sans autorisation. Les vérifications ? Elles restent très informelles. Le conseil de l’université ne se réunit pas pour émettre un avis sur la réalité des études ou l’évolution des résultats de l’étudiant qui prétend à un renouvellement de son titre de séjour. « Nous recevons un appel de temps en temps des services de la préfecture. Ils veulent s’assurer que l’étudiant fréquente régulièrement l’université. Ils veulent aussi avoir une idée des notes obtenues ». La décision de renouvellement de permis de séjour n’ appartient pas aux universités.  » Nous n’avons aucun regard là-dessus. Un changement d’orientation, un manque de cohérence dans les études, peut suffire à motiver un refus de la préfecture ». « On attend de nous autres étudiants étrangers, les mêmes résultats que ceux attendus des étudiants français. La différence c’est que nous ne pouvons pas nous permettre de rater nos études », conclut un étudiant.

Métro, boulot, Mac Do…et les études

Quand la solidarité africaine ne joue pas assez. Quand, sans le sou, manger, boire ou dormir devient une obsession immédiate plus grande que d’étudier. Quand multiplier les petits boulots au noir, même mal payés, devient la seule alternative, il est bien difficile de se consacrer pleinement à ses études. François, que ses copains de fac ont surnommé affectueusement « l’abbé Pierre », devient mélancolique. Il se souvient de ses premières années. « On se retrouvait parfois à quatre ou cinq à se partager un petit coin de ma chambre universitaire et un plat de pâtes ou de riz. » Une situation plus fréquente qu’il n’y paraît et pas seulement pour les étudiants arrivés en dehors des circuits de la procédure normale d’inscription. La menace pèse sur tout étudiant étranger, non boursier, qui n’obtient pas le renouvellement de son visa d’une année sur l’autre. Sans titre, plus de carte d’étudiant et sans carte d’étudiant, plus de droits à la sécurité sociale, plus de moyens non plus de bénéficier de l’aide sociale étudiante. Un engrenage dont ne sont pas victimes les étrangers citoyens de l’Union européenne. S’inscrire dans une université française, quand on est étranger n’est pas aussi simple que quand on est français ou européen. Décrocher une bourse, ne l’est pas moins. « On vérifie ton bagage intellectuel, tes motivations, en plus de tes diplômes ». Par ailleurs, on constate que la grande majorité des étudiants étrangers ne sont pas boursiers et doivent travailler à côté pour financer leurs études sans dépasser la limite légale de 20h par semaine, ce qui les contraint en plus à accepter du travail clandestin, très mal rémunéré. Parfois même, on refuse de les payer après qu’il l’ait effectué.

« Il y a beaucoup d’hypocrisie autour de nous »

» Pour les Américains, c’est la compétence qui compte d’abord, explique un autre étudiant, alors qu’ici il y a une ambiguïté au niveau de la politique d’accueil des étudiants africains « . Une ambiguïté justifiée, selon lui, par une vision paternaliste du continent. Difficile en effet d’obtenir de la part de la préfecture une explication sur les motifs de refus de visas « étudiant », de recueillir une quelconque estimation sur le nombre de demandes enregistrées ou le nombre de titres octroyés depuis le début de l’année 2002, même sur les années précédentes. L’engagement de la France pour promouvoir la Francophonie devrait pourtant aisément se traduire dans les chiffres, par une facilité d’accès aux étudiants étrangers francophones sur le sol français. Ces informations sont tenues pour confidentielles, déclare -t-on, tant au ministère des Affaires étrangères, qu’à celui de l’Intérieur. Selon un rapport interministériel sur la question de l’Amélioration de l’accueil des étudiants étrangers (Elie cohen), le nombre de visas étudiants accordé aurait, doublé en trois ans. Toutefois, aucune possibilité de comparer ces chiffres avec d’autres documents établis par les administrations concernées n’est offerte aux citoyens. Or dans l’opinion, on ne fait pas de distinction entre un étranger qui immigre le temps d’étudier et un étranger qui immigre pour des raisons sociales, politiques ou économiques, regrette un autre universitaire africain. Et pour cause, il n’y aucune transparence dans la gestion de ces différents dossiers d’immigration et aucun chiffre ne permet de lever des ambiguïtés. Pour certains, étudier en France serait un prétexte. Professeurs et personnels d’encadrement n’y croient pas vraiment .  » Ils en veulent. Ces gens ne viennent pas se promener « , atteste Franck Arpin-Gonnet, directeur de l’unité juridique de Paris 8. Des étudiants étrangers, il en côtoie d’une dizaine de nationalités différentes en faculté de Droit, une des disciplines les plus prisées par ces étudiants, avec l’économie.

La préfecture sur le qui-vive

Désormais, à Paris 8, on ne transige plus avec la procédure. Si étudier en France n’a jamais été une démarche aisée, elle l’est encore moins aujourd’hui. Les universités ont l’obligation de contrôler les conditions d’entrée et de séjour des étudiants étrangers sur le territoire français, avant toute inscription. Ceux qui voudraient se risquer à l’aventure pour la France en dehors de la voie traditionnelle n’obtiendront pas d’inscription des universités françaises. Il y a deux ans encore, Paris 8, comme d’autres facultés, acceptait encore d’inscrire des étudiants étrangers arrivés en France avec un simple visa touristique, faute d’avoir pu obtenir un visa long séjour « étudiant » dans leur pays. « On a accepté des dérogations à tort et à travers en 1999. L’année noire pour l’université ». Le président de Paris 8 de l’époque a accordé plus de 500 dérogations à la procédure, au bénéfice d’étudiants étrangers ». La politique d’accueil favorable mise en place par certaines universités a eu pour fâcheuse conséquence de créer des étudiants sans papiers et d’attirer les foudres des ministères concernés. A force de bras de fers et de mobilisations, 50 % des sans papiers de Paris 8 ont depuis été régularisés par les préfectures, mais beaucoup d’étudiants sans papiers risquent encore l’expulsion.

L’obsession du retour

« Quand est-ce que tu vas finir tes études ? Est-ce que tu vas rester ici ? Tu peux être ministre si tu retournes chez toi ! ». François vit depuis 3 ans dans une petite studette de 18 m2. Bel immeuble dans le XVIIème arrondissement, rénové, de l’extérieur. A l’intérieur, contraste saisissant : des murs abîmés, l’humidité partout, les toilettes à l’ancienne, au bout du couloir et une douchette, à un pas du coin cuisine. Prix du loyer : 382 euros par mois, charges comprises. C’est dans cet espace confiné que François a préparé une thèse de doctorat sur la question du retour des étudiants sénégalais. Un thème qui lui tenait à cœur, inspiré de la curiosité qu’il a, lui même, suscité pendant son séjour de 12 années passées à fréquenter les universités de Montpellier, puis de Paris. Arrivé à la fin de ses études, il se réjouit de son départ prochain pour les Etats-Unis ou le Canada. Soulagé de ne plus avoir à répondre à ces « préoccupations à connotation xénophobe. J’ai envie de mettre à profit mes études. Mon projet n’est pas de rester en France ». Ses études, c’est en travaillant durement chaque été qu’il les a payées. « J’ai castré les maïs à Mont de Marsan dans les Landes, j’ai fait les fraises, les pommes, les melons dans l’Aviron. J’ai fait presque tous les métiers du monde. » Les recherches scientifiques de ce futur docteur en sociologie sont parlantes : « Il y a bien une réelle volonté de retour au pays des Sénégalais et encore plus chez les femmes. Beaucoup d’étudiants disent qu’ils ne peuvent pas vivre en France » , écrit-il.

Mais a-t-on vraiment le choix entre repartir au pays ou rester ? « Certains l’ont mais ils sont minoritaires, poursuit-il. Je pense à ceux qui ont fait des études en informatique, des études scientifiques ou techniques et dans d’autres domaines où l’on manque en France de main d’œuvre. Ceux-là peuvent hésiter. Tout dépendra de l’offre qui leur sera faite mais beaucoup repartent, pas toujours immédiatement. Ils le font souvent par convictions, pour des raisons sociales, comme le mariage par exemple. » Si de nombreux Africains quittent chaque année leurs pays pour la France, c’est parce que l’offre de leurs universités est restreinte. C’est une de leurs plus grandes faiblesses. Elles disposent de peu d’équipement, de peu de moyens financiers et n’ont pas assez de professeurs.

Des cerveaux convoités

Selon le rapport sur l’amélioration de l’accueil des étudiants étrangers en France, les étudiants étrangers, africains compris, arrivent en général en France à un stade très avancé de leur cursus. Ils viennent pour se perfectionner en effectuant un troisième cycle d’étude, un doctorat. Plus âgés que la moyenne française, beaucoup ont laissé femmes et enfants au pays, pour étudier. Quelles sont leurs ambitions ? Exercer des métiers de haute technologie et des métiers artistiques ou encore réaliser des carrières internationales. L’étroitesse et les conditions actuelles du marché du travail en Afrique, notamment, ne laissent pas beaucoup de débouchés immédiats. Il n’en demeure pas moins que ces étudiants constituent l’avenir des pays d’Afrique. Il y a de fortes chances pour que certains d’entre eux deviennent les cadres de demain, et donc des décideurs potentiels pour leurs pays respectifs. Ceci les place donc aujourd’hui au cœur d’une véritable stratégie commerciale à long terme, notamment aux Etats Unis, qui leur proposent des bourses à caractère social et un accès facilité aux études universitaires. La France a pris du retard dans cette course aux cerveaux, où les Etats-Unis excellent. Elle, qui s’est ouverte aux étudiants des anciennes colonies d’Afrique, au lendemain des indépendances, a perdu son attrait dans les années 90. Conscientes de l’attirance des étudiants étrangers pour d’autres destinations anglophones, les universités françaises tentent, depuis cinq à six ans, de regagner la faveur de l’étranger.

« Déclaration d’action internationale par université », création d’un conseil national, charte, simplification de la procédure d’autorisation de travail… Toutes ces mesures, préconisées par le rapport Cohen*, témoignent des efforts que doit fournir la France pour améliorer l’accueil et la vie quotidienne de ses étudiants étrangers. A Paris 8, professeurs et directeurs de départements affichent le plus grand des scepticismes : « Dans les ministères, on parle beaucoup de l’accueil des étudiants étrangers mais au-delà des mots, rien de concret n’est fait. Ils ne nous en donnent pas les moyens. » « Le froid, l’indifférence des gens d’ici », souvent évoqués dans les témoignages recueillis à l’occasion de cette enquête, semblent s’ajouter aux difficultés des étudiants étrangers. La nostalgie du pays accompagne chacun dans un parcours trop souvent déshumanisant.

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COÛT DES LOGEMENTS ESTUDIANTINS

COÛT DES LOGEMENTS ESTUDIANTINS: LES ÉTUDIANTS DÉSERTENT LA CITÉ UNIVERSITAIRE À DOUALA

Il est de plus en plus rare de trouver un logement décent d’étudiant au loyer mensuel de moins de 10 000 Fcfa dans l’enceinte de l’Université de Douala et au loyer inférieur à 17 000 Fcfa dans les Zones de résidence universitaire (Zru) de cette institution.

Réfectionnée, la cité universitaire de l’Université de Douala ne semble plus très sollicitée depuis le départ de l’ancien recteur, Pr Dieudonné Oyono. Construite en matériaux définitifs, la dite cité flambant neuve n’attire plus grand monde. «Voilà plus de 10 ans que je loge dans l’une des chambres de cette université moyennant 10 000 Fcfa le mois. Bien qu’affichant une allure royale vue de l’extérieur, la chambre qui est la mienne ne me satisfait pas. Tout comme mes voisins. Précarité et magouilles des responsables en charge de percevoir les frais de loyer sont au rendez-vous. Nous qui louons dans l’enceinte de l’Ud, souhaitons une meilleure prise en compte et le respect des lois en vigueur dans ce domaine», lancent en chœur des étudiants interrogés. Ces derniers, contraints de trouver refuge ailleurs à vil prix affirment, malheureusement être les victimes des particuliers, propriétaires des logements aux alentours de l’Université de Douala. Ils en appellent au respect des lois en la matière. « La majorité de logements privés se situe aux environs de l’enceinte universitaire dans le cas particulier des institutions universitaires publiques. Etant la propriété de particuliers qui jouissent d’un chèque en blanc, l’arbitraire est le quotidien auquel sont soumis les étudiants de la part des bailleurs avec la flambée exorbitante des prix des loyers et la désaffection des pouvoirs publics à ce sujet », décrient les étudiants. Ceux-ci déplorent la lassitude des étudiants dans un contexte de précarité, d’insalubrité et d’insécurité en Zones de Résidences Universitaire (ZRU), de non maîtrise des prix des loyers des logements des étudiants, des rapports de plus en plus dégradés entre les étudiants et les bailleurs, de non application de la grille tarifaire de l’arrêté de 1990 et d’absence totale d’une politique publique ayant contribué à déclencher les mouvements d’humeur très importants qui ont accompagné les mouvements de grève de 2005.

En outre, les universitaires réunis autour de l’Association pour la Défense des Droits des Étudiants du Cameroun (Addec)  viennent de publier un rapport qui révèle que dans les Zru, «les étudiants  sont en plein cas de constructions anarchiques, non règlementées, en bref, dans un contexte de laisser-aller déconcertant. La densité généralement immense crée une insécurité devant laquelle les agents de police estiment être impuissants. Le dernier étudiant assassiné en Zru de Bonamoussadi date de juin 2015. Aucune enquête sur un assassinat d’étudiant n’a déjà abouti. Ces Zru sont de véritables havres d’alcoolisme fonctionnant au nez et à la barbe de tous ». Raison pour laquelle, les interlocuteurs demandent au Gouvernement camerounais de s’intéresser à la question de la vie de l’étudiant afin de légiférer dessus en tenant compte de la vulnérabilité de la classe estudiantine ; Mettre sur pied un organe national consacré à l’amélioration des conditions de vie des étudiants qui pourra avoir pour tutelle le Minesup. Un organe qui sera décentralisé dans les collectivités territoriales abritant les sites universitaires.

Rappelons que l’Addec est une association qui embrasse toutes les sensibilités, représente et défend les intérêts des étudiants de l’ensemble des universités publiques et privées du Cameroun ainsi que des étudiants camerounais de la diaspora. Elle est née le 31 mars 2004 à l’issue d’une concertation populaire ayant regroupé près d’un millier d’étudiants à l’amphi 502 de l’Université de Yaoundé 1. L’association a déposé son dossier de légalisation à la préfecture de Mfoundi qui a été enregistré le 5 août 2004 sous le numéro 2438. Conformément à la loi n°90/053 du 19 décembre 1990 régissant les libertés associatives au Cameroun, l’Addec est légale depuis le 4 octobre 2004.

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Financer ses études

Financer ses études

Financer ses études

Bien que l’inscription à l’université soit gratuite, vivre au Maroc nécessite un certain coût. Entre le logement, la nourriture et les loisirs, il faut savoir gérer son porte-monnaie et appréhender ses dépenses.

LES BOURSES

L’Agence Marocaine de Coopération Internationale (AMCI) accorde des bourses aux étudiants étrangers. Le montant mensuel est de 750 DHS, monnaie locale, quelque soit la nature de la formation et sa durée. Ces bourses sont accordées dans le cadre des programmes de coopération convenues avec les pays partenaires et en fonction des quotas attribués chaque année par l’AMCI et le Ministère des Affaires Etrangères et de la Coopération.

Les bourses s’adressent aux étudiants devant poursuivre des cycles d’études d’une durée minimale de 2 ans et sanctionnés par un diplôme d’Etat. Les étudiants inscrits dans un établissement privé ne peuvent donc pas en recevoir. Elles sont accordées pour la durée réglementaire du cycle de formation considéré (de 2 à 7 ans). De plus, les étudiants boursiers peuvent bénéficier au terme de leurs études d’une contribution forfaitaire aux frais de mémoire et de thèse.

Le paiement des bourses est effectué par anticipation et tous les deux mois. Ces bourses couvrent les 12 mois de l’année. Pour les étudiants résidents à Rabat ou à proximité, elles sont payées au siège de l’AMCI. Pour les autres, le paiement s’effectue au sein des établissements universitaires désignés.

Retrouvez toutes les informations nécessaires sur le site de l’AMCI.

PAYER AU MAROC

La monnaie nationale du Maroc est le Dirham. Mais attention, l’import et l’export de la monnaie marocaine est strictement interdite. Vous ne pourrez donc pas convertir votre argent en dehors des frontières du Royaume. Il faut alors penser au change et aux autres moyens de paiement.

Le change

Sur présentation de bons de change, vous pourrez changer votre argent contre la monnaie nationale. Vous pouvez apporter un peu moins de 9 000 € en espèce par personne. Préférez l’argent liquide aux chèques vacances qui ne sont pas toujours acceptés au Maroc.
Vous trouverez des bureaux de change dans les aéroports, dans certains hôtels et dans la plupart des banques. Votre passeport sera nécessaire pour la transaction. Avant votre départ, pensez à échanger les dirhams qu’il vous reste.

Le moyen de paiement

La plupart de vos achats se règleront en liquide. Pour cela, vous trouverez des distributeurs automatiques de billet dans la quasi-totalité des établissements bancaires des grandes villes. Avant de partir, renseignez-vous auprès de votre banque pour savoir où vous pourrez tirer de l’argent avec votre carte bleue.

Ouvrir un compte bancaire

Pour éviter de payer des taxes ou bien si vous souhaitez travailler, il est conseillé d’ouvrir un compte bancaire au Maroc. Rassurez-vous, il s’agit d’une action plutôt facile et rapide. Attention, pour ouvrir un compte, vous avez besoin d’avoir une carte de séjour.

Pour cela, vous pouvez vous adressez à n’importe quel établissement bancaire dans le pays. Si vous choisissez la BMCE, vous n’aurez pas de frais d’ouverture ni de tenue de comptes. Faites attention au lieu de la banque : pour toutes opérations (dépôts, retraits, documents, etc.) vous devrez passer par l’agence dans laquelle vous avez ouvert votre compte.

Vous pouvez demander d’ouvrir un compte convertible, c’est-à-dire que vous pourrez ouvrir le compte dans une monnaie étrangère. Il sera converti automatiquement en dirhams. Toutefois, si vous ouvrez un compte en euros, vous ne pourrez y déposer que des euros. Si vous souhaitez travailler, vous devrez ouvrir un autre compte en dirhams.

A l’ouverture de votre compte, vous obtiendrez une carte de débit, utilisable partout au Maroc.

Les principales banques au Maroc :
- BMCE – Banque Marocaine du Commerce Extérieur
- Banque Attijariwafa
- Banque Populaire du Maroc
- Société Générale Maroc
- La BMCI-BNP Paribas

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S’inscrire dans une université au Maroc

S’inscrire dans une université au Maroc

S'inscrire dans une université au Maroc

Chaque année, le gouvernement marocain propose des places pédagogiques dans les établissements publics d’enseignement supérieur et professionnel aux étudiants des pays alliés. Pour s’inscrire, il faut bien suivre la procédure.

Les étudiants étrangers désirant s’inscrire dans un établissement d’enseignement supérieur au Maroc doivent s’adresser à l’Agence Marocaine de Coopération Internationale (AMCI) par la voie diplomatique française.

Pour qui ?

Pour s’inscrire à l’université marocaine, il faut avoir de bons résultats scolaires. Ainsi, les étudiants étrangers souhaitant intégrer une Licence doit être titulaire du bac ou équivalent avec mention. Pour les étudiants souhaitant entrer en Master, ils doivent être titulaires d’une licence avec la mention bien. Enfin, les étudiants s’inscrivant en Doctorat doivent être titulaires d’un Master.

Faites aussi bien attention à la limite d’âge !

Se pré inscrire

Pour s’inscrire dans un établissement d’enseignement supérieur au Maroc, les étudiants devront passer par le canal diplomatique de la France. Il faut constituer un dossier qui sera envoyé à l’Agence Marocaine de Coopération International avant le 31 juillet de chaque année. Cela ne sert à rien de passer directement par les universités, car votre demande ne sera pas acceptée. L’établissement pourra néanmoins vous renseigner sur la procédure à suivre.
Le dossier doit comprendre une demande de candidature précisant les filières et les établissements demandés, un formulaire de candidature fourni par l’AMCI, les photocopies de vos diplômes et notes, etc
Si votre candidature est acceptée, vous recevrez alors un courrier récapitulatif qui précisera les modalités d’inscription définitives au Maroc. Vous devrez signer et renvoyer cette lettre a l’AMCI. Attention, une fois la lettre envoyée, vous ne pourrez pas modifier votre demande d’inscription.

L’inscription définitive

Une fois arrivé au Maroc, vous devrez vous présenter impérativement au département de la Formation des Cadres, relevant de l’AMCI. Vous pourrez ainsi compléter votre dossier d’inscription, obtenir l’autorisation d’inscription et encaisser votre première bourse (si vous êtes boursier).
Une fois les papiers administratifs dûment rempli, rejoignez l’établissement de votre formation afin de valider l’inscription définitive. N’oubliez pas d’envoyer une copie conforme de l’attestions d’inscription délivré par l’établissement à l’AMCI.

Adresses

Agence Marocaine de Coopération Internationale
6 rue Tamesloht – Rabat
www.amci.ma

Département de L’enseignement Supérieur : www.enssup.gov.ma

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Obtenir une carte de séjour

Obtenir une carte de séjour

Obtenir une carte de séjour

Le Maroc ne faisant pas partie de l’Union Européen, un simple passeport ne suffit pas pour séjourner plus de trois mois dans le Royaume. L’une des premières choses à faire une fois arrivé sur place est de demander une carte de séjour.

Une fois arrivé au Maroc, vous devez effectuer trois tâches très importantes : finaliser votre inscription à l’université, trouver un logement et ensuite demander votre carte de séjour. En tant qu’étudiant étranger, vous disposer de trois mois pour la faire faire.

Pour demander votre carte de séjour, vous devez vous adresser auprès du service des étrangers de la Sûreté Nationale de la ville dans laquelle vous résidez. De nombreux documents vous seront alors demandés :
- Attestation d’inscription
- Attestation de bourse
- Contrat de bail ou quitus d’eau et d’électricité ou quitus du loyer
- 8 photos d’identités petit format
- Timbre de 60 DH
- Formulaire administratif à remplir
- Copie du passeport avec la dernière date d’entrée

Après avoir déposé votre demande, on vous remettra un récépissé, qui remplacera la carte de séjour en attendant qu’elle soit délivrée. La carte de séjour est valide pendant un an. Si vous restez plus longtemps, vous devrez la renouveler deux mois.

Adresse utiles :
- Ambassade du Maroc en France : www.amb-maroc.fr
- Services publics marocains en ligne : www.amb-maroc.fr
- Royal Air Maroc www.royalairmaroc.com

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Etudier au Maroc

Etudier au Maroc

Au Maroc le marché du logement est très segmenté et bien identifié, cependant le problème qui se pose est que l’offre est inférieur à la demande, ce qui n’est pas toujours facile si l’on ne connait personne surplace.
Appartement, chambre à louer, foyer, résidences universitaires, tels sont les différents types d’habitations pour un étudiant au Maroc.
Mais avant d’entreprendre la recherche d’un logement, il est nécessaire de déterminer son type de logement, en fonction de son statut, de ses moyens financiers et de la durée d son séjour, pour trouver un logement en adéquation avec ses attentes.
L’étudiant peut avoir recours à l’offre du secteur privé en matière de location. Il doit établir avec le propriétaire un contrat de bail nominatif qui lui sera réclamé lors du dépôt du dossier de la carte de séjour. En général, les étudiants qui des écoles privées doivent eux même trouver un logement :les écoles privées ne se chargent pas du logement de l’étudiant. Ce n’est pas une chose facile de trouver un logement au Maroc, à plus forte raison à Casablanca, qui est une ville qui compte plus de 10 millions d’habitants.
Il existe des démarcheurs et des annonceurs dans le journal gratuit ‘’Casa annonce’’ ou l’on trouve l’adresse de l’appartement, le nom du propriétaire, le cout de l’appartement et les prix se discutent. Les étudiants étrangers ne cherchent pas le luxe, mais ne cherchent pas un taudis non plus. Généralement les étudiants cherchent des logements autour ou à proximité de leurs écoles, ce qui leurs permet de réduire les frais de transport. Les étudiants optent pour la colocation entre amis ou entre camarades de classes, rare sont ceux ou celles qui habitent seul(e)s, ce qui leur permet de vivre en communauté et de ne pas se sentir isolé.

Se nourrir :

Les restaurants bon marché sont un grand classique de la vie estudiantine au Maroc. Il s’agit de restaurants ou les tarifs pratiqués sont très intéressant : un repas complet (poulet, frite, pain et riz) coute environ 20 à 30 DH (1000fcfa à 2000fcfa). Mais pour aussi moins de 10 DH (600fcfa) vous trouverez des sandwichs bien garnis qui peuvent servir de déjeuner.
Il existe aussi des franchises restaurations rapides comme : Macdonald, KFC, Pizza hut, et bien d’autres qui feront votre bonheur.
Vous trouverez toute une gamme d’établissements accueillants proposant le plus souvent une nourriture de grande qualité.
Enfin, si vous avez la possibilité de cuisiner, vous trouverez dans chaque ville de nombreux commerces d’alimentation et d’ustensiles, de grandes surfaces et de marchés en plein air. Ou que vous habitiez au Maroc, il y aura toujours à proximité une boulangerie pour faire vos provisions de baquettes de pain ou de croissants. Le kilogramme de baguette de pain coute 60 fcfa.

Se soigner :

Les étudiants du privé sont libres de consulter les hôpitaux du secteur de la santé publique comme du secteur privé. En général, ils ne bénéficient en aucun cas des tarifs préférentiels dans ces secteurs.
Cependant, les marocains restent flexibles face aux étudiants.
C’est pourquoi il est conseillé aux étudiants du privé de contracter une assurance maladie auprès d’un établissement privé d’assurance s’ils ne le sont pas dans leurs écoles.

S’habiller :

Le Maroc connait rarement des températures très basses 0 degré. Mais, pour une personne qui vient d’un pays chaud, la différence de température est considérable. Même en été il est parfois nécessaire d’avoir un pull-over à portée de main, car les soirées peuvent être fraiches.
Il peut pleuvoir en toute saison, avec des dominantes au printemps et à l’automne. Il faut toujours s’habiller chaudement car la plupart des salles de classes et autres endroits ou vous vous rendrez ne sont pas chauffés.
Pour ce qui est des endroits ou vous pouvez-vous acheter des vêtements, sachez que tous les quartiers commerçants des villes marocaines proposent des magasins de vêtements, pour tous les gouts et pour tous les prix. Mais c’est souvent à la périphérie des villes que l’on trouve les tarifs les plus intéressants, dans les grandes surfaces, spécialisées ou non.
Au Maroc, les saisons concernent aussi les magasins de vêtements et de chaussures : il y a une collection en hiver et une collection en été. Et après chaque collection, des soldes, durant lesquelles les articles restant en stock sont vendus avec des réductions très intéressantes (de 20 à 50% du prix initial). Ces soldes ont lieu en Janvier pour les collections d’hiver, en juillet pour les collections d’été. Il est toujours intéressant, si l’on peut se le permettre, d’attendre ces périodes pour faire ses achats.

Les loisirs :

Le Maroc étant un pays touristique, il offre de nombreuses opportunités pour se former et tout autant d’occasion de se distraire et de se cultiver agréablement.
Vous avez des salles de cinéma tel que le Méga rama qui dispose de 13 salles, des plages privés durant l’été, les soirées privées d’étudiants, soirées et spectacles culturelles, sports, tournois organisés par les associations.

Se déplacer :

En Avion :

C’est le moyen le plus simple pour se déplacer entre Agadir et le Nord du pays. La RAM (Royal Air Maroc) est compagnie aérienne nationale. Elle relie pratiquement toutes les villes du pays.

En train :

Le Maroc dispose d’un réseau ferroviaire relativement bien développé et entretenu. Celui-ci couvre la moitié Nord du pays et relie entre elles toutes les principales villes, de Tanger au Nord à Marrakech au Sud. L’aéroport international Mohammed V est aussi desservi par le rail. Supra Tours, une filiale de l’ONCF (office national des chemins de fer) dessert en bus les destinations non connectées au réseau ferré. La fréquence des trains est relativement bonne. Il faut signaler qu’ils sont en général assez ponctuels et la durée des trajets est souvent plus courte que ceux qui sont effectués par le bus. Les trains marocains sont économiques, climatisés, plutôt propres et efficaces. Le supplément pour la première classe vaut vraiment la peine. Les gares sont quelques fois assez éloignées des centres villes.
Le chemin de fer offre en définitive aux visiteurs la meilleure forme de transport en commun dans la moitié Nord du Maroc.

En car :

Le car est un moyen de transport très utilisé au Maroc. Une multitude de compagnies existent et offres des services inégaux, pour des tarifs cependant économiques. Les deux principales compagnies sont la CTM et SUPRA TOURS, et se partagent le marché des liaisons longues distances (entre les principales villes). SUPRA TOURS présente la particularité de desservir non reliées au réseau ferroviaire. Ces compagnies, qui utilisent des véhicules modernes, sont fiables et efficaces. Il est nécessaire d’enregistrer ses bagages à la gare routière avant le départ. Sur les liaisons courtes, les voyageurs ont le choix entre un grand nombre de petites compagnies. Le service varie en qualité et en ponctualité. Les bus utilisés sont souvent assez anciens et moins confortables.
Pour les liaisons entre grandes villes, il convient de réserver un ou deux jours à l’avance en haute saison. Les plus partent des gares routières, bien plus animées que les gares ferroviaires. Comme ces dernières, elles sont toujours localisées hors des centres villes. On y trouve les comptoirs des compagnies, ou acheter son billet. Il peut exister plusieurs gares routières dans une ville : ainsi les bus CTM à Casablanca disposent de leur propre gare, quant aux bus Supra Tours, ils partent souvent de la gare ferroviaire. Il convient de se renseigner au préalable.

En voiture :

Le réseau principal routier est bien entretenu. L’entretien du réseau secondaire est plus aléatoire.
La plus grande prudence est de mise la nuit, les routes étant fréquemment empruntées par les piétons, vélos, véhicules attelées qui sont exceptionnellement signalées par un éclairage. Attention également à la conduite des locaux qui montrent une nette préférence pour la circulation sur le milieu de la route (alors qu’elle doit, bien entendu, se faire à droite).
Un réseau autoroutier relie Tanger, Rabat, Fès, Casablanca, Settat et Jadida. On peut louer des véhicules dans les aéroports et dans les villes.

Taxis :

Grands Taxis :

Les grands taxis (Mercedes de type 240 ou 250, 280 ou 300 pour la plupart) font des liaisons entre la ville et l’extérieur, voire les villes avoisinantes. Le prix de la course se négocie avant le départ. Le taxi partira une fois rempli, il peut contenir jusqu’à 7 personnes (2 devant, 4 derrière et le conducteur). On peut acheter plusieurs places pour avoir de la place et hâter le départ.

Petits Taxis :

Les petits taxis sont légions dans les villes, ils ont une couleur particulière qui diffère selon la ville. Ils sont limités à l’intérieur des villes. Le cout minimum est de 7 DH (420FCFA). Toujours vérifier que le compteur fonctionne et exiger qu’il soit réinitialisé au début de la course. Dans le cas contraire refuser de monter.

Bus :

Il existe un réseau de bus dans chaque ville qui permettent de se déplacer de quartier en quartier, d’un endroit à un autre. Le cout variant de 4 DH à 6DH (240 à 360 FCFA).

En définitive, le Maroc dispose d’un excellent réseau de communication. Autoroutes, routes nationales et départementales et réseau ferroviaire. Pour se rendre d’une ville à une autre les moyens de transport ne manquent pas. On peut donc choisir, en fonction du temps dont on dispose et de son budget, le moyen de transport le plus adapté.

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Trouver un job ou un stage en Afrique du Sud

Trouver un job ou un stage en Afrique du Sud

Trouver un job ou un stage en Afrique du Sud

L’Afrique du Sud est un pays très dynamique économiquement comparé à ses voisins du continent africain.
Dans le monde du travail les relations et les décisions sont moins formelles qu’en Europe, et on fait davantage confiance aux jeunes. Profitez en pour tenter votre chance sur place !

Pour ceux d’entre vous qui recherchent des stages, Kunjani est une agence de placement dans des entreprises sud-africaines. Pour la petite histoire, l’agence a été crée par une française de 30 ans !
http://www.kunjani.org/

Pour les jobs, la meilleure solution reste les sites internet. Et encore une fois parlez de vos recherches autour de vous sur le campus : le bouche à oreille est vieux comme le monde, mais parfois redoutable d’efficacité !

Voici quelques adresses pour décrocher un job :
jobmail
bestjobs
south.africa.jobs
allsouthafricajobs

N’hésitez pas non plus à consulter très régulièrement les journaux de la presse écrite comme le Daily Mail & Guardian ou The Star, ou les journaux en ligne tels que l’Independent ou le Financial Mail Interactive. Vous y trouverez peut-être l’annonce qui vous conviendra !

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Exigences linguistiques

Exigences linguistiques

Exigences linguistiques

L’Afrique du Sud compte énormément de langues officielles. Cependant c’est en anglais que l’on s’exprime le plus souvent. C’est donc dans cette langue que sont dispensés les cours dans les universités. Vous devrez donc justifier votre maîtrise de la langue pour vous inscrire.

On vous demandera un score de 550 au TOEFL pour enregistrer votre inscription dans une université sud-africaine. Et si malheureusement vous n’atteignez pas le score requis, il ne vous reste plus qu’à prendre des cours intensifs ! Rapprochez-vous de votre université d’accueil qui vous aiguillera.

Le TOEFL, c’est quoi ?

Le TOEFL (Test of English as a Foreign Language) : le TOEFL iBT (Internet-based Test) évalue votre capacité à lire, comprendre, parler et écrire en anglais. La partie « listening » jaugera votre compréhension de l’anglais oral, la section « speaking » contrôlera votre aptitude à vous exprimer en anglais, l’étape « reading » mesurera votre aptitude à comprendre des tests non techniques ; quant au « writing », il appréciera votre capacité à écrire un texte sur un sujet donné. Vous pouvez vous inscrire au TOEFL en ligne sur www.ets.org/fr/toefl (en cliquant sur « My TOEFL iBT Account ») ou par téléphone au +31 3 20 239 540.
Vous obtiendrez toutes les informations nécessaires ainsi que les dates et lieux de passage sur www.ets.org/toefl. L’inscription vous coûtera 240 $ (environ 195 €).

Pour passer le test sur place tournez vous vers :
TOEFL
55 Empire Road
Empire Park building
Block C —Ground Floor
Parktown
Johannesburg, South Africa
Tel : +27 (11) 713 0600

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Se loger et se soigner en Afrique du Sud

Se loger et se soigner en Afrique du Sud

Se loger et se soigner en Afrique du Sud

Se loger

La grande majorité des universités sud-africaines ont des résidences étudiantes sur le campus. C’est souvent la solution la moins chère (comptez environ 100 euros par mois pour louer une chambre.)
Les établissement d’enseignement supérieurs ont aussi souvent un petit bureau des élèves qui peut vous aider à trouver un studio, si vous n’êtes pas tenté par la vie sur le campus. Ne soyez pas timide, allez les voir, c’est comme cela qu’on trouve généralement les bons plans.

Se soigner

- Visite Médicale
La procédure d’obtention du permis étudiant nécessite de passer une visite médicale. Renseignez-vous bien sur les modalités auprès de l’ambassade sud-africaine, lorsque vous ferez votre demande de dossier.

- Assurance maladie
Vous serez obligés de souscrire à une assurance maladie étudiante, comme dans bien d’autres pays. Le tarif moyen est généralement d’environ 10 euros par mois.

L’International Education Association of South Africa (IEASA) vous propose des plans d’assurance maladie spécialement dédiés aux étudiants. N’hésitez pas à prendre contact avec eux pour quelques conseils, avant de souscrire à une quelconque offre.
International Education Association of South Africa
P.O.Box : 65099
Reservoir Hills
Durban 4090
South Africa

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Enseignement supérieur en Afrique du sud

L’enseignement supérieur en Afrique du sud

L'enseignement supérieur en Afrique du sud

L’enseignement supérieur sud africain est considéré comme le meilleur de tout le continent africain. Avec plus de 900 000 étudiants dans le pays ses établissements sont reconnus dans le monde entier et ont d’ailleurs mis en place beaucoup de programmes d’échanges avec d’autres pays, voire d’autres continents.

L’année universitaire est divisée en deux sessions : de fin janvier à juin puis de juillet à novembre. Pour rappel : les saisons sont inversées par rapport à l’europe, vous aurez tout de même du soleil pour vos vacances de fin d’année !

L’Afrique du Sud compte 23 institutions publiques d’enseignement supérieurs,. On distingue les 11 universités dites d’Etat, les 6 Universities of technology (ou Technikons) et les 6 universités polyvalentes. Début 2012, on dénombre également 115 institutions privées d’enseignement supérieur.

- Les Technikons :
Ce sont des établissements techniques ou Universities of Technology qui en 3 années d’études, sanctionnées par un national diploma, ou 4 années d’études (Bacheor’s degree of Technology) préparent à une insertion dans la vie professionnelle dans le secteur technologiques ou celui du commerce.

- Les Universités :
Elles offrent des enseignements allant du 1er au 3e cycle dans des domaines aussi divers que variés : technologie de l’information, médecine, gestion administrative, sciences humaines et sociales, droit, agriculture, génie civile, architecture, sciences naturelles, etc…

Undergraduate : 1er cycle
Cursus d’une durée de 3 à 4 ans sanctionné par un Bachelor’s degree.
Le Honour’s degree est lui obtenu un an après ce Bachelor’s degree mais constitue l’étude d’un seul domaine d’approfondissement.

Graduate : 2nd et 3ème cycle
Ces cycles sont ouvert aux détenteurs du Bachelor’s degree. Il sont sanctionnés par :
Le Master’s degree : de un à trois ans d’études après le niveau graduate
Le Doctoral Degree : 4 ans et plus après le niveau graduate. Les postulants à ce diplôme devront effectuer un travail de recherche et produire une thèse.

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FEATURED Kenya

kenya

Présentation

 

Étudier au Kenya signifie aller au-delà de ce que vous voyez dépeint dans les médias et vivre plutôt ce qu’il signifie vraiment vivre, travailler et respirer le continent africain. Le Kenya, avec la capitale dynamique Nairobi, est l’une des nations les plus avancées et les plus avancées, en grande partie en raison de sa scène technologique croissante. Que vous ayez l’intention d’étudier, de stagiaire ou de travailler au Kenya, votre expérience sera complétée par la toile de fond de la nature sauvage africaine.

Peu importe si les villes dynamiques du Kenya ou les champs étincelants vous attirent, ses cultures et ses peuples diversifiés, la précieuse faune sauvage et les universités de plus en plus réputées vous parleront certainement pendant un certain temps (avant même de mentionner la possibilité de voir le lever du Kilimandjaro! ?). Profitez de cette occasion unique; Étudier à l’étranger au Kenya!

Le cycle d’application du Programme de bourses d’études international 2016-2017 est maintenant fermé et les demandes ne sont plus acceptées. Les demandes pour l’année scolaire 2017-18 seront disponibles à partir de janvier 2017.
Avant de contacter l’AKDN, veuillez lire les informations ci-dessous. Les adresses et les coordonnées sont disponibles dans les Procédures d’application. Si vous cherchez de l’information sur les bourses d’études, il est possible que cette liste de liens de bourses vous soit utile.La Fondation Aga Khan accorde chaque année un nombre limité de bourses d’études de troisième cycle à des étudiants remarquables de pays en développement sélectionnés qui n’ont pas d’autres moyens de financer leurs études, afin de développer des chercheurs et des dirigeants efficaces et de les préparer à l’emploi, AKDN. Les bourses sont octroyées sur une subvention de 50%: une subvention de 50% par le biais d’un processus de demande concurrentielle une fois par année en juin ou en juillet. La Fondation accorde la priorité aux demandes de maîtrise, mais est disposée à envisager des candidatures pour des programmes de doctorat, seulement dans le cas d’étudiants remarquables hautement recommandés pour leurs études doctorales par leurs professeurs et qui ont besoin d’un doctorat pour la réalisation de leurs objectifs professionnels. Universitaires ou axés sur la recherche).Les demandes de cours de courte durée ne sont pas prises en compte; Ni les demandes d’étudiants qui ont déjà commencé leur cursus.

ADMISSIBILITÉ

Portée géographique

La Fondation accepte les candidatures de ressortissants des pays suivants: Bangladesh, Inde, Pakistan, Afghanistan, Tadjikistan, Kirghizistan, Syrie, Égypte, Kenya, Tanzanie, Ouganda, Madagascar et Mozambique. En France, au Portugal, au Royaume-Uni, aux Etats-Unis et au Canada, les demandes sont acceptées de ceux qui proviennent d’un des pays en développement susmentionnés, s’intéressent aux études liées au développement et n’ont aucun autre moyen de financer leur éducation.

Exigence de résidence

La Fondation n’accepte que les demandes des ressortissants éligibles énumérés ci-dessus qui résident dans l’un des pays où il existe des bureaux locaux de l’Aga Khan Foundation (AKF), de l’Aga Khan Education Services (AKES) ou de l’Aga Khan Education Board (AKEB) Interview des candidats.

Limite d’âge

La préférence est accordée aux étudiants de moins de 30 ans.

LES CRITÈRES DE SÉLECTION

Les principaux critères de sélection des lauréats sont les suivants: l) excellents résultats scolaires; 2) besoins financiers réels; 3) admission à une université ou programme d’études de grande réputation; 4) pertinence du domaine d’études aux domaines d’intervention d’AKDN. Les candidats sont également évalués sur la démonstration de plans de formation et de carrière réfléchie et cohérente, leurs intérêts extra-scolaires et leurs réalisations, le potentiel pour atteindre leurs objectifs et la probabilité de réussir dans un environnement universitaire étranger. Les candidats doivent avoir quelques années d’expérience professionnelle dans leur domaine d’intérêt.

Aide financière

La Fondation aide les étudiants à payer des frais de scolarité et des frais de subsistance seulement. Le coût du voyage n’est pas inclus dans les bourses d’AKF. Le financement des programmes de doctorat n’est fourni que pour les deux premières années d’études, après quoi les étudiants doivent trouver d’autres sources d’aide. L’aide financière est fournie en fonction des besoins des étudiants, mais le FAI doit être considéré comme un prêteur de dernier recours. Il est demandé aux candidats de déployer tous les efforts possibles pour obtenir des fonds d’autres sources, afin que le montant demandé à la Fondation puisse être réduit au minimum. La préférence est accordée à ceux qui ont pu obtenir un financement de sources alternatives.

Conditions de prêt

La moitié du montant de la bourse est considérée comme un prêt, qui doit être remboursé avec une commission de service annuelle de 5%. Un garant est nécessaire pour co-signer le contrat de prêt. La période de récupération est de cinq ans, commençant six mois après la période d’étude financée par la Fondation Aga Khan.

Procédures de demande

Les procédures de candidature du Programme international de bourses d’AKF sont décentralisées. Les étudiants peuvent obtenir des formulaires de demande à partir du 1er janvier de chaque année auprès des bureaux d’AKF ou des services / conseils scolaires Aga Khan dans leur pays de résidence actuelle. Les demandes dûment remplies doivent être retournées à l’organisme auprès duquel le formulaire a été obtenu. Ils ne devraient pas être envoyés à Genève.

Date limite d’inscription

La date limite de soumission des demandes complètes est le 31 mars, mais dans certains pays, les délais internes peuvent être plus courts pour traiter et examiner les demandes. Il est conseillé aux candidats de communiquer avec les bureaux locaux pour les dates limites et les exigences internes, car elles peuvent varier d’un pays à l’autre. Les demandes tardives ou incomplètes ne seront pas acceptées.

ountry Offices Internal Deadlines
Aga Khan Foundation (Bangladesh) Deadline for submitting pre-application forms:
10th March, 2016Deadline for submitting completed applications:
31st March, 2016
Aga Khan Foundation (India) Deadline for application distribution:
16th March, 2016 (5:00 pm IST)Deadline for submitting completed applications:
19th March, 2016 (5:00 pm IST)
Aga Khan Foundation (Pakistan)
Aga Khan Education Board (Pakistan)
Deadline for submitting pre-application forms:
16th March, 2016Deadline for submitting completed applications:
31st March, 2016
Aga Khan Foundation (Portugal)
Aga Khan Education Board (Portugal)
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25th March, 2016
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FEATURED Ghana

Ghana

Présentation

Il existe huit universités publiques au Ghana; Université du Ghana, Université des Sciences et Technologies Kwame Nkrumah, Université de Cape Coast, Collège universitaire d’éducation, Université des sciences du développement, Université des mines et de la technologie, Université de la santé et des sciences apparentées et Université de l’énergie et des ressources naturelles.

Il existe plusieurs institutions publiques, des collèges universitaires et des institutions privées comptant plus d’une centaine.

 

Université du Ghana, Legon

L ‘Université est située sur un parc – comme le campus à Legon à environ 12 km du centre d’ Accra, la capitale. Comme son nom l’indique, c’est l’université du pays et, en raison de son excellente réputation, elle attire des étudiants étrangers, surtout des étudiants des États-Unis.

Université de science et de technologie de Kwame Nkrumah

Premier centre d’excellence en Afrique pour l’enseignement de la science et de la technologie au service du développement, qui produit des diplômés de haut calibre. Situé à Kumasi dans la région d’Ashanti.
Université de Cape Coast

Situé sur une colline surplombant l’Atlantique, il opère sur deux campus. Jouer un rôle unique et vital pour la nation.

Collège universitaire d’éducation

Un produit de sept diplôme d’attribution College se rassembler pour constituer un seul complexe intégré.

Université pour des études de développement

Fournir une formation aux étudiants pour leur permettre de vivre, de travailler et de se doter des compétences et de l’expertise nécessaires pour les préparer au travail indépendant.

Université de Valley View

Établi par l’Église adventiste du septième jour à provde étudiants et le personnel avec un environnement propice à l’équilibre de développement. Il met l’accent sur la recherche académique, la préparation professionnelle et la compréhension culturelle menant au service de la vie à l’humanité.
Collège universitaire central

L’Université centrale est une initiative d’éducation à but non lucratif de l’Église évangélique centrale internationale pour fournir une éducation chrétienne d’enseignement tertiaire pour l’expansion du Royaume des dieux.
Université d’Ashesi

Une filiale de la Fondation de l’Université Ashesi, une institution à but non lucratif soutenue par une société américaine basée à seattle, Washington.
Université des Mines et de la Technologie

L’Université des Mines et de la Technologie (UMaT), Tarkwa, a été créée en novembre 2004 pour fournir un enseignement supérieur dans les domaines des mines, de la technologie et des sciences connexes et pour servir de catalyseur au développement de l’industrie minière et de la technologie.

Il a été effectivement commencé en 1952 comme l’Institut technique de Tarkwa. En 1961, il a été réorganisé pour devenir l’école Tarkwa des mines pour former la main-d’œuvre requise pour les industries minières et connexes au Ghana. Il a été plus tard en 1976 affilié à l’Université Kwame Nkrumah de Science et Technologie (KNUST), Kumasi comme une faculté de l’Université. En 2001, il est devenu le Western University College de KNUST. Aujourd’hui, le campus est prêt à relever les défis du 21ème siècle comme l’Université des Mines et de la Technologie.

Bien qu’étant une jeune université, l’UMaT est l’une des meilleures universités de la nation. Situé à environ 89 km de Takoradi, la capitale régionale de l’Ouest et sur la voie haute, UMaT est accessible, sûr et amical. UMaT offre également aux étudiants un équilibre de l’excellence éducative et de l’expérience du monde réel. Connu pour ses programmes liés aux mines, UMaT offre également des diplômes en génie électrique / électronique, en génie mécanique, en mathématiques et en informatique et en génie.
Faculté des sciences et de la technologie de l’Université Regent

MISSION: Éduquer et éclairer une communauté d’apprenants d’une université chrétienne africaine de pointe qui se consacre à la préparation de ressources humaines hautement qualifiées en sciences et en technologie pour un développement socio-économique holistique et un renouveau spirituel.

VISION: Produire des ressources humaines axées sur l’objectif, engagées dans le renouveau socio-économique et spirituel, avec une expertise scientifique et technologique dans un environnement mondial compétitif

Université de Montréal

L’idée d’établir l’université a été soulevée lors de la 36e Conférence annuelle tenue à Cape Town en 1997. Le Collège universitaire méthodiste du Ghana (MUCG) a été accordé par le Conseil national d’accréditation en tant qu’institution tertiaire privée en août 2000. La vision est de promouvoir et de développer L’excellence académique, la spiritualité, la moralité et le service au sein de la société ghanéenne.

En 2002, la demande d’affiliation de l’Université méthodiste à l’Université du Ghana a été approuvée.

La quête de l’Église pour établir l’université est de transmettre des connaissances et des compétences dans des disciplines pertinentes au développement national dans le contexte du développement global général, et en même temps un développement global de l’élève mentalement, physiquement et spirituellement sur la base Des principes chrétiens.

 

Université d’université islamique

L’Université islamique a été créée en 1995 avec l’acquisition de terrains dont la principale mission est de former les jeunes à se qualifier en tant qu’hommes et femmes professionnels qui répondront non seulement aux normes et attentes les plus élevées du ministère de l’Éducation, L’engagement à servir dans les zones défavorisées en général et les communautés musulmanes en particulier; Former les jeunes à se qualifier en tant qu’hommes et femmes professionnels.

La Fondation Ahlul d’Appât de la République Islamique d’Iran a conçu l’idée d’un Collège Universitaire dès 1986 en ouvrant un Institut d’Instruction Islamique dans un appartement loué à Abelenkpe, Accra.

Le premier lot de 15 étudiants a été admis à l’Institut pour suivre un cours de deux ans en théologie islamique, dont l’objectif principal était d’enrichir les jeunes musulmans ghanéens de hauts standards spirituels et moraux.

Le 10 avril 2001, 15 étudiants ont été autorisés à faire un baccalauréat ès arts de 4 ans en sciences religieuses (option islamique). En septembre de la même année, un deuxième lot de 42 étudiants a été admis au Collège universitaire. En septembre 2002, le Collège universitaire a été accrédité pour introduire un programme de 4 ans en administration des affaires avec spécialisation en comptabilité, banque et finance et marketing.
Collège universitaire presbytérien
L’Église presbytérienne a grandement contribué à l’éducation au Ghana. L’église a établi de nombreuses écoles et centres éducatifs à travers le pays pour promouvoir l’éducation. Avec la création du Collège de formation presbytérienne (PTC), on espérait que, comme le Fourah Bay College en Sierra Leone, il pourrait un jour être transformé en université. Cependant, après plusieurs années, ce n’est qu’en 1996 que le Synode de l’Église presbytérienne du Ghana a pris à l’époque la décision audacieuse d’entreprendre des démarches pour créer une université.

L’organisme chargé de faire avancer cette initiative, le Comité de mise en œuvre de l’Université presbytérienne, a été officiellement créé en 1998. C’est grâce à ces efforts et à la détermination de l’Église que le collège universitaire presbytérien du Ghana a vu le jour.

La vision du Collège universitaire presbytérien est envisagée comme une institution qui mêle et inculque l’excellence académique et professionnelle à une appréciation des tendances culturelles, technologiques, environnementales et de la mondialisation chez les hommes et les femmes qui la traversent et dont la vie reflète les valeurs et les principes chrétiens, Y compris l’amour et la compassion, la discipline, l’honnêteté, l’altruisme et l’humilité.

Collège universitaire catholique

La Conférence des évêques catholiques du Ghana (GCBC) a conçu l’idée d’établir le CUCG en 1997.

Le Collège universitaire catholique a reçu son certificat d’incorporation le 17 août 2001 et a été accrédité par le Conseil national d’accréditation pour commencer des programmes universitaires en 2002. L’université est affiliée à l’Université du Ghana et à l’Université Cape Coast pour le prix de son baccalauréat et Des diplômes de troisième cycle ainsi que des programmes de diplômes en éducation.
Université Technologique du Ghana

Le College a ses racines dans le centre de formation phare de Ghana Telecom, qui était unique en Afrique de l’Ouest. Il a d’abord été utilisé comme école de formation de la Royal Air Force (RAF) pendant la Seconde Guerre mondiale et ensuite remis à Cable and Wireless pour former des techniciens de télécommunications pour les pays de l’Afrique de l’Ouest britannique (Ghana, Nigeria, Sierra Leone et Gambie).

En 2005, la direction de Ghana Telecom a amélioré l’infrastructure et l’équipement aux normes modernes en vue de transformer le centre de formation en une université pour les télécommunications et le multimédia et la technologie de l’information.

Le 01 novembre 2005, le GTUC a obtenu l’autorisation de poursuivre sa préparation à l’accréditation auprès du Conseil national d’accréditation (NAB). Le 30 mars 2006, GTUC a été accrédité et enregistré en vertu de la règle 12 (1) des règlements des Institutions tertiaires (Établissement et Accréditation) de 2002, L.I. 1700.

Université de Lancaster Ghana

L’Université Lancaster du Ghana est leUn seul de son genre en Afrique de l’Ouest se développant en une université principale d’enseignement et de recherche de standing international. Il est commis à la production des diplômés qui ont des qualifications et des connaissances pour répondre aux besoins industriels, sociaux et gouvernementaux du Ghana. Les étudiants seront en mesure d’étudier un large éventail de sujets, y compris la gestion, le droit, les relations internationales, l’informatique et la psychologie. Les étudiants sont enseignés par le personnel académique local et Lancaster. Le personnel de l’université de Lancaster enseigne la plupart des modules sur des programmes de troisième cycle et d’autres fournissent des conférences invitées et / ou co-enseignent avec le personnel local sur les programmes de premier cycle. Les diplômés recevront le certificat de degré même qu’ils auraient reçu s’ils avaient étudié au Royaume- La transcription indiquera l’emplacement de l’étude de chaque module.Le personnel local entreprendre des programmes de perfectionnement du personnel, fournis par le personnel LU, au Ghana et au Royaume-Uni – ils sont certifiés. Le soutien est fourni par le biais d’un Fonds de développement du personnel.

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Ethiopie FEATURED

Ethiopie

Présentation

Comme les écoles de la plupart des pays ont fermé leurs portes pour l’été, de nombreuses pages Web consacrées à l’éducation et aux centres de recherche affiliés se sont occupées jusqu’à la fin du mois de juillet, comparant et notant les performances des universités dans le monde en 2014. Juillet, c’est notre sens et notre anticipation que la plupart des lycéens complétant les étudiants du monde entier passent leur temps à regarder les profils des universités avec lesquelles ils aspirent à lier leur avenir.

Nous avons également vu sur ce blog le nombre très élevé d’étudiants possibles qui tout au long de l’année ont consulté ce que nous avons publié ici comme indicateur des performances 2013 des universités éthiopiennes.

Si c’est ce que nous pensons qu’ils ont fait, nous sommes satisfaits; Notre objectif a été et reste d’aider de petites façons en inspirant aux étudiants et aux institutions concernées un sens de la concurrence et de la comparaison dans lequel ils pourraient voir et s’imposer dans un contexte global. Nous voulons qu’ils deviennent à l’avenir de meilleurs concurrents parmi les universités et collèges africains et mondiaux.

À cet égard, dans ce que nous écrivons nos efforts sont destinés à induire des améliorations que les individus pourraient faire dans les institutions d’enseignement supérieur de notre pays – en tant qu’étudiants, enseignants et administrateurs.

Par conséquent, encouragé par les réponses et les intérêts des lecteurs, pour la deuxième fois ce blog a pris le temps de parcourir les chiffres pour voir les performances et le classement des 31 universités éthiopiennes – cette fois autour de deux mesures – Excellence et Impact.

Compilé par l’auteur à partir des données de ‘Webometrics Ranking of World Universities’
Compilé par l’auteur à partir des données de ‘Webometrics Ranking of World Universities’
En lisant ce tableau, que nous avons compilé à partir du classement Web of Universities (Webométrie), veuillez noter que, dans tous les cas, l’interprétation est que plus les numéros sont voisins du nom d’une université ou d’un collège, plus sa position est bonne.
Ce que nous avons examiné et examiné

Le point de départ d’un tel exercice pour déterminer les résultats en comparaison est d’avoir une idée de la taille du pool, c’est-à-dire des établissements concurrents. Cette année, c’est énorme: 1 306 universités africaines et 21 945 universités mondiales.

Étant donné la taille du bassin, l’Ethiopie n’a que deux universités en dessous du classement 100 (Addis Abeba et Jimma Universities;) et quatre universités en dessous du seuil de 10 000 dans le classement mondial: Addis Abeba, Jimma, Mekelle et Hawassa.

Dans la mesure du possible et partout où les données sont disponibles, nous avons donné les indicateurs de performance classant nos universités en Afrique et les universités dans le monde entier.

De plus, contrairement à la mesure monométrique de l’an dernier, nous avons fourni deux tableaux avec deux paramètres, qui, selon nous, reflètent mieux la position et l’évaluation de nos universités. Les mesures que nous avons choisies sont: (a) l’excellence et (b) l’impact.

EXCELLENCE

Quand on pense à l’excellence, la prochaine chose qui vient ou qui doit venir à l’esprit est le verbe opératif de ce mot – excel. Dans les cercles académiques, l’excellence est un mot très commun et très respecté et un statut convoité. Ce n’est pas sans raison qu’Aristote a dit une fois:

«L’excellence est un art gagné par la formation et l’habituation. Nous n’agissons pas à juste titre parce que nous avons la vertu ou l’excellence, mais nous les avons plutôt parce que nous avons agi correctement. Nous sommes ce que nous faisons à plusieurs reprises. L’excellence n’est pas une action mais une habitude. »
Bref, l’excellence témoigne de la présence d’abord chez les individus et ensuite dans l’institution d’individus qualifiés dans divers domaines. Ces gens sont appelés professeurs et professeurs, quand nous parlons des collèges et des universités. Ce sont des individus qui sont imprégnés de connaissances.

Ils sont embauchés par les institutions et payés pour partager les connaissances qu’ils ont acquises avec le novice et ceux qui en ont faim – les étudiants. Ce faisant, les enseignants, les professeurs et les professeurs construisent la société – une nation! En d’autres termes, les écoles et les universités doivent toujours s’efforcer de devenir des lieux d’excellence.

Le critère d’excellence ici dans la comparaison des universités mesure les travaux de recherche qu’ils publient. De là sont distillées celles de qualité, comme en témoigne la quantité de ces travaux de recherche sont recherchés par d’autres, cités dans les travaux d’autres chercheurs.

Dans le classement des universités, cela se distingue comme une bourse, pour le résultat duquel une institution donnée a investi son nom, ses énergies et partage sa production avec le monde. Le véhicule est l’Internet. La beauté de l’excellence, c’est que pas tout ce qu’une institution publie allait gagner une note plus élevée.

Seules les publications de qualité attirent d’autres lecteurs, institutions et chercheurs qui renvoient les points réels au crédit de l’université.
IMPACT

IMPACT, comme critère est plus neutre. Il évalue une institution de l’enseignement supérieur à travers, ce que le Laboratoire Cybermetrics se réfère à un «référendum virtuel». En d’autres termes, À l’ère de l’Internet et la facilitation de l’accès aux documents pratiquement n’importe où dans le monde est devenu un trafic bidirectionnel. De même que toute institution bénéficie de la quasi-réception de documents, d’informations et de résultats de recherche, elle publie également ses travaux de recherche par le personnel, ses étudiants et visiteurs affiliés à l’université ou au collège. Le nombre de visiteurs des cyber pages d’une université et les documents Sont des indicateurs de la façon dont le travail de l’université est recherché par le monde extérieur. Il ya des entreprises qui observent ce qu’une université donnée à un moment donné publie. Ils utilisent des robots d’exploration et de trouver et de rassembler ces documents pour les lecteurs et leur propre évaluation de combien de fois il a été utilisé par d’autres. Cela signifie que, sans consulter une institution ou demander son autorisation ou son approbation, une université ou un collège donné fait l’objet d’une évaluation par d’autres – en fonction de ses résultats de recherche. Par exemple, Webometrics construit ses données sur les performances des universités et des collèges, Sur certaines données qu’il reçoit de Majestic SEO et ahrefs. Leur mission consiste à générer de l’information sur les informations diffusées par les universités et collèges sur leurs pages Web pour analyse par d’autres. Cela contribue à répondre aux questions suivantes: Qu’est-ce que x collège ou université a publié? Qui accède à ses documents? Il parle à la fois de qualité et de quantité au sujet d’une université donnée ou le rendement du collège. Par conséquent, l’évaluation IMPACT est dérivée de ce qu’il est cherché par d’autres pour ce qu’elle peut partager ou fournir. En expliquant cela, Webometrics stipule: L’indicateur est le produit de la racine carrée du nombre de backlinks et le nombre de domaines en provenance Ces backlinks, il est donc important non seulement la popularité de lien, mais encore plus la diversité de lien. Le maximum des résultats normalisés est l’indicateur d’impact.

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Burkina faso FEATURED

Burkina faso

Présentation

 Pays pauvre même selon les normes de l’Afrique de l’Ouest, le Burkina Faso, enclavé, a souffert de sécheresses récurrentes et de coups d’État militaires.
Le Burkina Faso, qui signifie «pays d’hommes honnêtes», possède d’importantes réserves d’or, mais le pays a fait face à des préoccupations intérieures et extérieures sur l’état de son économie et les droits de l’homme.
Ancienne colonie française, elle a gagné l’indépendance en tant que Haute Volta en 1960.
En 1983, le capitaine Thomas Sankara a pris le pouvoir et adopté des politiques de gauche radicales, mais a été renversé par Blaise Compaoré, qui a continué à gouverner pendant 27 ans avant d’être évincé dans un soulèvement populaire en 2014.
Marc Kabore, qui a servi comme premier ministre et président du Parlement sous le président vétéran Blaise Compaore, a remporté l’élection présidentielle de novembre 2015, battant facilement son principal rival.
L’année qui a précédé l’élection de M. Kabore a été marquée par des troubles considérables, y compris une tentative de coup d’État par des troupes fidèles au président déchu en septembre 2015.
Banquier de formation française, M. Kabore se considère comme un social-démocrate et s’est engagé à réduire le chômage des jeunes, à améliorer l’éducation et les soins de santé et à offrir gratuitement des soins aux enfants de moins de six ans.
Kabore était un loyaliste de longue date de Compaoré, mais il a quitté en tant que président du congrès du président de l’époque pour la démocratie et le parti Progrès en 2014 sur les plans du chef de l’État de modifier la constitution pour étendre sa règle de 27 ans.

 

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FEATURED Nigeria

Nigeria

Présentation

Après le passage d’un coup militaire à un autre, le Nigeria a maintenant une direction élue. Mais le gouvernement est confronté au défi croissant de prévenir le pays le plus peuplé d’Afrique de se briser le long des lignes ethniques et religieuses.
Des milliers de personnes sont mortes au cours des dernières années dans des attaques communales menées par le Boko Haram aligné par l’État islamique.
Les aspirations séparatistes ont également augmenté et l’imposition de la loi islamique dans plusieurs États du Nord a intégré les divisions et fait fuir des milliers de chrétiens.
L’insécurité du Nigéria a ajouté à ses difficultés économiques, entravant l’investissement étranger. L’ancienne colonie britannique est l’un des plus grands producteurs mondiaux de pétrole, mais peu de Nigérians, y compris ceux des régions pétrolières, en ont bénéficié.

Un ancien dirigeant militaire, Muhammadu Buhari a balayé à une victoire historique de l’élection en mars de 2015 quand il est devenu le premier candidat de l’opposition à gagner un sondage présidentiel nigérian.
Après avoir aidé à évincer le président élu Shehu Shagari en 1983, le major général Buhari a dirigé un régime qui visait à lutter contre la criminalité et la corruption, mais a également été accusé de violations graves des droits. En 1985, il a été renversé par le général Ibrahim Babangida.
Maintenant, M. Buhari s’est éloigné du gouvernement militaire, promettant de respecter la démocratie et de gouverner en tant que chef civil.
Il a marqué un succès diplomatique majeur en juin 2015 lorsque les pays voisins ont accepté que le Nigeria commandait une force conjointe pour contrer Boku Haram, plutôt que de tourner le commandement entre eux.
MÉDIAS
Reporters sans frontières (RSF) a classé le Nigéria 111ème sur 180 pays dans son Index mondial de la liberté de la presse 2015. L’organisation Freedom House affirme que les autorités «harcèlent régulièrement, intimident et attaquent les journalistes sur le terrain».
Boko Haram, un groupe militant islamiste, a également menacé les médias. Il a bombardé les bureaux des journaux à Abuja et Kaduna en avril 2012.
Néanmoins, la scène médiatique nigériane est l’une des plus dynamiques d’Afrique.

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Egypte FEATURED

Egypte

Présentation

 

Classes surpeuplées, programmes vieillots et locaux décrépis: en Egypte, les familles s’en remettent au privé, devenu un véritable système d’éducation parallèle, pour pallier les insuffisances de l’école publique, parent pauvre des politiques gouvernementales et incapable de faire face à l’explosion démographique.

Sur les bancs des écoles du plus peuplé des pays arabes, il n’est pas rare de voir s’entasser 90 élèves dans une classe prévue pour 40 enfants.

« Nos conditions de travail sont très mauvaises. J’ai tellement d’élèves dans ma classe que je ne peux pas apporter à chacun l’attention qu’il requiert », ne peut que déplorer Hanna Ahmed, professeur de mathématiques dans un collège public.

Et ces conditions pèsent dans les classements internationaux. En septembre, l’Egypte a fini dernière du classement en termes d’éducation primaire, selon le Rapport global sur la compétitivité du Forum économique mondial. En queue de peloton, derrière 147 autre pays, le gouvernement a été forcé de reconnaître des défaillances.

Le ministre de l’Education Mahmoud Aboul Nasr admet ainsi qu’il existe « un mécontentement général à l’égard du système éducatif », mais, assure-t-il, « un plan stratégique a été élaboré pour améliorer la qualité de l’enseignement ». Il préconise la mise en place d’un système public où coexisteraient des écoles gratuites et d’autres à bas coût mais « avec plus d’équipements ».

Dans l’Egypte de Gamal Abdel Nasser, l’éducation gratuite fut l’un des piliers des grandes réformes socialistes des années 50 et 60, faisant rêver d’ascension sociale même ceux qui ne pouvaient payer d’onéreuses études à leurs enfants.

Mais au fil des décennies, l’éducation a été rattrapée par des maux rampant en Egypte: la bureaucratie et la corruption. Depuis, le système est paralysé par ses décisions centralisées, ses programmes vieillots et moralisateurs et son personnel sous-payé et sous-diplômé.

L’apprentissage par coeur est la règle, immuable, au détriment de la réflexion, et les résultats aux examens sont plus le fruit de quotas imposés par le gouvernement que d’une réelle réussite scolaire, selon les enseignants.

« Le système éducatif s’est tellement dégradé que je suis obligée de payer à mes enfants des cours particuliers pour relever leur niveau », explique Hanane Atta, dont les enfants sont entrés à l’école il y a dix ans. A l’époque, dit-elle, « le niveau était bien meilleur ».

Pour toutes ces raisons, durant les trois décennies de présidence de Hosni Moubarak, chassé par une révolte populaire en 2011, les écoles privées ou internationales se sont multipliées, creusant un peu plus le fossé entre les pauvres et les plus nantis dans le domaine de l’éducation.

Mais le problème est bien plus profond que le manque de moyens, notent les experts. « L’éducation est abordée du point de vue de la sécurité », explique Kamal Mughith, car « l’Etat ne veut pas que les enfants s’émancipent de la coupe des dirigeants ».

De fait, au cours du cursus d’un élève, ne sont encouragés ni « le jugement critique, ni l’analyse, ni la réflexion », poursuit ce spécialiste de l’éducation.

« Le modèle pédagogique est réduit au minimum: un professeur, un élève, un livre », constate-t-il, alors qu’à l’étranger se multiplient les méthodes interactives encourageant la créativité de l’élève.

Chaque année, l’Etat égyptien dépense 2. 000 livres égyptiennes (210 euros) pour chacun des 16 millions d’élèves –primaire et secondaire confondus–, dont 85% sont dédiés au salaire des enseignants.

Deux mille livres égyptiennes, c’est exactement le montant que Mme Atta dépense chaque mois pour les cours particuliers de ses enfants. « C’est un gros morceau de notre budget mais je n’ai pas d’autre choix si je veux que mes enfants apprennent des choses », dit-elle.

Et hors de la capitale, la situation est pire, affirme Hicham Mohammed, qui enseigne à Damiette, dans le nord. « Nous sommes au milieu de l’année scolaire et nous n’avons toujours pas reçu le matériel. Comment sommes-nous censés travailler ? », lance-t-il.

Et pour ces enseignants sous-payés et qui souffrent du manque d’équipement, la tentation est forte d’arrondir ses fins de mois avec des cours particuliers.

« Comment pourrait-on demander à un instituteur de faire preuve de professionnalisme quand on le paye moins de 100 dollars par mois ? Ca n’est même pas suffisant pour vivre », estime M. Mughith.

Pour l’expert, « la situation ne s’améliorera que lorsqu’il y aura une volonté politique de l’améliorer. Le reste –les ressources humaines, les salaires et les équipements– suivra naturellement ».

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Botswana FEATURED

Botswana

Présentation

Le Botswana est majoritairement plat, formant un plateau vallonné. Le désert du Kalahari est situé dans le sud-ouest du pays. Il constitue un ensemble hostile de collines rocailleuses, de marais salants asséchés et de buissons épineux. Le bassin du fleuve Limpopo est le principal relief de l’ensemble de l’Afrique australe, et notamment du Botswana. Avec 581 730 km2, le Botswana est en termes de superficie, au 45e rang mondial (juste après l’Ukraine). À titre de comparaison, il est d’une taille équivalente à celle de Madagascar.

Le Botswana est dominé par le désert du Kalahari, qui couvre pratiquement 70 % de la superficie du pays. Le delta de l’Okavango, dans le nord-ouest du pays, est le second plus grand delta intérieur du monde avec une superficie de 18 000 km2. Le pan de Makgadikgadi, un grand désert de sel, est situé dans le nord.

Le Botswana possède divers types d’habitat pour la faune sauvage, dont le delta de l’Okavango, le désert du Kalahari, la prairie et la savane.

Le Botswana pourrait facilement passer pour un modèle de réussite économique sur le continent africain. Il a bâti son avenir sur une administration démocratique, stable, compétente et peu corrompue (Transparency International le classe régulièrement comme le pays le moins corrompu d’Afrique), une gestion prudente et un sous-sol riche en diamants (dont il est le troisième producteur mondial) et en minéraux (cuivre, nickel), mais aussi en charbon et pétrole. Ce pays, qui lors de son indépendance en 1966 était l’un des vingt-cinq plus pauvres du monde, se classe désormais parmi les plus prospères du continent. Il s’agit du seul pays au monde qui a pu afficher, lors de la période 1970-2000, une croissance annuelle moyenne de près de 9 % ; il est en outre le seul pays avec le Cap-Vert en 2007, les Maldives en 2011 et les Samoa en 2014 à être sorti du groupe des pays les moins avancés, en 1994.

Cette richesse théorique est cependant menacée par une trop grande dépendance de l’économie vis-à-vis du secteur minier, ainsi que par l’épidémie de SIDA qui sévit dans toutes les couches de la population (près d’un adulte sur trois serait infecté).

En janvier 2014, le pays figure sur la liste française des paradis fiscaux

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