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Ethiopie FEATURED

Ethiopie

Présentation

Comme les écoles de la plupart des pays ont fermé leurs portes pour l’été, de nombreuses pages Web consacrées à l’éducation et aux centres de recherche affiliés se sont occupées jusqu’à la fin du mois de juillet, comparant et notant les performances des universités dans le monde en 2014. Juillet, c’est notre sens et notre anticipation que la plupart des lycéens complétant les étudiants du monde entier passent leur temps à regarder les profils des universités avec lesquelles ils aspirent à lier leur avenir.

Nous avons également vu sur ce blog le nombre très élevé d’étudiants possibles qui tout au long de l’année ont consulté ce que nous avons publié ici comme indicateur des performances 2013 des universités éthiopiennes.

Si c’est ce que nous pensons qu’ils ont fait, nous sommes satisfaits; Notre objectif a été et reste d’aider de petites façons en inspirant aux étudiants et aux institutions concernées un sens de la concurrence et de la comparaison dans lequel ils pourraient voir et s’imposer dans un contexte global. Nous voulons qu’ils deviennent à l’avenir de meilleurs concurrents parmi les universités et collèges africains et mondiaux.

À cet égard, dans ce que nous écrivons nos efforts sont destinés à induire des améliorations que les individus pourraient faire dans les institutions d’enseignement supérieur de notre pays – en tant qu’étudiants, enseignants et administrateurs.

Par conséquent, encouragé par les réponses et les intérêts des lecteurs, pour la deuxième fois ce blog a pris le temps de parcourir les chiffres pour voir les performances et le classement des 31 universités éthiopiennes – cette fois autour de deux mesures – Excellence et Impact.

Compilé par l’auteur à partir des données de ‘Webometrics Ranking of World Universities’
Compilé par l’auteur à partir des données de ‘Webometrics Ranking of World Universities’
En lisant ce tableau, que nous avons compilé à partir du classement Web of Universities (Webométrie), veuillez noter que, dans tous les cas, l’interprétation est que plus les numéros sont voisins du nom d’une université ou d’un collège, plus sa position est bonne.
Ce que nous avons examiné et examiné

Le point de départ d’un tel exercice pour déterminer les résultats en comparaison est d’avoir une idée de la taille du pool, c’est-à-dire des établissements concurrents. Cette année, c’est énorme: 1 306 universités africaines et 21 945 universités mondiales.

Étant donné la taille du bassin, l’Ethiopie n’a que deux universités en dessous du classement 100 (Addis Abeba et Jimma Universities;) et quatre universités en dessous du seuil de 10 000 dans le classement mondial: Addis Abeba, Jimma, Mekelle et Hawassa.

Dans la mesure du possible et partout où les données sont disponibles, nous avons donné les indicateurs de performance classant nos universités en Afrique et les universités dans le monde entier.

De plus, contrairement à la mesure monométrique de l’an dernier, nous avons fourni deux tableaux avec deux paramètres, qui, selon nous, reflètent mieux la position et l’évaluation de nos universités. Les mesures que nous avons choisies sont: (a) l’excellence et (b) l’impact.

EXCELLENCE

Quand on pense à l’excellence, la prochaine chose qui vient ou qui doit venir à l’esprit est le verbe opératif de ce mot – excel. Dans les cercles académiques, l’excellence est un mot très commun et très respecté et un statut convoité. Ce n’est pas sans raison qu’Aristote a dit une fois:

«L’excellence est un art gagné par la formation et l’habituation. Nous n’agissons pas à juste titre parce que nous avons la vertu ou l’excellence, mais nous les avons plutôt parce que nous avons agi correctement. Nous sommes ce que nous faisons à plusieurs reprises. L’excellence n’est pas une action mais une habitude. »
Bref, l’excellence témoigne de la présence d’abord chez les individus et ensuite dans l’institution d’individus qualifiés dans divers domaines. Ces gens sont appelés professeurs et professeurs, quand nous parlons des collèges et des universités. Ce sont des individus qui sont imprégnés de connaissances.

Ils sont embauchés par les institutions et payés pour partager les connaissances qu’ils ont acquises avec le novice et ceux qui en ont faim – les étudiants. Ce faisant, les enseignants, les professeurs et les professeurs construisent la société – une nation! En d’autres termes, les écoles et les universités doivent toujours s’efforcer de devenir des lieux d’excellence.

Le critère d’excellence ici dans la comparaison des universités mesure les travaux de recherche qu’ils publient. De là sont distillées celles de qualité, comme en témoigne la quantité de ces travaux de recherche sont recherchés par d’autres, cités dans les travaux d’autres chercheurs.

Dans le classement des universités, cela se distingue comme une bourse, pour le résultat duquel une institution donnée a investi son nom, ses énergies et partage sa production avec le monde. Le véhicule est l’Internet. La beauté de l’excellence, c’est que pas tout ce qu’une institution publie allait gagner une note plus élevée.

Seules les publications de qualité attirent d’autres lecteurs, institutions et chercheurs qui renvoient les points réels au crédit de l’université.
IMPACT

IMPACT, comme critère est plus neutre. Il évalue une institution de l’enseignement supérieur à travers, ce que le Laboratoire Cybermetrics se réfère à un «référendum virtuel». En d’autres termes, À l’ère de l’Internet et la facilitation de l’accès aux documents pratiquement n’importe où dans le monde est devenu un trafic bidirectionnel. De même que toute institution bénéficie de la quasi-réception de documents, d’informations et de résultats de recherche, elle publie également ses travaux de recherche par le personnel, ses étudiants et visiteurs affiliés à l’université ou au collège. Le nombre de visiteurs des cyber pages d’une université et les documents Sont des indicateurs de la façon dont le travail de l’université est recherché par le monde extérieur. Il ya des entreprises qui observent ce qu’une université donnée à un moment donné publie. Ils utilisent des robots d’exploration et de trouver et de rassembler ces documents pour les lecteurs et leur propre évaluation de combien de fois il a été utilisé par d’autres. Cela signifie que, sans consulter une institution ou demander son autorisation ou son approbation, une université ou un collège donné fait l’objet d’une évaluation par d’autres – en fonction de ses résultats de recherche. Par exemple, Webometrics construit ses données sur les performances des universités et des collèges, Sur certaines données qu’il reçoit de Majestic SEO et ahrefs. Leur mission consiste à générer de l’information sur les informations diffusées par les universités et collèges sur leurs pages Web pour analyse par d’autres. Cela contribue à répondre aux questions suivantes: Qu’est-ce que x collège ou université a publié? Qui accède à ses documents? Il parle à la fois de qualité et de quantité au sujet d’une université donnée ou le rendement du collège. Par conséquent, l’évaluation IMPACT est dérivée de ce qu’il est cherché par d’autres pour ce qu’elle peut partager ou fournir. En expliquant cela, Webometrics stipule: L’indicateur est le produit de la racine carrée du nombre de backlinks et le nombre de domaines en provenance Ces backlinks, il est donc important non seulement la popularité de lien, mais encore plus la diversité de lien. Le maximum des résultats normalisés est l’indicateur d’impact.

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Burkina faso FEATURED

Burkina faso

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 Pays pauvre même selon les normes de l’Afrique de l’Ouest, le Burkina Faso, enclavé, a souffert de sécheresses récurrentes et de coups d’État militaires.
Le Burkina Faso, qui signifie «pays d’hommes honnêtes», possède d’importantes réserves d’or, mais le pays a fait face à des préoccupations intérieures et extérieures sur l’état de son économie et les droits de l’homme.
Ancienne colonie française, elle a gagné l’indépendance en tant que Haute Volta en 1960.
En 1983, le capitaine Thomas Sankara a pris le pouvoir et adopté des politiques de gauche radicales, mais a été renversé par Blaise Compaoré, qui a continué à gouverner pendant 27 ans avant d’être évincé dans un soulèvement populaire en 2014.
Marc Kabore, qui a servi comme premier ministre et président du Parlement sous le président vétéran Blaise Compaore, a remporté l’élection présidentielle de novembre 2015, battant facilement son principal rival.
L’année qui a précédé l’élection de M. Kabore a été marquée par des troubles considérables, y compris une tentative de coup d’État par des troupes fidèles au président déchu en septembre 2015.
Banquier de formation française, M. Kabore se considère comme un social-démocrate et s’est engagé à réduire le chômage des jeunes, à améliorer l’éducation et les soins de santé et à offrir gratuitement des soins aux enfants de moins de six ans.
Kabore était un loyaliste de longue date de Compaoré, mais il a quitté en tant que président du congrès du président de l’époque pour la démocratie et le parti Progrès en 2014 sur les plans du chef de l’État de modifier la constitution pour étendre sa règle de 27 ans.

 

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FEATURED Nigeria

Nigeria

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Après le passage d’un coup militaire à un autre, le Nigeria a maintenant une direction élue. Mais le gouvernement est confronté au défi croissant de prévenir le pays le plus peuplé d’Afrique de se briser le long des lignes ethniques et religieuses.
Des milliers de personnes sont mortes au cours des dernières années dans des attaques communales menées par le Boko Haram aligné par l’État islamique.
Les aspirations séparatistes ont également augmenté et l’imposition de la loi islamique dans plusieurs États du Nord a intégré les divisions et fait fuir des milliers de chrétiens.
L’insécurité du Nigéria a ajouté à ses difficultés économiques, entravant l’investissement étranger. L’ancienne colonie britannique est l’un des plus grands producteurs mondiaux de pétrole, mais peu de Nigérians, y compris ceux des régions pétrolières, en ont bénéficié.

Un ancien dirigeant militaire, Muhammadu Buhari a balayé à une victoire historique de l’élection en mars de 2015 quand il est devenu le premier candidat de l’opposition à gagner un sondage présidentiel nigérian.
Après avoir aidé à évincer le président élu Shehu Shagari en 1983, le major général Buhari a dirigé un régime qui visait à lutter contre la criminalité et la corruption, mais a également été accusé de violations graves des droits. En 1985, il a été renversé par le général Ibrahim Babangida.
Maintenant, M. Buhari s’est éloigné du gouvernement militaire, promettant de respecter la démocratie et de gouverner en tant que chef civil.
Il a marqué un succès diplomatique majeur en juin 2015 lorsque les pays voisins ont accepté que le Nigeria commandait une force conjointe pour contrer Boku Haram, plutôt que de tourner le commandement entre eux.
MÉDIAS
Reporters sans frontières (RSF) a classé le Nigéria 111ème sur 180 pays dans son Index mondial de la liberté de la presse 2015. L’organisation Freedom House affirme que les autorités «harcèlent régulièrement, intimident et attaquent les journalistes sur le terrain».
Boko Haram, un groupe militant islamiste, a également menacé les médias. Il a bombardé les bureaux des journaux à Abuja et Kaduna en avril 2012.
Néanmoins, la scène médiatique nigériane est l’une des plus dynamiques d’Afrique.

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Egypte FEATURED

Egypte

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Classes surpeuplées, programmes vieillots et locaux décrépis: en Egypte, les familles s’en remettent au privé, devenu un véritable système d’éducation parallèle, pour pallier les insuffisances de l’école publique, parent pauvre des politiques gouvernementales et incapable de faire face à l’explosion démographique.

Sur les bancs des écoles du plus peuplé des pays arabes, il n’est pas rare de voir s’entasser 90 élèves dans une classe prévue pour 40 enfants.

« Nos conditions de travail sont très mauvaises. J’ai tellement d’élèves dans ma classe que je ne peux pas apporter à chacun l’attention qu’il requiert », ne peut que déplorer Hanna Ahmed, professeur de mathématiques dans un collège public.

Et ces conditions pèsent dans les classements internationaux. En septembre, l’Egypte a fini dernière du classement en termes d’éducation primaire, selon le Rapport global sur la compétitivité du Forum économique mondial. En queue de peloton, derrière 147 autre pays, le gouvernement a été forcé de reconnaître des défaillances.

Le ministre de l’Education Mahmoud Aboul Nasr admet ainsi qu’il existe « un mécontentement général à l’égard du système éducatif », mais, assure-t-il, « un plan stratégique a été élaboré pour améliorer la qualité de l’enseignement ». Il préconise la mise en place d’un système public où coexisteraient des écoles gratuites et d’autres à bas coût mais « avec plus d’équipements ».

Dans l’Egypte de Gamal Abdel Nasser, l’éducation gratuite fut l’un des piliers des grandes réformes socialistes des années 50 et 60, faisant rêver d’ascension sociale même ceux qui ne pouvaient payer d’onéreuses études à leurs enfants.

Mais au fil des décennies, l’éducation a été rattrapée par des maux rampant en Egypte: la bureaucratie et la corruption. Depuis, le système est paralysé par ses décisions centralisées, ses programmes vieillots et moralisateurs et son personnel sous-payé et sous-diplômé.

L’apprentissage par coeur est la règle, immuable, au détriment de la réflexion, et les résultats aux examens sont plus le fruit de quotas imposés par le gouvernement que d’une réelle réussite scolaire, selon les enseignants.

« Le système éducatif s’est tellement dégradé que je suis obligée de payer à mes enfants des cours particuliers pour relever leur niveau », explique Hanane Atta, dont les enfants sont entrés à l’école il y a dix ans. A l’époque, dit-elle, « le niveau était bien meilleur ».

Pour toutes ces raisons, durant les trois décennies de présidence de Hosni Moubarak, chassé par une révolte populaire en 2011, les écoles privées ou internationales se sont multipliées, creusant un peu plus le fossé entre les pauvres et les plus nantis dans le domaine de l’éducation.

Mais le problème est bien plus profond que le manque de moyens, notent les experts. « L’éducation est abordée du point de vue de la sécurité », explique Kamal Mughith, car « l’Etat ne veut pas que les enfants s’émancipent de la coupe des dirigeants ».

De fait, au cours du cursus d’un élève, ne sont encouragés ni « le jugement critique, ni l’analyse, ni la réflexion », poursuit ce spécialiste de l’éducation.

« Le modèle pédagogique est réduit au minimum: un professeur, un élève, un livre », constate-t-il, alors qu’à l’étranger se multiplient les méthodes interactives encourageant la créativité de l’élève.

Chaque année, l’Etat égyptien dépense 2. 000 livres égyptiennes (210 euros) pour chacun des 16 millions d’élèves –primaire et secondaire confondus–, dont 85% sont dédiés au salaire des enseignants.

Deux mille livres égyptiennes, c’est exactement le montant que Mme Atta dépense chaque mois pour les cours particuliers de ses enfants. « C’est un gros morceau de notre budget mais je n’ai pas d’autre choix si je veux que mes enfants apprennent des choses », dit-elle.

Et hors de la capitale, la situation est pire, affirme Hicham Mohammed, qui enseigne à Damiette, dans le nord. « Nous sommes au milieu de l’année scolaire et nous n’avons toujours pas reçu le matériel. Comment sommes-nous censés travailler ? », lance-t-il.

Et pour ces enseignants sous-payés et qui souffrent du manque d’équipement, la tentation est forte d’arrondir ses fins de mois avec des cours particuliers.

« Comment pourrait-on demander à un instituteur de faire preuve de professionnalisme quand on le paye moins de 100 dollars par mois ? Ca n’est même pas suffisant pour vivre », estime M. Mughith.

Pour l’expert, « la situation ne s’améliorera que lorsqu’il y aura une volonté politique de l’améliorer. Le reste –les ressources humaines, les salaires et les équipements– suivra naturellement ».

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Botswana FEATURED

Botswana

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Le Botswana est majoritairement plat, formant un plateau vallonné. Le désert du Kalahari est situé dans le sud-ouest du pays. Il constitue un ensemble hostile de collines rocailleuses, de marais salants asséchés et de buissons épineux. Le bassin du fleuve Limpopo est le principal relief de l’ensemble de l’Afrique australe, et notamment du Botswana. Avec 581 730 km2, le Botswana est en termes de superficie, au 45e rang mondial (juste après l’Ukraine). À titre de comparaison, il est d’une taille équivalente à celle de Madagascar.

Le Botswana est dominé par le désert du Kalahari, qui couvre pratiquement 70 % de la superficie du pays. Le delta de l’Okavango, dans le nord-ouest du pays, est le second plus grand delta intérieur du monde avec une superficie de 18 000 km2. Le pan de Makgadikgadi, un grand désert de sel, est situé dans le nord.

Le Botswana possède divers types d’habitat pour la faune sauvage, dont le delta de l’Okavango, le désert du Kalahari, la prairie et la savane.

Le Botswana pourrait facilement passer pour un modèle de réussite économique sur le continent africain. Il a bâti son avenir sur une administration démocratique, stable, compétente et peu corrompue (Transparency International le classe régulièrement comme le pays le moins corrompu d’Afrique), une gestion prudente et un sous-sol riche en diamants (dont il est le troisième producteur mondial) et en minéraux (cuivre, nickel), mais aussi en charbon et pétrole. Ce pays, qui lors de son indépendance en 1966 était l’un des vingt-cinq plus pauvres du monde, se classe désormais parmi les plus prospères du continent. Il s’agit du seul pays au monde qui a pu afficher, lors de la période 1970-2000, une croissance annuelle moyenne de près de 9 % ; il est en outre le seul pays avec le Cap-Vert en 2007, les Maldives en 2011 et les Samoa en 2014 à être sorti du groupe des pays les moins avancés, en 1994.

Cette richesse théorique est cependant menacée par une trop grande dépendance de l’économie vis-à-vis du secteur minier, ainsi que par l’épidémie de SIDA qui sévit dans toutes les couches de la population (près d’un adulte sur trois serait infecté).

En janvier 2014, le pays figure sur la liste française des paradis fiscaux

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Angola FEATURED

Angola

Présentation

L’Angola continue de reconstruire son pays depuis la fin d’une guerre civile de 27 ans en 2002. Les combats entre le Mouvement Populaire pour la Libération de l’Angola (MPLA), dirigé par José Eduardo DOS SANTOS, et l’Union Nationale pour l’Indépendance Totale de l’Angola (UNITA), dirigée par Jonas SAVIMBI, a succédé à l’indépendance du Portugal en 1975. La paix semblait imminente en 1992, lorsque l’Angola a tenu des élections nationales, mais les combats ont repris en 1993. Jusqu’à 1,5 millions de vies ont pu être perdues et 4 millions de personnes déplacées – pendant plus d’un quart de siècle de combats. Le décès de SAVIMBI en 2002 a mis fin à l’insurrection de l’UNITA et cimenté l’emprise du MPLA sur le pouvoir. Le président DOS SANTOS a adopté une nouvelle constitution en 2010 et les élections de 2012 l’ont vu s’installer comme président. L’Angola a pris un siège non permanent au Conseil de sécurité de l’ONU pour la période 2015-16.L’économie angolaise est fortement influencée par son secteur pétrolier. La production de pétrole et ses activités de soutien représentent environ 50% du PIB, plus de 70% des recettes publiques et plus de 90% des exportations du pays. Les diamants contribuent à hauteur de 5%
L’augmentation de la production pétrolière a soutenu une croissance moyenne de plus de 17% par an de 2004 à 2008. Un boom de reconstruction de l’après-guerre et la réinstallation des personnes déplacées ont entraîné des taux élevés de croissance dans la construction et l’agriculture. Certains des pays ‘
La récession mondiale qui a commencé en 2008 a bloqué la croissance économique. En particulier, la baisse des prix du pétrole et des diamants pendant la récession mondiale a ralenti la croissance du PIB à 2,4% en 2009 et de nombreux projets de construction ont cessé parce que Luanda a accumulé 9 milliards de dollars
La baisse des prix du pétrole et la croissance plus lente que prévu du PIB hors pétrole ont réduit les perspectives de croissance. L’Angola a réagi en réduisant les subventions publiques et en proposant des quotas d’importation et un régime de licences plus restrictif. Corruption, surtout dans l’ex

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Algérie FEATURED

Algérie

Présentation

 

L’appellation « Algérie » provient du nom de la ville d’Alger. Le nom « Alger » dériverait du catalan Aldjère, lui-même tiré de Djezaïr, nom donné par Bologhine ibn Ziri, fils du fondateur de la dynastie berbère des Zirides, lorsqu’il bâtit la ville en 960 sur les ruines de l’ancienne ville au nom romain Icosium, Djaza’ir Beni Mezghenna.

Pour certains l’étymologique d’Algérie tire son nom du mot arabe « Al-Djaza’ir » (الجزائر), qui rattache le nom aux îles qui faisaient face au port d’Alger à l’époque et qui furent rattachées à sa jetée actuelle ; en arabe Al-Djaza’ir (الجزائر), « Les Îles », en français « Les Îles des Beni Mezghenna » (جازاير بني مزغانا, Djezaïr Beni Mezghanna). Le terme d’île pourrait selon des géographes musulmans du Moyen Âge désigner la côte fertile de l’actuelle Algérie, coincée entre le vaste Sahara et la Méditerranée, apparaissant alors comme une île de vie, Al-Jaza’ir (الجزائر). Il est à noter que le nom antique de la ville d’Alger était Icosium qui signifie « le aux chouettes ».

Une autre hypothèse lierait le nom « Dzayer » au nom de Ziri (ou Dziri) ibn Menad, père du fondateur de la ville d’Alger, Bologhin ibn Ziri : Djezaïr alors de Dziri, du berbèreTiziri qui signifie « clair de lune ». Les Algérois se désignent eux-mêmes sous le vocable de Dzairi, et le langage populaire a conservé par ailleurs la formule Dzayer pour désigner Alger et l’Algérie.

En ce qui concerne Mezghenna, Tassadit Yacine rapporte l’hypothèse d’une forme arabisée d’Imazighen, ou « Berbères », donnant au pays le nom originel Tiziri n At Imezghan, « Ziri des Berbères ».

Le terme arabe al Jaza’ir est utilisé depuis l’établissement des trois régences ottomanes au Maghreb (Alger, Tunis et Tripoli), pour désigner le pays qu’Alger commandait. Cependant le terme Dzayer a continué d’être employé dans la langue courante pour désigner la ville du Dey (Alger). Par une lettre célèbre aux oulemas de Fès, l’émir Abdel Kader parlait de watan al Jaza’ir (la patrie d’Algérie/Alger). En outre un célèbre poète tlemcénien du xixe siècle chante : « Mon dieu, veille sur al Jaza’ir », pour désigner le territoire dont Alger est la ville capitale.

Ibn Khaldoun dans sa Muqaddima désigne Alger et le pays autour comme Bilâd Al-Djaza’ir. Le nom en français, Algérie, est donc une reprise de l’arabe par le biais du catalan ; utilisé pour la première fois en 1686 par Fontenelle dans Entretiens sur la pluralité des mondes pour qualifier la régence d’Alger, il est officiellement adopté le 14 octobre 1839 par Virgile Schneider afin de désigner ce territoire faisant partie de la côte des Barbaresques.

La « République algérienne démocratique et populaire », forme longue, a été proclamée par l’Assemblée nationale constituante le à Alger.

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FEATURED Sénégal

SENEGAL

Présentation

Le Sénégal est un pays de l’Afrique occidentale avec une côte de l’océan Atlantique. Les pays voisins sont la Gambie, la Guinée, la Guinée-Bissau, le Mali et la Mauritanie. La géographie du Sénégal est pratiquement plate et la frontière nord est formée par le fleuve Sénégal. Le système gouvernemental est une république; Le chef de l’Etat est le président, et le chef du gouvernement est le premier ministre. Le Sénégal a un système économique mixte où la présence de l’Etat dans l’économie est considérable, mais la liberté du secteur privé est limitée. Le Sénégal est membre de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO).

L’étudiant marocain qui prépare son baccalauréat et qui envisage de faire ses études supérieures au Sénégal doit se renseigner, avant la fin de l’année scolaire en cours, auprès du Ministère de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche scientifique et de la Formation des Cadres pour toutes les formalités de candidature à accomplir pour une admission dans une structure sénégalaise d’enseignement supérieur public. Les universités sénégalaises sont ouvertes aux étudiants étrangers remplissant les conditions requises.
• Première étape : Retrait et transmission des demandes d’admission.
La transmission des demandes d’admission aux établissements scolaires doit se faire dès l’obtention du baccalauréat. Il est mis à la disposition des bacheliers deux dossiers de demande d’admission pour l’université Cheikh Anta Diop de Dakar et pour l’Université Gaston Berger de Saint-Louis. Chaque candidat a ainsi la possibilité de présenter des dossiers d’admission dans les deux universités. Ces documents sont remis aux candidats contre présentation du relevé de notes du baccalauréat de l’année en cours.
• Deuxième étape : Examen des dossiers par les Commissions d’admission.
A l’université, les dossiers sont examinés sur la base du premier choix émis par le bachelier, par une commission qui siège au sein de chaque faculté et statue sur la base de critères spécifiques liés au profil de formation.
Le dossier de candidature à une admission à l’Université doit comprendre :
– une fiche d’admission à l’université dûment remplie et signée par le candidat.
– une copie légalisée de la carte nationale d’identité.
– les bulletins de notes des deux semestres des classes de seconde, première et terminale (notes du lycée).
– un relevé de notes du baccalauréat.
– une enveloppe timbrée portant l’adresse du candidat.
Le candidat doit déposer son dossier auprès du Bureau des Admissions.
• A noter : les demandes d’admission sont examinées par la commission d’équivalence de la Faculté des Lettes et Sciences Humaines, dans la limite des places disponibles. Celle-ci se réunit deux fois : le 15 octobre et le 19 novembre. Les autorisations d’inscription, les équivalences et les dispenses sont accordées par arrêté rectoral individuel, après avis de la commission.
Université Cheikh Anta Diop de Dakar :
A. Faculté des Sciences et Techniques
1. Profil de l’étudiant (e) en sciences:
– avoir un bon niveau en mathématiques.
– avoir un bon niveau en français et en anglais.
– être titulaire du baccalauréat.
– section Mathématique–Physique (M.P) : des séries S1, S3.
– section Physique et Chimie (P. C.) des séries S1, S3 et S2.
– section Sciences Naturelles (S.N) des séries S2 et S1.
– être âgé (e) de 23 ans au plus au 31 décembre de l’année en cours.
2. Critères de classement :
Les matières dominantes retenues :

Maths, Physiques, Sciences Naturelles.
Le classement est effectué sur la base des moyennes cumulées, globales, des matières dominantes (Maths, Physiques, Sciences Naturelles) du baccalauréat. Les notes de Seconde, Première et Terminale servant à départager les candidats.
B. Faculté de Médecine, de Pharmacie et D’odonto- Stomatologie :

1. Profil de l’étudiant (e) :
– avoir un bon niveau en mathématiques,
– avoir un bon niveau en français,
– être titulaire du baccalauréat S1 ou S2 de l’année en cours avec au minimum la moyenne.
Pour la Médecine : admission dans la limite des places disponibles et avoir 20 ans au plus au 31 décembre de l’année en cours.
Pour la Pharmacie ou la Chirurgie dentaire : avoir 22 ans au plus au 31 décembre de l’année en cours.
2. Critères de classement :
Les matières dominantes retenues:Maths, Physiques, Sciences Naturelles.
Le classement est effectué sur la base des moyennes cumulées, globales, des matières dominantes (Maths, Physiques, Sciences Naturelles) du baccalauréat. Les notes obtenues dans les différents niveaux de l’enseignement secondaire servant à départager les candidats.
C. Faculté des Sciences Economiques et de Gestion :
1. Profil de l’étudiant(e) en sciences économiques :
– avoir un bon niveau en mathématiques.
– avoir un bon niveau en français.
– être titulaire du baccalauréat option :
S1 (Sciences exactes), S2 (Sciences expérimentales) ou G (Techniques quantitatives d’économie et de gestion) ou son équivalent marocain
2. Critères de classement :
Les matières dominantes retenues par série sont : mathématiques, Français et Anglais.
D. Faculté des Sciences Juridiques et Politiques :

1. Profil de l’étudiant (e)
– avoir un bon niveau en français et en culture générale,
– être titulaire d’un baccalauréat des séries : L (langue et Civilisations), S1 (Sciences exactes), S2 (Sciences expérimentales) ou G (Techniques quantitatives d’économie et de gestion), ou son équivalent marocain.
– être âgé(e) de 23ans au plus au 31 décembre de l’année en cours.
2. Critères de classement :
Les matières dominantes retenues sont les suivantes : Français et philosophie.
Le classement est fait à partir des moyennes cumulées des matières dominantes obtenues au baccalauréat, les notes correspondantes des classes du secondaire étant utilisées à titre indicatif.
E. Faculté des Lettres et des Sciences Humaines :
1. Profil de l’étudiant (e) :
– avoir un bon niveau en français,
– être titulaire d’un baccalauréat des séries : L (langue et Civilisations),
S1 (Sciences exactes), S2 (Sciences expérimentales) ou G (Techniques quantitatives d’économie et de gestion), ou son équivalent marocain.
-être âgé(e) de 23ans au plus au 31 décembre de l’année en cours.
2. Critères d’admission :
Les matières dominantes retenues sont les suivantes : Philosophie (coefficient : 3) et Français (coefficient : 2).
Les études auSénégal
Le classement est effectué sur la base de la moyenne générale des dominantes affectées des coefficients.
F. Université Gaston Berger de Saint Louis :

1. Profil de l’étudiant (e) :
– avoir un bon niveau en français, et en Anglais.
– avoir un baccalauréat exigé par l’Unité de Formation et de Recherche.
– être âgé (e) de 23 ans au plus au 31 décembre de l’année en cours.
2. Critères de classement :
Les candidats (es) de chaque UFR sont sélectionné(e)s par ordre de mérite et dans la limite des places disponibles (fixées chaque année par arrêté ministériel) parmi les élèves titulaires du baccalauréat requis, de l’année en cours, remplissant ces critères :
– Avoir réussi au baccalauréat avec une mention,
Les dossiers sont étudiés par une commission d’admission qui siège au sein de chaque UFR et délibère sur chaque cas.
• Critères de classement par UFR :
• UFR de Sciences Economiques et de Gestion :
BAC Matières dominantes : S1 (Sciences exactes), S2 (Sciences expérimentales) ou G (Techniques quantitatives d’économie et de gestion), ou équivalent marocain.
• UFR de Sciences Appliquées et Technologie :
Pour les Mathématiques Appliquées et Informatique (MAI), il faut disposer d’un bac S1 (Sciences exactes) ou S2 (Sciences expérimentales) ou leur équivalent marocain.
Pour les Mathématiques Physique et Informatique, il faut avoir un bac S1 (Sciences exactes), S2 (Sciences expérimentales) ou S3 (Sciences et Techniques) ou leur équivalent marocain.
Concernant les Maths Appliquées aux Sciences Sociales (MASS), il faut disposer d’un bac S1 (Sciences exactes), S2 (Sciences expérimentales) ou S3 (Sciences et Techniques) ou leur équivalent marocain.
• UFR des Lettres et des Sciences Humaines :
Les matières dominantes varient selon la section (anglais, français, sociologie, géographie, LEA)
• UFR des Sciences Juridiques :
– Baccalauréat Langue et Civilisation, (Sciences exactes), S2 (Sciences expérimentales), G (Techniques quantitatives d’économie et de gestion).
– Avoir un bon niveau de culture générale
L’Université Cheikh Anta Diop de Dakar propose des offres de formation professionnelle sanctionnées par un diplôme, d’une durée de un à deux ans, et des préparations aux concours administratifs de la Fonction Publique. Université Cheikh Anta Diop de Dakar comprend des facultés autonomes, des écoles nationales supérieures de formation professionnelle, des instituts d’enseignement de faculté et des instituts d’université de recherche.
1- Les facultés :
– la faculté des sciences et techniques (FST)
– la faculté des lettres et sciences humaines (FLSH)
– la faculté des sciences juridiques et politiques (FSJP)
– la faculté des sciences économiques et de gestion (FASEG)
– la faculté de médecine de pharmacie et d’odontostomatologie (fmpos) :
– la fastef (ex-école normale supérieure) – un institut autonome de recherche avec rang de faculté : l’institut fondamental d’afrique noire / cheikh Anta diop (IFAN/CAD) :
2 – Les écoles nationales supérieures d’université :
Elles sont au nombre de cinq dont trois avec rang de faculté, ce sont respectivement :
– l’école supérieure polytechnique (ESP) :
– l’institut national supérieur de l’éducation populaire et du sport (INSEPS)
– l’école des bibliothécaires, archivistes et documentalistes (EBAD)
– le centre d’études des sciences et techniques de l’information (CESTI)
3 – Les instituts d’université :
Ce sont douze établissements directement rattachés au Rectorat, il s’agit de :
– L’institut de santé et développement (ISED)
– L’institut de médecine tropicale appliquée (IMTA)
– L’institut des droits de l’homme et de la paix (IDHP)
– l’institut de français pour les étudiants étrangers (IFE )
– L’institut de pédiatrie sociale (IPS)
– L’institut de recherche sur l’enseignement de la mathématique de la physique et de la technologie (IREMPT)
– Le centre d’études sur les énergies renouvelables (CERER)
– Le centre de linguistique appliquée de Dakar (CLAD)
– L’institut de recherches et d’enseignement de psychopathologie (IREP)
– L’institut de technologie nucléaire appliquée (ITNA)
– L’institut de formation et de recherche en population développement et santé de la reproduction (IFPSR)
– Le service commun de la documentation (SCD)
4 – Les Instituts de Faculté :
Elles sont directement rattachées à des facultés, il s’agit de :
– L’institut d’odontologie et de stomatologie (IOS)
Le centre de recherche, d’étude et de documentation sur les institutions et la législation africaine (CREDILA)
– L’institut des langues étrangères appliquées (ILEA)
– Centre de recherches biologiques sur la lèpre (CRBL)
– Institut de mathématiques appliquées « souleymane fall » (ima)
– L’institut des sciences de l’environnement (ISE)
– Le centre de recherches économiques appliquées (CREA)
L’inscription :
Les étudiants marocains qui désirent poursuivre leurs études au Sénégal peuvent s’inscrire directement auprès de l’un des établissements de leur choix ou auprès de la Direction de la Formation des Cadres à Rabat. Dans ce dernier cas, tout étudiant peut postuler pour une inscription (place pédagogique) ou pour une bourse de coopération, mais aussi pour les deux à la fois.
• A noter : L’étudiant ne peut présenter qu’un seul dossier de candidature pour un seul pays de la liste arrêtée par la Direction de la Formation des Cadres du Maroc.
Le choix des études :
Les candidats peuvent effectuer trois choix dans la liste des études suivantes :
– Etudes d’ingénieurs et techniques :
Génie civil, Génie mécanique, Electronique, Architecture, Agronomie, Médecine vétérinaire;
– Etudes médicales : Médecine, Médecine dentaire, Pharmacie ;
– Etudes économiques et sociales : Economie, Gestion, Journalisme, Interprétariat.
– Les délais de dépôt des dossiers :
Les candidats aux études dans un établissement sénégalais doivent être titulaires du baccalauréat de
l’année en cours. Les élèves de la troisième année secondaire peuvent retirer le dossier de candidature entre le 2 Mai et le 15 Juin et le retourner après l’obtention du baccalauréat et ce avant le 10 Juillet.
• Les pièces à fournir pour le dossier de candidature :
– Deux copies légalisées du baccalauréat ou diplôme équivalent;
– Deux copies légalisées des relevés de notes du baccalauréat délivrés par l’académie ;
– Deux enveloppes timbrées portant l’adresse du candidat ;
– Deux photos dont une collée au dossier ;
– Un extrait d’acte de naissance ;
Pour les bacheliers de l’année précédente, une photocopie de l’attestation d’inscription dans l’établissement d’enseignement supérieur fréquenté est obligatoire.

 

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FEATURED Mali

MALI

Présentation

Le Mali est un vaste pays de la bande soudano-sahélienne de l’Afrique de l’Ouest, dont une grande partie est semi-désertique et sous-peuplée; 30% seulement du territoire national renferment 91% de la population résidente. Cependant, la pression démographique galopante pose un défi énorme pour la fourniture de services sociaux.

En dépit de sa vulnérabilité face aux conditions climatiques et à l’environnement commercial international, le Mali a maintenu un environnement macroéconomique stable au cours des dix dernières années. La croissance du PIB réel a atteint 5% en moyenne par an. Toutefois, une grande partie de la population demeure sous le seuil de pauvreté, en particulier en milieu rural.

La politique générale de développement du gouvernement malien est consignée dans le Cadre Stratégique pour la Croissance et la Réduction de la Pauvreté (2007-2011).

  • Forces:
    • Stabilité politique et macroéconomique
    • Taux de croissance soutenus
    • Appui des partenaires dans la mise en œuvre des différentes politiques
  • Faiblesses:
    • Vulnérabilité de l’économie face aux conditions climatiques et à l’environnement commercial
    • Démographie galopante
    • Pauvreté de la population, surtout rurale
    • Inéquités régionales dans la fourniture de services sociaux
  • Recommandations:
    • Prendre en compte la démographie dans les politiques sociales
    • Réduire les disparités régionales dans la fourniture de services

 

L’enseignement supérieur au Mali est le secteur de l’éducation qui est sous la tutelle du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique. L’université de Bamako, qui est l’une des plus jeunes universités de l’Afrique occidentale, a ouvert ses portes en 1996.

Pour résorber les difficultés récurrentes auxquelles l’enseignement supérieur était confronté à savoir les effectifs pléthoriques, le deficit d’enseignants, le chevauchement des années universitaires, le manque de support administratif et pédagogique.En juillet 2011, des reformes ont été entreprises pour aboutir à la création de plusieurs entités d’université en divisant l’université de Bamako qui regroupait dans le temps toutes les facultés. Ainsi par le conseil des ministres sur la proposition du ministre de l’enseignement supérieur d’alors Siby Ginette Bellegarde, l’université de bamako a été scindée en quatre universités.

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FEATURED Guinée

GUINEE

Présentation

La Guinée est un pays d’Afrique occidentale qui borde la Côte d’Ivoire, la Guinée-Bissau, le Libéria, le Mali, le Sénégal, la Sierra Leone et l’Atlantique Nord. Le système gouvernemental est une république; Le chef d’État est le général, et le chef du gouvernement est le premier ministre. La Guinée est membre de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO).La richesse minière de la Guinée en fait un des pays les plus riches d’Afrique, mais ses habitants sont parmi les plus pauvres d’Afrique de l’Ouest.
Les expériences avec le socialisme et la domination de la junte sur deux ans ont coûté beaucoup d’argent au peuple guinéen. L’élection de 2010 a inauguré un régime civil, mais a également conduit à des affrontements ethniques violents.
En outre, des centaines de milliers de réfugiés du Libéria et de la Sierra Leone ont entravé l’économie en difficulté de la Guinée.
L’instabilité a suscité des soupçons et des tensions ethniques – ainsi que des accusations mutuelles entre voisins des tentatives de déstabilisation et d’attaques frontalières.

Alpha Conde became president in 2010 after a lifelong battle against a series of despotic and military regimes which sent him into exile and prison. It was Guinea’s first democratic election since gaining independence from France in 1958.

However, the vote kindled ethnic tensions, as Mr Conde hails from the Malinke ethnic group, which makes up 35% of the population. The defeated, Cellou Dalein Diallo, is a member of the Peul ethnic group, to which 40% of Guineans belong.

Mr Diallo has repeatedly accused the president of sidelining his constituents, including many Peul.

Both allies and critics alike acknowledge his charisma and intelligence, but some also describe him as authoritarian and impulsive, someone who rarely listens to others and often acts alone.

His supporters however consider him untainted, a « new man » who has never had the opportunity to « participate in the looting of the country. »

He was elected for a second term in 2015.

Présentation Sectorielle : Education
Le secteur de l’éducation couvre l’Enseignement  Primaire, l’Enseignement Technique et la Formation Professionnelle, l’Enseignement Supérieur et la Recherche Scientifique, ainsi que l’Alphabétisation et l’enseignement non formel.
Le défi de l’Education est l’un des plus marqués en Guinée : faible taux d’alphabétisation (40%), inadéquation entre les formations et les besoins en compétence, faiblesse du système éducatif, mauvaise qualité des enseignements, manque d’infrastructures éducatives, etc. Cette réalité, par manque de ressources humaines qualifiées en nombre suffisant, compromet les ambitions de développement des secteurs porteurs de croissance (agriculture, mines), mais aussi entrave les efforts pour la création d’emploi et de valeurs ajoutées locales autour des projets.
Situation actuelle
La formation professionnelle et technique reste déficitaire, inadaptée et faiblement financée. L’Enseignement supérieur se caractérise par une prolifération d’institutions (17 institutions  publiques et une soixantaine d’Institutions d’Enseignement Supérieur privées) avec environ 107.000 étudiants en 2009-2010, encadrés par environ 1.819 enseignants chercheurs dont moins de 20% sont titulaires de doctorat.
Pour lever les insuffisances et contraintes qui affectent le secteur de l’éducation en Guinée, le Gouvernement œuvre depuis 2010 à bâtir un système éducatif solide, cohérent et efficace à travers une politique axée notamment sur : Développer l’enseignement technique et professionnel et favoriser l’émergence de compétences requises aux secteurs porteurs de croissance ; Améliorer le taux de scolarité et renforcer l’enseignement de base au niveau du primaire et du secondaire ; le développement des infrastructures, l’introduction des manuels et documentations adéquats ; Intégration optimale des TIC dans le système éducatif ; Améliorer la qualification des enseignants, formateurs, et chercheurs.
Avantages concurrentiels
Un besoin réel de qualifications pour accompagner le développement des secteurs de croissance que sont l’agriculture et les mines, qui recèlent de véritables potentiels en plus de nombreux projets déjà en cours.
Initiatives et implications de l’Etat pour la mise en place des structures et infrastructures de base pour favoriser le développement du secteur : plus de 17% de hausse du budget de l’éducation entre 2009 et 2013.
 Les Opportunités en Bref
Dans sa politique de développement d’un secteur éducatif efficace centré sur des enseignements en phase avec les besoins réels du pays, trois acteurs clés sont engagés : le Gouvernement, les Partenaires Institutionnels, et le Secteur Privé.
Pour assurer la compétitivité de l’éducation guinéenne, les Investissements Privés et les Partenariats Public-Privé (PPP) sont fortement sollicités dans des infrastructures, des équipements, des techniques et technologies modernes, la formation des formateurs, etc.
Le soutien attendu de l’Education aux secteurs prioritaires se traduit dans de nombreuses opportunités d’investissements.
1. L’EDUCATION POUR LE DÉVELOPPEMENT AGRICOLE
Avec une population rurale vieillissante, l’exode rural des jeunes, le faible rendement des cultures, la dégradation progressive de l’environnement et le faible niveau d’exploitation des surfaces agricoles utiles, l’agriculture guinéenne n’arrive pas à assumer ses missions principales qui sont, entre autres: (1) Assurer l’autosuffisance alimentaire ; (2) Protéger l’environnement ; (3) Assurer l’emploi des jeunes ruraux ; (4) Générer des devises à travers l’exportation des produits agricoles.
Pour remédier à cet état de fait, la formation initiale et continue des ouvriers et techniciens agricoles doit s’adapter à la lettre de politique agricole et à la stratégie nationale de formation dans ce secteur.
Or, le dispositif de formation professionnelle agricole et rurale actuel comprenant une Ecole Nationale des Agents Techniques des Eaux et Forêts (ENATEF), un Centre d’Education à l’Environnement pour le Développement (CEED) et quatre (4) écoles nationales d’agriculture et d’élevage (ENAE) est loin de fournir une formation adaptée au besoin du secteur.
Dans le cadre de l’insertion socioprofessionnelle, il existe un projet de pré-installation des jeunes diplômés (Projet SONGHAI), dans deux écoles spécialisées avec l’appui du PNUD. Il serait souhaitable d’étendre cette expérience aux autres institutions de formation agricole et rurale.
2. L’EDUCATION POUR L’EXPLOITATION MINIÈRE
Le secteur minier représente actuellement plus de 80% des exportations, il fournit 20 à 25 pour cent des recettes de l’État (estimé à 210 millions de dollars en 2012) et plus de 10.000 emplois directs (Banque mondiale, 2012). Plus de 200.000 personnes sont estimées être actifs dans l’exploitation minière artisanale et à petite échelle de l’or et du diamant principalement.
Ces chiffres illustrent la main d’œuvre peu qualifiée comparées à ce dont le secteur minier a besoin pour exploiter son potentiel, mais expliquent aussi l’absence de moyens pour investir dans le secteur. Les compagnies en activité, confrontées à une pénurie de compétences guinéennes, se trouvent dans l’obligation de faire appel à de la main d’œuvre expatriée venant de la sous-région ou même hors continent.
Dans un futur proche, les projets des compagnies minières visant au développement de l’extraction et de la première transformation des minerais guinéens vont nécessiter la mobilisation de grands nombres de main-d’œuvre.
La volonté de recourir à une part significative de travailleurs locaux sur les chantiers de construction et dans les sites d’exploitation est très affirmée. Aujourd’hui encore le constat démontre une main d’œuvre locale mal ou pas formée pour ces activités. D’autre part le dispositif public de formation a très peu évolué et n’est pas en mesure, en l’état actuel, de réaliser les formations nécessaires dans les spécialités, dans les volumes attendus et dans les délais.
3. L’EDUCATION POUR  LE SECTEUR DE LA SANTÉ
En matière de besoin en renforcement des capacités, l’existence des écoles de formation professionnelle en santé publique et privée dans le pays garantit certes la mise sur le marché du travail de professionnels de la santé et le renouvellement continu du corps sanitaire mais, par rapport aux normes d’effectif minimum défini par niveau dans la carte sanitaire, le nombre de personnel de santé  reste insuffisant.
Face à cette situation, la formation dans le système sanitaire devrait être orientée dans le développement des branches de spécialisation avec une attention particulière à la recherche. Ceci passe par l’intégration des cycles et des programmes de formation adaptées au besoin pour une amélioration efficiente de la gestion numérique des ressources humaines.
Les projets en formation dans le futur devraient également tenir compte de :
(1) la création de CHU qui permettra la formation de médecins polyvalents capables de prendre en charge les affections prioritaires du milieu et particulièrement les urgences médicales et chirurgicales ;
(2) la réouverture des écoles de formation des sages-femmes et des aides santé ; (3) la formation des catégories professionnelles manquantes actuellement ;
(4) la construction d’un centre de formation continue et de documentation ;
(5) la construction d’une école de formation des cadres infirmiers;
(6) la formation des responsables des services hospitaliers en gestion de proximité, dans le cadre de la décentralisation et de la réussite de la contractualisation.

 

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FEATURED Gabon

GABON

Présentation

Le Gabon est situé en Afrique Centrale. A cheval sur l’Equateur, il est limité au Nord-Ouest par la Guinée Equatoriale, au Nord par le Cameroun, à l’Est et au Sud par le Congo et à l’Ouest par l’Océan Atlantique qui le borde sur 800 km de côte. Sa superficie est de 267 667 km² avec une forêt recouvrant plus de 75% de son territoire. Sa population est estimée à 1.587.685 habitants, soit une densité de 5,9 habitants/km². Le climat est de type équatorial, chaud et humide. La température moyenne annuelle est de 26° et l’hygrométrie de plus de 80%. Selon le dernier rapport 2010 du PNUD sur l’indice de développement humain (IDH), le Gabon occupe le 93ème rang sur 169 pays recensés, avec un revenu par habitant de 12 746 dollars US. Au niveau continental, il est 4ème derrière l’Ile Maurice, la Tunisie et l’Algérie.

La quête constante d’une meilleure santé des populations pour assurer le développement du pays est marquée par l’adhésion des autorités aux différentes initiatives aussi bien nationales qu’internationales visant l’amélioration des conditions de vie des populations. À cet égard, l’élaboration et l’adoption de la Politique Nationale de Santé, la finalisation du Plan National de Développement sanitaire et la mise en œuvre du régime obligatoire d’assurance maladie et de garantie sociale constituent des avancées significatives. Des efforts ont été faits et se poursuivent dans des domaines aussi variés que la protection sociale pour améliorer l’accès de tous aux soins de santé, la généralisation de la couverture vaccinale et de l’assurance maladie, un meilleur approvisionnement en médicaments et une meilleure qualité de soins. Ces préoccupations sont prises en compte dans le « Plan Stratégique Gabon Emergent », qui est un plan quinquennal sur la période 2012-2016.

Cela étant, la situation épidémiologique du Gabon reste caractérisée par la persistance des maladies transmissibles infectieuses et parasitaires (telles le paludisme, les infections respiratoires aiguës, les maladies diarrhéiques, les parasitoses intestinales, le tétanos néonatal et la rougeole), l’importance croissante des maladies non transmissibles (telles l’hypertension artérielle, le diabète, l’obésité, les cancers et les démences), l’apparition de maladies émergentes (telles la fièvre hémorragique à Ebola, chikungunyia et l’ulcère de Buruli) et ré-émergentes (telles la tuberculose, la trypanosomiase humaine et la lèpre). A cela s’ajoutent les pathologies liées au modernisme (telles les traumatismes des accidents de la voie publique, l’alcoolisme, le tabagisme, les toxicomanies, les maladies professionnelles et celles liées à l’alimentation). Le tableau est encore assombri par la recrudescence des infections sexuellement transmissibles dans le contexte de la pandémie du VIH/SIDA, et la forte prévalence de la drépanocytose dans la population gabonaise. Il y a enfin les difficultés du plus grand nombre à accéder à l’eau potable, notamment en milieu rural, l’absence de système efficace de gestion des déchets industriels et ménagers, et l’insuffisance d’aménagements pour l’évacuation des eaux usées et des excrétas.

En matière de leadership et de gouvernance pour la santé, le Gabon a un document de Politique Nationale de Santé qui couvre toutes les composantes du système de santé, un Plan National de Développement Sanitaire sur cinq ans réaliste car tenant compte des ressources propres du pays et des sources certaines de financement extérieurs. Par contre, le cadre institutionnel du ministère chargé de la santé est défaillant, ce qui grève énormément son leadership sur l’action sanitaire nationale ; on note aussi une insuffisance de normalisation et de réglementation de l’offre de soins, de surveillance et d’évaluation des performances du secteur de la santé.

Les prestations des services de santé sont marquées par l’hospitalo-centrisme, avec des échecs répétés dans la mise en œuvre de la stratégie des soins de santé primaires, l’insuffisance dans l’accessibilité, l’efficacité, l’efficience et l’équité des soins suite à une couverture nationale incomplète en services intégrés et complets, et l’absence de mécanismes appropriés impliquant tous les prestataires privés pour assurer le continuum de soins.

Au plan des ressources humaines pour la santé, le Gabon, bien que possédant des institutions de formation aux métiers de la santé, est encore caractérisé par des gaps quantitatifs et qualitatifs importants en personnels qualifiés, des insuffisances dans la gestion des personnels en termes de recrutement, répartition des effectifs, utilisation et évaluation des compétences, motivation et suivi de carrière, ce d’autant plus que la Politique Nationale et le Plan National de Développement des Ressources Humaines en santé n’ont pas encore été élaborés et adoptés. Enfin, il n’existe pas de sous-systèmes d’information sur les ressources humaines en santé (observatoires, études) pour disposer de données factuelles et actualisées en la matière.

Le point fort du financement de la santé est sans conteste la mise en œuvre depuis 2010 du régime obligatoire d’assurance maladie et de garantie sociale. Pour le reste, on note l’absence de mécanisme fiable et pérenne de financement des plans d’actions en santé, de comptes nationaux, régionaux et départementaux de santé, une allocation de moins de 5% du budget national à la santé et l’absence de mécanisme de coordination des divers financements issus des donateurs.

En matière d’information sanitaire, le ministère chargé de la santé possède un organe (COSP) et une direction (DIS) chargés de la collecte et du traitement de l’information sanitaire. Mais le système national d’information sanitaire reste globalement défaillant, avec une insuffisance quantitative des personnels chargés des statistiques sanitaires, une insuffisance de collaboration entre le ministère chargé de la santé et les autres secteurs générant des informations liées à la santé, une irrégularité dans la production et l’utilisation des statistiques sanitaires et une faible promptitude et complétude des rapports d’activités.

Pour ce qui est des technologies sanitaires, il existe au Gabon des établissements publics ou privés fournisseurs, répartiteurs et distributeurs. Mais on note en même temps l’absence de politique et plan national sur les technologies sanitaires, une limite d’accessibilité et de disponibilité de ces technologies, l’absence de couverture nationale complète en services de laboratoire fiables et abordables et l’absence d’un mécanisme national fiable de contrôle qualité des technologies sanitaires en circulation.

L’appropriation et la participation communautaires dans le secteur de la santé est embryonnaire. Tout reste à faire pour encourager et promouvoir la participation communautaire au développement sanitaire, apporter un appui technique approprié aux prestataires de services de santé communautaires à travers la formation, la supervision et l’apport des outils et fournitures, encourager l’interaction entre les communautés et les services de santé pour une offre de soins adaptée aux besoins locaux et mettre en place des mécanismes formalisés de collaboration avec les organisations communautaires.

On observe depuis quelques années une implication croissante de la société civile et des entreprises privées dans l’action sanitaire. Mais cette participation est grevée par l’absence d’harmonisation et de coordination des différentes initiatives, de mécanisme formalisé de collaboration intersectorielle et de partenariat public-privé, et l’absence de mesures pour garantir la sensibilisation et la participation des communautés aux initiatives mondiales.

En matière de recherche enfin, il existe des instituts et unités de recherche en santé et un Comité National d’Ethique pour la Recherche. Par contre, on note l’absence de coordination et d’Agenda National de la recherche en santé, un important déficit quantitatif et qualitatif en ressources humaines pour la recherche en santé et un faible financement de la recherche en santé. Les résultats des études ne sont ni suffisamment diffusés, ni suffisamment exploités pour leur traduction en politiques et actions concrètes.

ETUDIER AU GABON

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Côte d’Ivoire FEATURED

COTE D’IVOIRE

Présentation

Située en Afrique de l’Ouest, sur le Golfe de Guinée, la Côte d’Ivoire, est entourée par le Libéria, la Guinée, le Mali, le Burkina Faso et le Ghana. 15,446,231 personnes (en 1998) occupent les 322 462 Km² constituant son territoire. Colonie française, la Côte d’Ivoire est devenue indépendante le 7 Août 1960; c’est une république, dirigée par un gouvernement démocratique. La capitale politique est Yamoussoukro mais la capitale économique demeure Abidjan. De l’époque coloniale, la Côte d’Ivoire a conservé le français devenu la langue officielle ainsi que les systèmes administratif, judiciaire et éducatif.

 

 

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Congo FEATURED

CONGO

Présentation

Les guerres civiles et les conflits de milice ont frappé la République du Congo, parfois appelée Congo-Brazzaville.
Près de la moitié de la population vit dans la pauvreté, selon la Banque mondiale, même si la République du Congo est l’un des principaux producteurs de pétrole de l’Afrique subsaharienne.
Le pétrole est le pilier de l’économie et ces dernières années, le pays a essayé d’accroître la transparence financière dans le secteur.

Denis Sassou Nguesso est l’un des leaders les plus anciens de l’Afrique, qui est arrivé au pouvoir il y a trois décennies.
Il a été installé comme président par l’armée en 1979 et a perdu sa position dans les premières élections multipartites du pays en 1992.
Il est revenu au pouvoir en 1997 après une brève mais sanglante guerre civile dans laquelle il a été soutenu par les troupes angolaises.
Il a obtenu son dernier mandat de sept ans après les élections de mars 2016.
Les changements constitutionnels pour lui permettre de se présenter à un autre mandat ont été condamnés par l’opposition comme un coup constitutionnel.
Un colonel de parachutiste entraîné par la France, M. Sassou Nguesso est perçu comme un pragmatiste. Au cours de sa première présidence en 1979-92, il relâcha les liens du pays avec le bloc soviétique et donna aux entreprises françaises, américaines et occidentales des rôles d’exploration et de production pétrolières.
Mais il a également été tenace par des allégations de corruption. En mai 2009, un juge français a annoncé une enquête pour savoir si M. Sassou Nguesso et deux autres dirigeants africains – tous ceux qui nient les actes répréhensibles – ont pillé les coffres de l’Etat pour acheter des maisons de luxe et des voitures en France.
MÉDIAS
Le respect du gouvernement pour la liberté de la presse est «limité» en République du Congo, selon la Freedom House, basée aux États-Unis.
Une loi sur la presse prévoit des peines d’emprisonnement pour incitation à la violence et au racisme. Les émissions de nouvelles sur la radio et la télévision publiques reflètent généralement la ligne gouvernementale.
Les journaux de la capitale Brazzaville sont tous de propriété privée, et certains critiquent le gouvernement.

ETUDES 

Communiqué de l’OGES: 

l’OGES vient par le présent message vous souhaiter une excellente rentrée et une très bonne année d’études ou de formation 2016-2017 !

Comme dans toute activité qu’on peut être amené à suivre, il pourrait arriver que certains d’entre vous rencontrent ou traversent, pendant cette nouvelle année qui démarre, des moments difficiles, des périodes de doute. Dans ces moments, ne vous découragez surtout pas si les études que vous avez choisies sont celles qui vous mèneront vers votre voie professionnelle souhaitée.

Dans ces périodes difficiles, dites-vous ou souvenez-vous que « Rien de tout ce qui est grand n’est facile… » et notez également que l’OGES sera toujours à vos côtés pour vous soutenir. Vous recevrez d’ailleurs dans les prochains jours un courrier de rappel de quelques informations nécessaires à savoir tout au long de l’année, dans le cadre de vos échanges quotidiens avec l’OGES.

L’année universitaire qui s’est achevée a vu plusieurs nouvelles initiatives lancées par votre structure, pour mieux vous accompagner au quotidien, pour être plus proche de vous et vous encourager dans vos études. Tel est le cas des projets « Rés’OGES » (mise en contact des étudiants et stagiaires congolais), « Mbotama elamu / Mbutama ya mbote » (envoi de vœux le jour de vos anniversaires), « OGES-INFOS », journal d’information pour ‘ogessiens’ et ‘ogessiennes’, sans oublier la célébration du travail et de l’excellence de nos étudiants (remise des prix des meilleurs étudiants et doctorants OGES des années universitaires 2013-2014 et 2014-2015 – cliquer sur ce lien pour revenir sur cette cérémonie).

Nous pouvons vous assurer de notre total dévouement pour continuer à être à vos côtés, pour servir et encourager ceux et celles qui formeront l’élite intellectuelle du Congo de demain, c’est-à-dire les hommes et les femmes qui poursuivront le travail de construction du Congo.

Pour terminer, l’OGES rappelle à ses étudiants que la période de dépôt des dossiers d’attribution*, de renouvellement** et de rétablissement*** des bourses d’études supérieures du Gouvernement congolais, au titre de l’année 2016-2017, démarre, pour sa juridiction, ce lundi 12/09/2016. Elle se terminera le vendredi 04/11/2016.

A titre simplement de rappel, cette période démarre chaque année le deuxième lundi du mois de septembre et se termine le premier vendredi du mois de novembre. La note d’information ci-jointe (cliquer sur ce lien), disponible sur le site Internet de l’OGES et également envoyée par courriel à chacun d’entre vous dont les coordonnées électroniques sont connues de l’OGES, vous indique les consignes à suivre pour et après le dépôt du dossier. Merci de prendre le temps de la parcourir, car elle vous sera très utile dans votre démarche de demande de bourse (consignes à suivre depuis l’envoi du dossier jusqu’à la publication des résultats par l’administration).

Une fois encore, très bonne rentrée et très bonne année d’études ou de formation 2016-2017 à tous et à toutes !

 

 

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Cameroon FEATURED

CAMEROUN

Présentation

Cameroun , officiellement la République du Cameroun , est un pays d’Afrique centrale. Il est bordé par le Nigéria à l’ouest; Tchad au nord-est; La République centrafricaine à l’est; Et la Guinée équatoriale, le Gabon et la République du Congo au sud. Le littoral du Cameroun se trouve sur la baie de Bonny, une partie du golfe de Guinée et de l’océan Atlantique.

Le français et l’anglais sont les langues officielles du Cameroun. Le pays est souvent appelé «l’Afrique en miniature» pour sa diversité géologique et culturelle. Les caractéristiques naturelles comprennent les plages, les déserts, les montagnes, les forêts tropicales et les savanes. Le point le plus élevé à près de 4 100 mètres est le mont Cameroun dans la région sud-ouest du pays et les plus grandes villes en termes de population sont Douala sur le Wouri, sa capitale économique et principal port de Yaoundé, sa capitale politique, Et Garoua. Après l’indépendance, la nouvelle nation unie a rejoint le Commonwealth des nations, bien que la grande majorité de ses territoires aient été auparavant une colonie allemande et, après la Première Guerre mondiale, un mandat français. Le pays est bien connu pour ses styles natifs de musique, en particulier makossa et bikutsi, et pour son équipe de football nationale réussie.

Les premiers habitants du territoire comprenaient la civilisation sao autour du lac Tchad et les chasseurs-cueilleurs Baka dans la forêt tropicale du sud-est. Les explorateurs portugais ont atteint la côte au 15ème siècle et ont nommé le secteur Rio dos Camarões, qui est devenu le Cameroun en anglais. Les soldats Fulani ont fondé l’Emirate d’Adamawa dans le nord au 19ème siècle, et les divers groupes ethniques de l’ouest et du nord-ouest ont établi des chiefdoms et des fondoms puissants. Le Cameroun est devenu une colonie allemande en 1884 connue sous le nom de Kamerun.

Après la Première Guerre mondiale, le territoire a été divisé entre la France et le Royaume-Uni en tant que mandats de la Société des Nations. Le parti politique de l’Union des Populations du Cameroun (UPC) a préconisé l’indépendance, mais a été interdit par la France dans les années 1950, menant à la guerre d’indépendance camerounaise. Il a mené la guerre contre les forces françaises et de l’UPC jusqu’en 1971. En 1960, la partie du Cameroun administrée par la France est devenue indépendante en tant que République du Cameroun sous le président Ahmadou Ahidjo. La partie méridionale du Cameroun britannique a fusionné avec lui en 1961 pour former la République fédérale du Cameroun. Le pays a été rebaptisé la République Unie du Cameroun en 1972 et la République du Cameroun en 1984.

Le Cameroun jouit d’une stabilité politique et sociale relativement élevée. Cela a permis le développement de l’agriculture, des routes, des chemins de fer et des grandes industries du pétrole et du bois. Néanmoins, un grand nombre de Camerounais vivent dans la pauvreté comme agriculteurs de subsistance. Le pouvoir est fermement entre les mains du président autoritaire depuis 1982, Paul Biya, et son parti du Parti démocratique populaire du Cameroun. Les territoires anglophones du Cameroun sont devenus de plus en plus aliénés du gouvernement, et les politiciens de ces régions ont appelé à une plus grande décentralisation et même à la sécession (par exemple, le Conseil national du Cameroun méridional) des anciens territoires britanniques.

Obtenir un visa

Passeport valide pour un minimum de six mois requis par tous les ressortissants indiqués dans le tableau ci-dessus.
Un visa est exigé pour tous les ressortissants, à l’exception des personnes en transit qui poursuivent leur voyage sur le même aéronef ou qui, dans les 24 heures qui suivent, prennent des billets et ne quittent pas l’aéroport. En ce qui concerne le coût, les visas touristiques et commerciaux coûtent: £ 59, (un jour à trois mois) et £ 118 (six mois). Tous les visas sont destinés à des entrées multiples. Les prix peuvent changer. Nous vous recommandons de contacter l’ambassade afin de vérifier les exigences de visa.

Logement

Bon hébergement de standard international est disponible à Bamenda, Douala, Garoua, Maroua et Yaoundé. Hébergement moins cher, principalement pour les touristes locaux, est disponible dans chaque ville. Les tarifs indiqués par les hôtels et lodges sont généralement pour la chambre plutôt que par personne. Les touristes peuvent également louer un appartement ou une maison, mais vous serez plus susceptibles d’avoir l’information par le bouche à oreille, plutôt qu’avec une agence immobilière (à peine présente dans le pays). Voici un lien pour tous les hôtels du pays http://www.camerounhotel.com/
Santé

Un certificat de vaccination contre la fièvre jaune est exigé de tous les voyageurs de plus d’un an. Il existe un certain nombre d’hôpitaux de district et privés au Cameroun, bien que les établissements de santé ne soient pas recommandés aux voyageurs étrangers. Les niveaux d’assainissement sont faibles, même dans les meilleurs hôpitaux et cliniques. Les installations à l’extérieur de Yaoundé et Douala sont extrêmement limitées. Les voyageurs internationaux sont fortement invités à souscrire une assurance médicale complète avant le départ.

argent

Les guichets automatiques sont rares, mais vous pouvez en trouver à Douala et Yaoundé centres-ville. Pour vos achats ou d’autres opérations financières, vous devrez changer votre argent pour obtenir CFA francs.

Transport

Les transports publics sont très fréquents et organisés. Vous pouvez également prendre un taxi serait plus sûr et éviter de vous perdre.

Téléphoner

Il existe plusieurs entreprises de téléphonie mobile qui opèrent dans le pays, il sera plus facile pour vous d’obtenir un téléphone adapté au réseau local, plutôt que de garder votre contrat là-bas.

Catégories
FEATURED Maroc

MAROC

Présentation

Le Maroc dispose de 14 universités et divers instituts technologiques répartis sur son territoire. L’enseignement est dispensé en français et en arabe. L’organisation des études sur le mode du LMD (Licence-Master-Doctorat) a été mis en place au Maroc. L’année universitaire se compose de deux semestres.

L’enseignement supérieur et professionnel au Maroc est sensiblement identique au modèle sénégalais. Il est composé d’établissements publics et privés délivrant une formation initiale ou professionnelle.

L’enseignement supérieur marocain est scindé en deux catégories. D’un côté, l’enseignement supérieur est organisé par le Ministère de l’enseignement supérieur. Il forme des cadres de niveau bac + 3 à bac + 8. De l’autre, le Ministère de l’emploi et de la formation professionnelle propose un enseignement professionnel visant à former des techniciens spécialisés en 2 ou 3 ans après le bac.
Il existe des établissements privés dans les deux catégories d’enseignements. L’enseignement supérieur comprend des universités, des écoles et des Instituts technologiques.
Grâce à une récente réforme, les études sont organisées sur le modèle LMD : Licence en 3 ans, Master en 5 ans et Doctorat en 8 ans. Une année universitaire compte 2 semestres.
A noter : la formation dans les établissements publics est gratuite. 

 

Les universités
Il existe 14 universités réparties sur la totalité du territoire. Les domaines d’études sont l’enseignement originel, le droit et l’économie, les lettres, les sciences, la médecine, les sciences d’ingénieur, le commerce et la gestion, les sciences de l’éducation et la traduction.

Les écoles d’ingénieurs
En plus de ces universités, il existe comme ici des écoles d’ingénieurs. Elles se distinguent par une sélection par concours à l’entrée et un effectif réduit. Les études se déroulent sur 5 ans et débouchent sur un diplôme d’ingénieur d’Etat. On trouve deux catégories d’écoles d’ingénieurs : les écoles admissibles après le bac et d’autres admissibles après un bac +2.
Les premières possèdent un cycle préparatoire intégré. On peut citer l’Ecole Nationale de l’Agriculture de Meknès (ENAM), l’Ecole Nationale Forestière d’Ingénieur (ENFI), les Ecoles Nationales des Sciences Appliquées (ENSA), l’Ecole Nationale Supérieure des Arts et Métiers (ENSAM).
La deuxième catégorie regroupe 11 écoles participant au Concours National Commun, organisé chaque année par la Direction de la Formation des Cadres (DFC). Parmi elles, nous pouvons citer l’Ecole Hassania des Travaux Publics (EHTP), l’Ecole Mohammadia d’Ingénieurs (EMI) et l’Ecole Supérieur des Industries du textile et de l’Habillement (ESITH). Notons qu’à partir de la rentrée 2012, l’ENSA et l’ENSAM feront partie de ce groupe.

Les CPGE
Afin d’intégrer plus facilement ces écoles, ils existent des Centres de Préparation aux Grandes Ecoles (CPGE). Ils recrutent sur dossier et préparent en deux ans aux concours d’entrée aux Grandes Ecoles.

Les écoles de commerce et de gestion
Côté commerce, il existe 9 écoles nationales de commerce et de gestion (ENCG). Elles forment en 5 ans des cadres dans les domaines du commerce et de la gestion, débouchant par exemple sur des métiers de la finance, de la comptabilité et des ressources humaines. Parmi elles, nous pouvons citer HEC Maroc, Sup de Co Marrakech, Al Akhawayn, ESIG, etc

La formation des cadres
Le Maroc a développé un réseau assez important d’établissements de formation des cadres, réparti sur l’ensemble du territoire national. Cette formation est assurée selon les compétences suivantes : Des établissements scientifiques et techniques, des établissements juridiques économiques administratifs et sociaux, des établissements pédagogiques, 6 Ecoles Normales Supérieures, 2 Ecoles Nationales Supérieures d’Enseignement Technique (ENSET), le Centre de Formation des Inspecteurs de l’Enseignement et le Centre d’Orientation et de Planification de l’Education (COPE). L’accès à certains établissements se fait par voie de concours d’admission, de sélection ou d’entretien personnel.

Retrouver toutes les formations et les filières proposés sur le site du Département de l’Enseignement supérieur et celui du Ministère de l’emploi et de la formation professionnelle

 

Dès votre arrivée, il est obligatoire d’obtenir tout d’abord votre carte de séjour. 

Pour l’obtenir : Se présenter au commissariat Central de votre lieu de résidence avant de dépasser le délais de 3 mois qui vous est accordé muni de :

– Photocopie certifiée conforme du passeport
– 8 photos d’identité
– Certificat de l’inscription de l’école
– Attestation de prise en charge de votre ambassade/consulat au Maroc
– Contrat de Bail
– Timbre de 100 Dirhams (Les sénégalais ne paient pas les frais de timbres au Maroc)

COMMENT SE DÉPLACER EN VILLE ?

  • En bus

Considéré comme le moyen de transport urbain le plus utilisé, les bus couvrent la totalité des grandes villes avec un tarif moyen de 4 DHS (Le Dirham DH est la monnaie marocaine).

  • En taxi

Vous pouvez également vous déplacer au moyen de petits taxis, qui facturent via un compteur électronique. La prise en charge de ce taxi est de 1,70 Dhs (0,2 euros), avec une cadence de 20 centimes par 100 mètres. Le tarif minimum pour ce taxi est de 7 Dhs (0,7 euros).
Ce tarif augment de 50% à partir de 20 H de soir. Vous pouvez aussi vous déplacer en grands taxis blancs.

COMBIEN ME FAUT-IL POUR VIVRE AU MAROC ?
Les charges mensuelles fixes à payer sont :

  • Entre 1000 et 2000 Dhs par étudiant dans un appartement en colocation à 2 ,3 ou 4 étudiants.
  • Factures d’eau et d’électricité
  • Facture de gaz
  • Facture de téléphone
  • Le transport
  • La nourriture

Exemples de quelques prix:

  • Pain: 1,20 dh la baguette
  • Riz: 11 dh le kilo
  • Bouteille de gaz: 42 dhs la bouteille
  • Communication Téléphonique: 50 dhs pour 15 minutes vers l’étranger (tarif Inwi)
  • chambre: de 600 à 1200 dhs selon la la ville et le quartier
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Afrique du Sud FEATURED

AFRIQUE DU SUD

Présentation

Conjoncture économique

L’Afrique du Sud, qui abrite 75% des plus grandes sociétés d’Afrique, a connu une croissance conséquente durant les années 2000 avant de subir la crise internationale. En 2015, la croissance (+1,4%) a conservé le rythme de 2014. L’Afrique du Sud demeure le pays africain le plus industrialisé. Néanmoins, son taux de croissance ne permet pas d’absorber les nouveaux travailleurs. L’économie repose sur le secteur minier et le dynamisme des secteurs agricoles et financiers. En 2015, l’Afrique du Sud a été fortement pénalisée par la chute des cours des matières premières et par la diminution de la demande chinoise. Si cette tendance se poursuit, de nombreux emplois et les exportations seront menacés.

L’enseignement supérieur sud africain est considéré comme le meilleur de tout le continent africain. Avec plus de 800 000 étudiants dans le pays ses établissements sont reconnus dans le monde entier et ont d’ailleurs mis en place beaucoup de programmes d’échanges avec d’autres pays, voire d’autres continents.
L’année universitaire est divisée en deux sessions : de fin janvier à juin puis de juillet à novembre. (pour rappel : les saisons sont inversées par rapport à l’hémisphère nord, l’été allant de la mi-octobre à la mi-février, l’hiver de mai à juillet)
On distingue : les Universités dites d’Etat et les Universities of technology ou Technikons.
Les Technikons:
Ce sont des établissements techniques ou Universities of Technology qui en 3 années d’études, sanctionnées par un national diploma, ou 4 années d’études (Bacheor’s degree of Technology), préparent à une insertion dans la vie professionnelle dans le secteur technologiques ou celui du commerce. Les conditions d’admission sont moins rigoureuses que pour les Universités d’Etat: il suffit d’être titulaire du Senior Certificate, l’équivalent du Bac.
Les Universités:
Elles offrent des enseignements allant du 1er au 3e cycle dans des domaines aussi divers que variés : technologie de l’information, médecine, gestion administrative, sciences humaines et sociales, droit, agriculture, génie civile, architecture, sciences naturelles, etc…
L’admission se fait presque toujours sur examen d’entrée. Il faudra bien vous renseigner sur les modalités de passage auprès de votre future université d’accueil !
Undergraduate : 1er cycle
Cursus d’une durée de 3 à 4 ans sanctionné par un Bachelor’s degree.
Le Honour’s degree est lui obtenu un an après ce Bachelor’s degree mais constitue l’étude d’un seul domaine d’approfondissement.
Graduate : 2nd et 3ème cycle
Ces cycles sont ouvert aux détenteurs du Bachelor’s degree. Il sont sanctionnés par :
– Le Master’s degree : de un à trois ans d’études après le niveau graduate
– Le Doctoral Degree : 4 ans et plus après le niveau graduate. Les postulants à ce diplôme devront effectuer un travail de recherche et produire une thèse.

Le coût de la vie

Même si les prix ne sont pas aussi avantageux que dans les autres pays d’Afrique, le coût de la vie sud africaine reste intéressant pour nous, européens.

Quelques exemples de la vie quotidienne :

Une nuit en auberge de jeunesse : 4,5 euros
Un steak dans un pub ou un « grill room » : entre 5 et 8 euros
Une pizza : 4 euros
Une chambre d’hôtel 2 étoiles : à partir de 15 euros

Les aides financières

Le coût de l’année varie évidemment selon les établissements. Vous pouvez compter en général entre 800 et 1500 euros l’année environ.

Une liste des bourses dédiées aux étudiants sud-africains et étrangers est disponible sur le site du Ministère de l’éducation.

Bon plan
D’autres aides financières sont offertes par la National Research Foundation d’Afrique du Sud. Plus d’infos : http://www.nrf.ac.za/
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100 كتاب تعلمك تدير لاباس FEATURED

100 كتاب تعلمك تدير لاباس- الجزء 1

thelawofsuccess
 #1 THE LAW OF SUCCESS
hypomanic
#2 THE HYPOMANIC EDGE
howtoinfluence
#3 HOW TO WIN FRIEND AND INFLUENCE PEOPLES
barbarians
 #4 BARBARIANS TO BUREAUCRATS
power_vs_force
#5 POWER VS FORCE
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 #6 GREAT BUSINESS TEAMS
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#7 CRUCIAL CONVERSATIONS
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#8 Mastery
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#9 The E-Myth Revisited
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#10 The 33 Strategies of War
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#11 Tribal Leadership
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#12 The 48 Laws of Power
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#13 The Art of Seduction
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 #14 FIRST RATE MADNESS
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#15 HOW TO MASTER THE ART OF SELLING
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 #16 SAM WALTON MADE IN AMERICA
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#17 THE LEAN STARTUP
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#18 THE ROAD TO FREEDOM
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 #19 DAVID AND GOLIATH
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