Par téléphone et sur ordinateur, l’agent de réservation réserve toutes sortes de prestations, collectives ou individuelles : hébergement, transport, spectacle, restaurant… Il travaille soit pour une agence de voyages, soit pour un voyagiste.
Fonctions:
Réserver un séjour d’une semaine en Islande pour un trekking ou un week-end à Oslo, une nuit d’hôtel ou une table de restaurant, une place de théâtre ou une visite organisée, une location de voiture, un voyage en train ou en avion…
L’agent de réservation travaille sur tous les fronts du voyage et du tourisme. Il utilise des banques de données qui répertorient horaires des compagnies aériennes, horaires des trains, coordonnées des chaînes hôtelières, chambres disponibles, actualités des spectacles.
Il doit jongler avec une masse de données, recouper les informations, trouver des solutions de remplacement en cas de problème.
Il passe le plus clair de son temps les yeux rivés sur son écran d’ordinateur en ligne, très souvent le combiné de téléphone à l’oreille. C’est à lui qu’incombe le suivi des dossiers. Par exemple, il vérifie le contenu du carnet de voyage établi par le voyagiste et le compare avec la demande du client.
La sphère internet fait évoluer le métier. L’agent de réservation passe de plus en plus dans le back office.
L’agent de réservation doit faire preuve de maîtrise et de patience face à des clients de plus en plus exigeants et parfois impatients.
Il opère généralement en équipe, dans un bureau, les horaires sont variables. Le rythme de travail est très soutenu à certaines époques de l’année. Les contrats d’embauche sont souvent saisonniers.
Études / Formation pour devenir Agent de réservation
Les diplômes sont assez nombreux :
– bac pro accueil-relation clients et usagers,
– bac pro services aux personnes et aux territoires,
– MC (mention complémentaire) télébilletterie et services voyages (un an après le bac),
– bac techno STMG (sciences et technologies du management et de la gestion),
– bac série générale (ES, S, L),
– BTS tourisme,
– BTSA développement,animation des territoires ruraux,
– DUT TC (techniques de commercialisation).
Ces diplômes professionnels peuvent aussi se préparer par la voie de l’apprentissage ou en alternance avec un contrat de professionnalisation.
Par ailleurs, il existe de nombreuses écoles privées délivrant des certificats d’école dans le domaine du tourisme.
Dans tous les cas, la pratique d’une langue étrangère au moins est indispensable.
L’accompagnateur de tourisme équestre (ATE) organise et conduit des promenades et des randonnées à cheval sur des itinéraires adaptés au niveau des cavaliers.
Fonctions:
L’accompagnateur de tourisme équestre est responsable du bon déroulement des promenades (de quelques heures à une journée) et des randonnées (plusieurs journées) qu’il organise.
Avant la sortie, il soigne les chevaux et s’occupe d’eux, prépare et règle le matériel et le harnachement (rênes, selles, étriers, harnais, mors…). Selon la durée de la sortie, il s’occupe également du ravitallement et des lieux de halte tant pour les cavaliers que les chevaux.
La sécurité étant un souci primordial, l’accompagnateur de tourisme équestre doit bien évaluer le niveau des cavaliers pour leur proposer un parcours et des chevaux adaptés. Pendant la sortie, il partage sa connaissance et sa passion du cheval et fait découvrir aux cavaliers la région traversée. Il a donc un rôle d’animateur.
L’accompagnateur de tourisme équestre peut travailler dans un club équestre, un club de vacances ou un gîte équestre, ou pour une municipalité lors d’animations touristiques. Dans tous les cas, il participe à la comptabilité et à la gestion.
Ce métier s’exerce surtout pendant la saison touristique (entre mai et septembre), et parfois pendant les petites vacances scolaires. C’est donc une activité saisonnière qui s’exerce généralement en complément d’un autre métier.
Rigoureux, respectueux des consignes de sécurité, aimable avec les clients, l’accompagnateur de tourisme équestre sait prendre les bonnes décisions et des initiatives en cas d’incident.
Études
Pour devenir accompagnateur de tourisme équestre, il faut obtenir le titre à finalité professionnelle d’accompagnateur de tourisme équestre (ATE) organisé par la FFE.
Accès sur test d’entrée. Il faut avoir 18 ans minimum, être titulaire de la licence sportive fédérale de l’année en cours, avoir un niveau “galop fédéral 6” et totaliser 7 jours de randonnée. Cette formation peut également se faire par la VAE (validation des acquis de l’expérience).
À noter : un aide-accompagnateur non titulaire du titre ATE ne peut pas exercer seul, mais uniquement sous la responsabilité d’un accompagnateur professionnel.
On peut aussi accéder à ce métier avec le CQP animateur soigneur assistant, le CQP organisateur de randonnées équestre, le brevet de meneur accompagnateur en tourisme équestre (attelage) ou le brevet de chef de caravane (attelage). Ces deux dernières formations sont organisées par la FFE (Fédération française d’équitation).
Hôtellerie et tourisme
Polyvalents dans les petits établissements indépendants, très spécialisés dans les grands hôtels, les professionnels de l’hôtellerie se mettent en quatre pour satisfaire la clientèle sur le plan de l’accueil, de l’entretien des chambres, de la gestion des réservations.
Le convoyeur de fonds assure le transport et la sécurité de valeurs (billets de banque ou pièces, bijoux, titres de paiement, métaux précieux…) qui lui sont confiées par des banques, des commerces ou des administrations.
Fonctions :
Sécuriser le transport Qu’il soit conducteur, garde ou messager (également appelé chef de file ou chef de bord), le convoyeur de fonds conduit le véhicule blindé, surveille les lieux ou effectue le chargement et le déchargement des sacs contenant les fonds dont il a la charge : espèces en pièces ou en billets, chéquiers, cartes bancaires…
Livrer ou collecter de l’argent Le convoyeur de fonds effectue la livraison des sommes encaissées nécessaires à l’activité économique des agences bancaires et des commerces. Il collecte également les recettes et les versements effectués par les clients de ces établissements. Il peut aussi être chargé d’alimenter les distributeurs automatiques de billets. Le tout selon un timing et un parcours précis établis à l’avance.
Suivre des règles strictes Les valeurs confiées sont transportées selon les règles d’équipement de sécurité et d’aménagement des sites de livraison ou de prise en charge. Le convoyeur de fonds doit également connaître l’essentiel du contenu des dispositions législatives et réglementaires concernant le port ¬d’armes, leur utilisation ainsi que les articles du Code pénal relatifs à la légitime défense, au flagrant délit et à l’assistance aux personnes en danger.
Profil :
Vigilance et patience Le convoyeur de fonds exerce un métier dangereux. Il doit faire preuve d’une grande attention, car la moindre baisse de vigilance peut lui être fatale. En outre, un équilibre nerveux à toute épreuve et de la patience sont également indispensables. En effet, le convoyeur attend parfois de longues minutes pour s’assurer qu’il n’y a pas de risques pour charger ou décharger le fourgon.
Réactivité et sang-froid Le convoyage de fonds est un travail d’équipe qui demande une organisation sans faille. Le convoyeur doit pouvoir anticiper les incidents et intervenir efficacement. Réactif, il sait garder calme et sang-froid. Le port d’armes imposé (il nécessite d’avoir plus de 21 ans et d’avoir déposé une demande auprès de la préfecture) reste dissuasif.
Honnêteté de rigueur Le convoyeur de fonds est un homme de confiance à qui l’on peut confier des sommes d’argent et des valeurs considérables. Honnêteté et droiture morale, ainsi que maîtrise de soi et maturité, figurent parmi les critères de recrutement.
Étudier la fiabilité du système d’information d’une entreprise et en assurer la sûreté, telle est la mission de l’expert en sécurité informatique. Un défi pour ce spécialiste, à l’heure où les échanges de données se multiplient.
Fonctions :
Traquer les points faibles Au cours de son diagnostic, l’expert en sécurité informatique étudie le système d’information dans sa globalité. Afin de proposer une sécurité maximale (protection contre les attaques, mais aussi confidentialité), il cherche avant tout à identifier les points faibles du système. Il est parfois secondé par des hackers volontaires, des professionnels de l’intrusion.
Protéger les informations
En lien avec les informaticiens et les responsables des services concernés, l’expert définit une stratégie de sécurité adaptée aux besoins et à la culture de l’entreprise. À l’arrivée, c’est un panel de procédures qui va de la gestion des mots de passe à la cryptologie (chiffrer et déchiffrer les messages sortants et entrants), en passant par les pare-feu, les antivirus, la limitation des accès au réseau en cas d’informations stratégiques, etc.
Jouer les interfaces Pour faire évoluer les solutions, l’expert suit au plus près le droit et les réglementations spécifiques, et s’informe sur les nouvelles technologies. Sensibiliser les utilisateurs et les directions aux règles et aux enjeux de sécurité s’avère également primordial.
Profil :
Des connaissances à jour Ce professionnel doit posséder de solides connaissances techniques dans le développement système, l’administration des réseaux et les normes de sécurité… qu’il met à jour en permanence. Au fait des dernières tendances et menaces sur le Net, sa veille technologique permanente et sa propre expérience lui procurent une connaissance accrue du danger.
Une vision d’ensemble Pour arriver à une parfaite étanchéité des réseaux, il doit également posséder une vision synthétique et globale du système d’information, des processus de l’entreprise et des profils utilisateurs, externes ou internes. Une condition pour mieux prendre du recul et anticiper.
Dynamisme et diplomatie Disponible et réactif, il est capable d’analyser rapidement les situations, prêt à intervenir en cas de crise. L’organisation et la gestion de projets font partie du quotidien de ce professionnel rigoureux. Bon communicant et pédagogue, il sait justifier les règles qu’il impose et les faire passer auprès des utilisateurs, même si elles sont parfois contraignantes.
Le chargé hygiène sécurité environnement participe à la définition de la politique de sécurité de l’entreprise (personnels, matériels, conditions de travail, respect de l’environnement) et prévient les risques d’accidents et de maladies.
Fonctions:
Veiller à la sécurité Le chargé hygiène sécurité environnement (HSE) réduit et contrôle les risques professionnels au sein de l’entreprise ou de la collectivité pour laquelle il travaille. Il analyse ces risques (accidents du travail, maladies professionnelles, pollution, nuisances sonores, espionnage industriel, etc.), les évalue et préconise des solutions adaptées. Il est également sollicité pour étudier les dangers potentiels lors de l’implantation d’une usine.
Former le personnel Afin de réduire le nombre d’incidents, le chargé HSE conçoit et anime des plans de prévention au sein de l’entreprise. Il sensibilise le personnel aux questions de sécurité en organisant des exercices d’alerte incendie ou en formant aux techniques d’intervention en cas d’accident, par exemple.
Faire respecter les consignes
Le chargé HSE s’assure de la fiabilité des installations (systèmes d’alarme, portes coupe-feu, etc.) et veille à l’application de toutes les nouvelles normes en vigueur. Il rédige les consignes de sécurité, depuis l’interdiction de fumer dans les bureaux jusqu’au port d’une tenue réglementaire (comme le casque sur un chantier). Il contrôle les conditions de travail du personnel et intervient en urgence s’il observe un risque précis.
Profil :
Des compétences techniques Le chargé hygiène sécurité environnement (HSE) connaît parfaitement les conditions de travail des salariés de son entreprise et les risques (éventuels) qu’ils encourent. Il possède des compétences scientifiques, techniques et juridiques régulièrement mises à jour. Spécialisé en chimie, en électricité, en informatique… il peut gérer certains types de risques. Dans tous les cas, il possède un diplôme de secourisme en entreprise.
De la pédagogie Pour mener à bien ses missions, par exemple pour diminuer de 50 % en 6 mois le nombre d’accidents dans une entreprise, le chargé HSE analyse la situation, fait des propositions réalistes et se fixe des résultats. Bien souvent, pour modifier les comportements à risques, le chargé HSE fait appel à son sens de la pédagogie.
De la réactivité Autorité, sang-froid, organisation, rigueur, talent de négociateur et capacité à travailler en équipe sont indispensables pour résoudre des situations d’urgence et décider rapidement. Le chargé HSE peut intervenir, à tout moment, sur plusieurs sites pour gérer une inondation, une biocontamination, une pollution accidentelle…
Personne qui vérifie le bon fonctionnement de toutes les fonctionnalités de l’application avant sa diffusion.
Femme, Homme, Il intervient dans le cadre de projets (mise au point de nouveaux logiciels, conception d’applications, refonte de programmes existants) Sur la base du cahier des charges, il va concevoir les tests de chacune des fonctionnalités, en assurer la conduite et détecter les anomalies et autres bugs à l’origine des dysfonctionnements.
Il est particulièrement sensible à la composante sécurité des programmes et des données. C’est donc le responsable d’une étape particulièrement « critique » Il est le garant de la fiabilité et de la qualité des logiciels. Il assure en fait la recette technique de l’application. Il peut s’agir d’un ingénieur maison ayant débuté par le développement et ayant suivi dans le cadre de son travail des stages de perfectionnement sans lesquels, les connaissances et savoir faire s‘érodent à grande vitesse.
Autre appellation Ingénieur de validation.
Monsieur ou Madame « Qualité » dans une entreprise ou une organisation. Il possède au minimum une formation initiale de Bac + 3/Bac + 4 complétée d’une expérience professionnelle significative pour ce qui concerne la fonction. – expérience dont la durée totale pourrait être de 5 ans environ.
Certains jeunes ayant suivi une école d’ingénieur, une licence ou maîtrise scientifique ou technique peuvent accéder rapidement à un poste d’adjoint responsable qualité.
On aura compris que l’on ne met pas un jeune « frais émoulu d’une structure universitaire » en position de responsable qualité.
Poste qui exige une expérience de terrain, une connaissance des produits, des ateliers, une connaissance des règles de sécurité avant de s’imposer et d’animer des cercles qualité ou des réunions d’évaluation ou d’audit des résultats qualité.
Aujourd’hui il faut souligner que la recherche du « zéro défaut » devient une loi, un comportement de tous les instants pour que l’entreprise puisse s’imposer sur les marchés. Les exigences du consommateur, celles des instances nationales ou communautaires qui veillent au respect des normes et réglementations sont là pour renforcer l’intérêt de cette fonction et sa spécificité.
Quelles que soient qualités relationnelles du titulaire de cette fonction, ce sont ses «références» terrain qui lui permettront de s’imposer.
Des sessions sont souvent proposées par des instituts, parfois des Mastères Pro intègrent cette dimension qualité aux compétences techniques sectorielles acquises (en médecine, biologie, pour citer des exemples)
Ne pas oublier qu’un directeur de fabrication peut être désigné également comme le responsable qualité de l’entreprise ! Souvent un poste que l’on rencontre dans les grandes entreprises.
Professionnels / (elles) qui assurent des évaluations au sein des établissements et services des secteurs sociaux et médico-sociaux accueillant des personnes considérées comme âgées et ou fragilisées, handicapées, dépendantes ou non, des enfants rencontrant des difficultés familiales, sociales…. et, auxquelles, la loi reconnaît des droits comme usagers de ces services.
Ces personnes interviennent dans le cadre d’une législation précise Elles sont – sans lien direct avec les établisse ments au sein desquels elles interviennent – employées par des organisations habilitées par l’Agence Nationale de l’Evaluation Sociale et Médico-sociale ANESM.
Responsable Qualité
Fonction, Poste confié à un cadre ingénieur de production ayant une grande expérience de l’entreprise et, en plus, une grande aptitude à motiver ses interlocuteurs. Parfois, cette fonction est confiée à un cadre issu de la recherche développement.
Position fonctionnelle dans l’entreprise: ses rapports sont remis à la direction qui les transmet aux services de production pour application. En plus de ses qualités d’animation, il doit être rompu aux processus de certification de la qualité que les organismes officiels de normalisation ont définis. Aussi, il est essentiel, avant de prendre en charge une telle fonction, de suivre les stages que les organisations de formation professionnelle proposent pour réussir dans ce poste. Poste qui exige d’avoir une expérience du secteur et de l’entreprise; Un junior,(Ingénieur ou Technicien supérieur) dans de grandes entreprises peut parfois être intégré dans une équipe qualité. C’est une opportunité pour découvrir l’entreprise sous un angle très intéressant.
Femme, Homme; Il est possible de décrire ce poste d’ingénieur Qualité composants Micro électroniques en s’appuyant sur une définition de poste présentée par une société américaine produisant des composants micro électroniques (High Speed IO production] Cette définition porte en particulier sur les nouveaux composants (au cours de leur phase de développement) Le poste consiste à définir les plans d’évaluation des degrés /critères de confiance conformément aux exigences du marché; Puis l’exécution de ces plans; En rédiger les compte rendus, Présenter les fiches de données (résultats) Préparer les actions correctives des mécanismes en cause et à l’origine des erreurs.
But général : améliorer la qualité totale des produits. Il prépare les procédures de qualification qui s’appliquent pour les contrôles sur sites extérieurs; Il évalue les nouveaux concepts de packaging. Enfin les audits des systèmes qualité des fournisseurs sont pris également en compte. Lorsqu’il y a des fabrications qui sont exécutées à l’étranger, les conditions du contrôle qualité sont également définies. Fonction clé dans toutes les sociétés. Grande importance pour le titulaire de se tenir informé des innovations et nouvelles modalités présentées lors de manifestations professionnelles.
Animateur d’un groupe Qualité
Animatrice, Animateur – Personne (de l’encadrement) ayant des compétences pédagogiques, capable – sur la base d’un projet relatif au développement d’une politique qualité au sein d’une entreprise ou d’une organisation – de prendre en charge l’animation d’un groupe.
Il ou elle aura au préalable bénéficié d’une formation pédagogique de préparation à cette fonction. Préparation, Adhésion au projet, Animation d’une réunion, compte rendu, motivation des participants, etc. Il sera capable de faire exprimer des idées par chaque participant au delà des clivages de services ou hiérarchiques.
Position qui correspond à la conduite d’un projet. Elle convient aux Ingénieurs, cadres et formateurs ” maison ” qui sont bien souvent la cheville ouvrière de ces opérations. On peut bien sur confier cette mission à un consultant externe qui se sera spécialisé dans la mise en oeuvre de processus qualité.
Lorsqu’il s’agit de faire avancer des projets complexes et ou innovants, le niveau master est un “+” pour réussir dans cette fonction.
Ingénieur- Ingénierie de système RF/uW. Il ou elle est capable de fournir aux clients une assistance technique de haut niveau pour les applications commercialisées.
Spécialement – par exemple – aux forces de vente qu’il peut qualifier techniquement. Il saura satisfaire à leurs besoins d’information et de formation dans les processus de mesures en apportant par exemple les solutions les plus adaptées. Parmi les exigences de cette fonction celle de se tenir régulièrement informé des progrès des techniques et de l’évolution des marchés ciblés. Enfin, régulièrement de suivre les séminaires sur l’état de l’art dans le domaine des mesures électroniques Connaissance techniques, Capacités à programmer en basic, C, visual basic.
Qualité et sécurité
Qualité et sécurité: Dans les activités professionnelles, la recherche de la meilleure qualité des biens et services produits est véritablement universelle et concerne toute la hiérarchie: Des, ingénieurs, des responsables, des agents de maîtrise, du personnel d’exécution, tous visent la meilleure qualité des produits fabriqués, des équipements livrés, des services rendus. Il est courant que se créent des groupes de travail, des groupes projets dont les objectifs visent une « amélioration de la qualité»
Qualité & sécurité : Toute cette approche exige des audits “qualité” des mesures, des enquêtes, des tests afin de détecter les malfaçons, les défauts, et les procédures qui sont à l’origine des problèmes. En outre aujourd’hui, avec cette optique de recherche du « zéro défaut » on développe des logiciels qui permettent d’avoir des “rails” et des alertes et qui – au total – permettent de gagner beaucoup de temps pour obtenir la qualité requise.
Le rédacteur en chef anime une équipe de journalistes et veille au respect de la ligne éditoriale d’une publication ou d’un journal audiovisuel. Il assure également le lien avec la direction et les autres services, techniques et administratifs.
fonctions-profil:
À la tête de l’équipe rédactionnelle, le rédacteur en chef est responsable du contenu et de la cohérence des différents articles d’une publication.
Son rôle essentiel : déterminer les sujets à traiter, puis définir avec les journalistes l’angle des articles, c’est-à-dire la manière dont les sujets seront abordés sur les plans social, économique, politique…
Il prévoit aussi le calibrage (nombre de signes par article) et commande éventuellement des dessins ou des photos en rapport avec les textes. Toujours sur la brèche, il cherche sans cesse de nouvelles idées d’articles ou de rubriques en vue des prochaines parutions.
En outre, le rédacteur en chef est chargé des questions pratiques et techniques, et de la direction de son équipe de pigistes et de journalistes.
Le “rédac-chef” représente l’image du journal pour lequel il travaille et doit respecter sa ligne éditoriale. Mais il peut tout de même imposer ses points de vue et sa propre vision de l’actualité : c’est pour cela qu’une publication change souvent de ton avec l’arrivée d’un nouveau rédacteur en chef.
Cette profession s’exerce aussi dans l’audiovisuel : radio et télévision. Selon les supports, le rédacteur en chef peut ainsi être responsable du contenu et de la ligne des journaux d’information (actualité immédiate), de magazines de fond ou de documentaires spécialisés.
Dans tous les cas, il faut faire preuve de solides qualités rédactionnelles, d’une bonne capacité à diriger une équipe, d’aisance relationnelle, de rigueur et d’organisation.
C’est un poste à hautes responsabilités qui n’est jamais confié à un journaliste débutant.
Traductrice / Traducteur
Traducteur de romans ou de notices techniques, traducteur de bulletins officiels ou de textes juridiques… Quel que soit le secteur, le traducteur fait le lien entre des personnes qui ne lisent pas la même langue. Un travail d’une grande exigence !
fonctions
Il y a plusieurs types de traducteurs :
Le traducteur littéraire travaille pour l’édition. Il s’engage par contrat à traduire un ouvrage destiné à être publié. Le grand public songe souvent aux traducteurs de textes littéraires (romans, nouvelles…), mais les traducteurs travaillent aussi sur des usuels, des guides pratiques ou des livres de cuisine, par exemple.
Le traducteur littéraire peut aussi travailler dans la presse pour traduire des articles étrangers, des interviews, des dépêches… La plupart d’entre eux ont une formation initiale en journalisme et sont salariés d’une agence de presse.
Parce qu’il est difficile d’en vivre, la plupart des traducteurs littéraires pratiquent la traduction en complément de leur activité principale. Il s’agit souvent de professeurs, de journalistes, d’écrivains…
Le traducteur technique est spécialisé dans un domaine en particulier, dont il maîtrise parfaitement le vocabulaire. Le secteur médical, le droit, l’électronique, le multimédia et les télécommunications sont les secteurs les plus porteurs pour les traducteurs techniques.
La plupart des traducteurs techniques ont un double cursus : ils ont suivi une formation dans un domaine spécifique (économique, scientifique, technique…) complétée par une formation de traducteur.
La traduction technique exige un équipement spécifique et la maîtrise des nouvelles technologies. Parmi les langues de travail, l’anglais est quasiment incontournable.
Le terminologue est un linguiste chargé de trouver les équivalents français de termes étrangers et proposer de les fixer.
Le traducteur du secteur audiovisuel est spécialisé dans le sous-titrage et le doublage de films pour le cinéma ou la télévision, mais aussi pour la préparation d’émissions de radio.
Le traducteur expert judiciaire traduit des documents à produire en justice et effectue des missions d’expertise. Il peut jouer le rôle d’interprète au cours d’une audience ou d’une instruction. Il est nommé par l’autorité judiciaire.
Les traducteurs ne sont que quelques milliers en France. Quel que soit le domaine où ils exercent, la plupart d’entre eux travaillent avec le statut d’indépendant. Quelques-uns seulement sont salariés d’une entreprise privée, et de rares postes sont offerts dans les organismes internationaux (recrutement sur concours).
De très bonnes compétences en langues étrangères sont évidemment indispensables pour exercer ce métier, mais il faut aussi avoir de vraies compétences rédactionnelles et maîtriser parfaitement sa langue maternelle pour restituer le plus fidèlement possible toutes les nuances et subtilités d’un texte.
Analyse, rigueur et vaste culture générale sont également indispensables.
Formation
Plusieurs voies existent pour devenir traducteur.
Écoles spécialisées (recrutement à bac + 2/ 3) :
Les deux écoles les plus renommées sont l’Esit et l’Isit.
– Esit (École supérieure d’interprètes et de traducteurs ) sections traduction, traductologie : accès au titulaire d’un M1. Diplôme de sortie : doctorat.
– Isit (Institut de management et de communication interculturels) filière management, communication, traduction. Diplôme de l’Isit. Admission en 1ere année après le bac, en 2e année avec un L1 validé, en 3e année avec L2 validé, en 4e année avec L3 validé. Etudes payantes.
D’autres écoles ou instituts assurent des formations à la traduction
– Estri (École supérieure de traduction et de relations internationales)) ;
– IT-IRI (Institut de traducteurs, d’interprètes et de relations internationales ) à Strasbourg ;
– IPLV .
Masters professionnels (bac + 5)
Sérigraphe
Le sérigraphe est un spécialiste de l’imprimerie par sérigraphie. Il utilise la technique du pochoir, surface-écran interposée entre l’encre et le support, pour imprimer des motifs ou des lettres sur divers matériaux : papier, carton, bois, métal, verre…
fonctions
À la fois technicien et artiste, le sérigraphe imprime en grand format des dessins ou des motifs de façon répétée sur divers matériaux : carton, bois, métal, céramique, tissu, verre…
Il peut répondre à une commande passée par un client ou proposer lui-même un projet. Dans les deux cas, le produit fini doit correspondre parfaitement aux attentes de la clientèle, avec qui le sérigraphe a des contacts fréquents.
En fonction de l’organisation de l’entreprise et de sa taille, le sérigraphe réalise tout ou partie des opérations d’impression : préparation de la “forme imprimante” (surface-écran avec toile de meunier), composition des teintes, préparation des encres, calcul de la quantité d’encre nécessaire au tirage, réglage des machines et des séchoirs, et enfin impression sur table manuelle ou mécanique.
Pour ce qui concerne, en amont, la composition du motif à imprimer, le travail à la main se fait de plus en plus rare. Le dessin se fait le plus souvent sur des logiciels de PAO (production assistée par ordinateur). De même, les découpes sont numérisées et l’impression est souvent automatisée.
Une fois les supports imprimés, le sérigraphe les transmet pour finition avant leur livraison.
Dans une imprimerie ou en atelier, le sérigraphe exerce presque toujours debout, dans les odeurs de solvants et dans le bruit (la nuisance sonore est néanmoins atténuée grâce à la généralisation des cabines de pilotage insonorisées).
Les horaires de travail varient selon les entreprises, mais ils sont souvent réguliers et postés (2 x 8).
À noter : les applications spécifiques de la sérigraphie sont remplacées peu à peu par l’impression numérique à jet d’encre, mais la sérigraphie reste encore vivante, notamment pour les travaux de haute qualité destinés au verre et au tissu.
Formation
CAP et bac pro :
– CAP sérigraphie industrielle ;
– bac pro réalisation de produits imprimés et plurimédia option A production graphique ou B productions imprimées;
– bac pro artisanat et métiers d’arts option communication visuelle plurimédia ;
BTS (bac + 2) :
L’opératrice de saisie est une spécialiste du clavier d’ordinateur. Elle saisit des documents ou des données, manuscrits ou enregistrés ou des informations destinées à alimenter des bases de données sur un micro-ordinateur.
fonctions
L’opératrice de saisie a remplacé l’ancienne dactylo avec des compétences nouvelles.
Elle classe, pointe, vérifie les documents nécessaires à la saisie des informations pour un ou plusieurs services de l’entreprise. Elle effectue avec des outils informatiques l’enregistrement des données alphanumériques, numériques ou comptables.
Selon la taille de l’entreprise, elle peut aussi assurer le tri et la distribution du courrier, la gestion des commandes et des stocks de fournitures de bureau.
Le travail s’effectue dans un bureau ou en centrale de saisie à partir de consignes précises et en fonction de délais à respecter. Cela nécessite des échanges d’informations avec les autres services.
Les horaires sont en général réguliers.
L’opératrice de saisie travaille dans les grandes entreprises et les PME ou – par le biais du télétravail – à domicile.
Formation
Il est de plus en plus difficile de trouver un emploi au niveau DNB (diplôme national du brevet) dans le domaine du secrétariat. Des postes d’employé de bureau restent encore ouverts mais de plus en plus polyvalents et concernent les services généraux de l’entreprise.
La formation de base est aujourd’hui le bac pro.
– Bac pro gestion-administration (ex bac pro secrétariat),
– Bac techno STMG (sciences et technologies du management et de la gestion),
– Bac techno ST2S (sciences et technologies de la santé et du social).
Média-planner
Média-planner
Le média-panner élabore un plan média afin de monter et d’organiser les étapes d’une campagne publicitaire dans les différents médias (presse, affichage, télévision, radio et web). A partir d’études quantitatives et qualitatives, il sélectionne les supports qui permettront d’atteindre la cible définie par l’annonceur.
fonctions
Le média-planner prévoie et coordonne les passages des campagnes publicitaires dans les grands médias traditionnels et sur web.
Il est chargé de l’élaboration du plan média. Il détermine, en tenant compte du produit à valoriser et du public cible, les meilleures stratégies à mettre en œuvre. Il doit maximiser l’image médiatique
du produit et de l’entreprise qui a passé commande auprès de son agence.Le média-planner fait donc le lien entre les annonceurs et les agences de ventes d’espaces publicitaires.
Il évalue aussi l’impact des campagnes publicitaires, en coût et en efficacité, en s’appuyant sur des outils statistiques et des études de marché. Il analyse leur rentabilité en fonction des tarifs et des différents supports.
Ce métier exige le goût et l’analyse des chiffres ainsi que le sens de la négociation commerciale.
Le média-planner a une obligation de résultat. Il peut exercer au sein d’une agence de publicité ou d’une centrale d’achat.
Formation
Le secteur du marketing fait le plus souvent appel à des cadres de niveau bac + 5. Ainsi le média-planner est généralement issu d’une formation commerciale, mais il peut aussi se former à l’université :
– diplôme d’écoles de commerce (Hec, Em Lyon, Essec, Audencia…), marketing
– diplôme d’IEP ou du Celsa,
– master pro en communication, économie, statistiques (Ensae), gestion.
Illustrateur
En collaboration avec un auteur ou un éditeur, l’illustrateur traduit des textes en dessins. Il illustre surtout des livres pour la jeunesse et des ouvrages scolaires ou parascolaires, mais il peut aussi travailler pour la presse ou la publicité.
fonctions
Dans l’édition, l’illustrateur collabore à la fois avec l’auteur, dont il doit respecter le texte, et avec le directeur artistique, qui lui soumet le cahier des charges établi en amont : code couleur, typographies à utiliser, formats prévus, délais de livraison…
Malgré la contrainte des consignes reçues, l’illustrateur jouit globalement d’une grande liberté créatrice.
L’illustrateur peut être chargé de l’intégralité des pages d’un ouvrage (notamment pour un album de bande dessinée) ou seulement de la couverture.
Dans le cas d’illustrations multiples, il travaille à partir des “découpes” qui matérialisent les emplacements consacrés aux dessins dans le texte.
Pour une illustration de couverture, il travaille en grand format et doit trouver la meilleure traduction visuelle du titre.
Dans tous les cas, l’illustrateur propose toujours des esquisses ou des crayonnés pour les faire valider, avant de passer à la phase de colorisation sur une table à dessin ou, le plus souvent, sur un ordinateur équipé d’une palette graphique.
Doué pour le dessin et la peinture, l’illustrateur peut utiliser différentes techniques de dessin sur papier (encre, gouache, feutre, crayon, pastel, acrylique…), ainsi que des outils informatiques et des logiciels spécifiques (Illustrator, Photoshop, Paint…).
Traditionnellement, l’illustrateur travaille plutôt en solitaire, chez lui ou dans un atelier, mais la tendance actuelle est au regroupement dans un même local de travailleurs indépendants qui mettent en commun leurs moyens techniques, leur matériel et leur documentation.
Très rarement salarié, l’illustrateur doit savoir se vendre et décrocher des commandes. Pour cela, il prend grand soin de son “book” qu’il met à jour régulièrement pour présenter ses travaux les plus convaincants à des employeurs potentiels.
Outre son savoir-faire technique et artistique, l’illustrateur doit avoir de la personnalité, un esprit très créatif et un style bien à lui.
Formation
Beaucoup d’illustrateurs sont autodidactes, mais il est conseillé de suivre une formation artistique et/ou graphique.
L’idéal est de débuter par un bac techno STD2A (sciences et technologies du design et des arts appliqués). Les bacheliers des séries générales devront suivre une année de Manaa (mise à niveau en arts appliqués).
Exemples de formations :
– BTS design graphique options communication et médias imprimés, médias numériques,
– DMA (diplôme des métiers d’art) arts graphiques ;
– DNAT (diplôme national d’arts et techniques) design graphique ;
– DSAA (diplôme supérieur d’arts appliqués) créateur-concepteur option communication visuelle ;
– DSAA illustration médicale et scientifique;
– DNSEP (diplôme national supérieur d’expression plastique) option art, communication…
Documentaliste
Rechercher, traiter et communiquer l’information : les fonctions du documentaliste sont multiples. Internet et les bases de données numériques ayant complexifié les fonds d’information et les techniques de recherche, de nouveaux métiers apparaissent.
fonctions
Le métier de documentaliste s’exerce à différents niveaux de compétence.
L’assistant documentaliste assure les tâches d’exécution nécessaires à la gestion d’un système documentaire.
Le documentaliste alimente les bases de données, analyse, indexe et exploite les documents.
L’ingénieur documentaliste conçoit, organise et dirige des systèmes documentaires.
L’expert documentaliste, responsable de la politique documentaire d’une entreprise, sait trouver des solutions.
Le documentaliste se tient au courant des nouvelles parutions par plusieurs moyens : bibliographies, revues spécialisées, banques de données, fils RSS, enquêtes… Il sélectionne les documents à acquérir et, pour chaque document réceptionné, il établit une notice catalographique (carte d’identité). Après en avoir analysé le contenu et extrait les idées essentielles, il les traduit en langage documentaire.
Le documentaliste aide aussi les consultants dans leur recherche et dans la manipulation des fichiers électroniques. Il assure parfois un travail de promotion en organisant des expositions ou des animations.
Le documentaliste du secteur audiovisuel recherche des documents (images fixes ou animées) pour un journal télévidé ou un magazine d’information. À ce titre, il participe aux conférences de rédaction. Il archive les éditions et les rushes.
Dans l’édition, le documentaliste prépare différents dossiers pour le secrétaire d’édition, l’illustrateur, le graphiste…
La révolution numérique a engendré de nouveaux métiers ou de nouvelles fonctions.
Le gestionnaire de données est spécialiste des banques de données numériques.
Le chargé de veille documentaire assure l’interface entre les spécialistes d’un domaine (biologistes, publicitaires…) et les sources d’information.
Le rédacteur documentaliste rédige des notices d’utilisation, des procédures qualité, des manuels…
Le record manager gère les archives vivantes d’une entreprise pour sauvegarder son patrimoine historique.
Le consultant en système d’information, travailleur indépendant, est rattaché à une société de services en ingénierie documentaire (audit et conseil).
La fonction publique (notamment la fonction publique territoriale) et l’Éducation nationale (concours de professeur documentaliste) emploient un grand nombre de documentalistes.
Dans le privé, les employeurs sont surtout de grandes entreprises qui possèdent un centre de documentation.
Qualités indispensables : polyvalence, maîtrise de l’informatique et d’internet, connaissance d’une langue étrangère. Dans l’audiovisuel, il faut aussi de bonnes connaissances en sémiologie et en droit de l’image et de l’information.
Formation
De bac + 2 à bac + 5, les formations en documentation sont nombreuses. Il est préférable d’acquérir d’abord une formation de base (niveau bac + 3 ou bac + 5) scientifique, économique ou juridique et, en complément ou simultanément, un diplôme relatif aux techniques documentaires.
– DUT Gido (gestion de l’information et du document dans les organisations), préparé dans 10 IUT;
– Deust métiers des bibliothèques et de la documentation;
– licence pro documentation et information scientifiques et techniques;
– licence pro gestion et édition de fonds photographiques et audiovisuels;
– licence pro ressources documentaires et bases de données;
– master pro gestion de l’information et du document;
– master pro information et documentation;
– master pro métiers de la documentation;
– master documentation;
– master documentation et enseignement;
– master science de l’information et du document