Catégories
ressources humaines

Responsable de la gestion des carrières

Le responsable de la gestion des carrières pilote l’employabilité des salariés ou leur mobilité en veillant à concilier leurs compétences et leurs souhaits d’évolution avec la stratégie et les besoins de l’entreprise.

Autres intitulés
• Responsable mobilité interne
• Responsable gestion des compétences et mobilité
• Responsable GPEC et carrières
• Responsable emplois et carrières
• Responsable emplois et compétences
• Responsable développement des talents
• Talent manager

Fonctions :

• Participer, en lien avec la direction des ressources humaines et le comité de direction de l’entreprise, à la définition des principes conditionnant l’évolution professionnelle des salariés.
• Formaliser les process permettant à un salarié d’exprimer une demande d’évolution professionnelle et d’intégrer une nouvelle fonction.
• Mettre en place les outils internes permettant de recenser et centraliser l’ensemble des souhaits d’évolution des salariés et des besoins des managers.
• Suivre les indicateurs de l’entreprise relatifs aux données sociales (pyramide des âges, taux de turn-over…).
• Anticiper les évolutions de l’entreprise à moyen et à long terme en mettant en place des plans de gestion prévisionnelle des effectifs.
• Rencontrer les opérationnels ayant exprimé un souhait de mobilité suite à différents contextes (départ non volontaire d’un collaborateur, création ou remplacement d’un poste).
• Détecter les emplois en tension pour lesquels il y aura pénurie de compétences.
• Formaliser les préconisations pour la mise en place d’un accord GPEC.
• Participer à la rédaction de l’accord GPEC, aux négociations avec les organisations syndicales, veiller à son déploiement.
• Définir et mettre en place les procédures liées à la description des fonctions, analyser les postes, réaliser les fiches de poste, conduire les entretiens associés.
• Créer ou refondre les outils : référentiel et cartographie des emplois et passerelles, dictionnaire des compétences, document d’appréciation annuelle.
• Assurer le reporting.
• Choisir et mettre en place un progiciel GPEC en lien avec les opérationnels.

Évaluation de la performance et des potentiels des salariés
• Piloter la réflexion, en liaison avec les managers et les responsables RH, sur l’évaluation des compétences et des performances.
• Dialoguer en interne avec l’ensemble des managers et des responsables ressources humaines pouvant apporter une visibilité en termes de détection/évaluation des potentiels et performances.
• Rencontrer et évaluer tous les candidats internes à un poste officiellement ouvert afin de confronter leur profil au cahier des charges du poste à pourvoir.
• Agréger les résultats formalisés des entretiens annuels de l’ensemble des salariés afin d’évaluer leurs souhaits d’évolution, leur degré de satisfaction par rapport à l’entreprise et au poste qu’ils occupent, le développement de leurs compétences.

Gestion des mobilités internes
• Étudier les projets professionnels des salariés, coordonner ou conduire les entretiens (annuel, professionnel, seconde partie de carrière).
• Gérer l’évolution professionnelle des seniors, accompagner les reconversions professionnelles en mettant en œuvre un projet professionnel personnalisé et un coaching.
• Définir les plans d’accompagnement des collaborateurs en difficulté.
• Établir des plans de succession (ou de relève) en repérant les remplaçants potentiels, notamment pour les cadres à haut potentiel et pour les talents rares.
• Animer ces plans, assurer les revues des effectifs (people review) dans le cadre des comités de carrière chargés d’analyser les compétences existantes des salariés.
• Gérer les dossiers de départ.
• Assurer l’intégration des salariés évoluant en interne, suivre leur performance en échangeant avec eux et leur manager.

Profil :
• Travailler sur le développement de nouveaux outils d’évaluation, internes ou externes : tests psychologiques, psychométriques.
• Assurer la communication interne (sur les éléments liés à la gestion des carrières).
• Conduire ou participer à des projets transversaux aux thématiques très variées comme : le système d’appréciation des compétences, un dispositif d’accompagnement des mobilités intra-fonctions, la mise en œuvre d’un PSE, des outils de SIRH (automatisation du process de suivi des carrières, indicateurs de performance).
• Recourir aux prestataires externes pour évaluer les compétences ou le potentiel d’un collaborateur à travers une mise en situation (assessment center).

Catégories
ressources humaines

Responsable des ressources humaines

Le responsable des ressources humaines est chargé de diriger la stratégie de gestion du personnel et du développement des effectifs au sein d’une entreprise. Ce poste de management est confié à des professionnels très qualifiés
FONCTIONS:
Un stratège Assurer la gestion des RH (ressources humaines), c’est superviser une équipe qui s’occupe à la fois de la gestion de la paye, des congés, de l’organisation des formations pour les salariés et du recrutement. Toutes ces activités sont gérées en accord avec la direction de l’entreprise. Selon la taille de la société, le responsable RH est en charge d’un ou plusieurs domaines liés à la gestion du personnel.
Sur tous les fronts
Le responsable RH veille au respect des obligations légales par son entreprise, en appliquant la réglementation relative au droit du travail, et cherche à améliorer les conditions et l’organisation du travail au sein de l’entreprise. Pour ce faire, il conçoit et organise des actions de communication interne, et entretient des relations avec les partenaires sociaux (délégués du personnel, comité d’entreprise).
Développer les compétences
Dans un contexte de compétition accrue entre entreprises, il doit veiller à la GPEC (gestion prévisionnelle des emplois et des compétences). Il encourage aussi la diversité dans le recrutement, ainsi que le développement des compétences des salariés par l’évaluation, la formation et l’évolution de carrière. Il accompagne tous les grands projets conduits en ce sens par son équipe, en apportant des outils méthodologiques.
PROFIL:
À l’écoute
Intermédiaire entre la direction et les collaborateurs, le responsable RH doit être attentif aux salariés tout en tenant compte des impératifs économiques. Il doit donc faire preuve de capacités d’écoute, mais aussi de force de conviction, notamment lors des réunions avec ses collaborateurs ou avec les partenaires sociaux. Une aptitude à la communication écrite et orale, de même qu’un sens de la négociation sont indispensables.
Une grande discrétion
Quand un plan de licenciement se met en place, au responsable RH d’avoir le doigté nécessaire pour gérer les relations avec les partenaires sociaux et les personnels concernés. Il doit aussi montrer une grande discrétion, indispensable puisqu’il détient des informations privées sur les salariés et/ou des données sensibles sur l’entreprise.
Un savoir étendu Le responsable RH est un généraliste des ressources humaines, aussi doit-il en connaître tous les aspects : recrutement, droit social, paie… Une bonne culture économique et financière s’impose également, ainsi que des compétences en psychologie du travail. Enfin, la maîtrise des outils informatiques devient nécessaire à ce poste qui exige par ailleurs un niveau d’anglais courant dans les entreprises de stature internationale.
Finalité du métier
Le responsable développement des ressources humaines a en charge la conception, le pilotage et le suivi de projets RH transversaux, en relation avec d’autres fonctions ou départements de l’entreprise. Il est donc acteur et moteur de la transformation sociale de l’entreprise.

Autres intitulés
• chef de projet RH
• directeur du développement RH

Missions:
Conception et pilotage des projets RH
• Analyser les activités et les processus RH.
• Assurer une veille des pratiques RH des entreprises de taille équivalente.
• Recueillir auprès des directions leur vision et leurs attentes en matière de projets RH.
• Construire le/les projets RH stratégiques en définissant les objectifs, les moyens, le planning :
o Recrutement : définition et mise en œuvre de la politique, outils de sourcing (recherche de candidatures), gestion des candidatures, intégration, mobilité interne.
o Formation : définition et mise en œuvre du plan de formation, élaboration du budget, hiérarchisation des actions, information des IRP.
o Gestion des carrières : mise en place d’une GPEC, entretiens individuels, revue des talents, détection des hauts potentiels, élaboration des plans de carrière et de succession, bilan retraite, élaboration et actualisation des fiches de poste.
o Rémunération, avantages sociaux : benchmark du marché, suivi de la masse salariale.
o SIRH : mise en œuvre des outils de reporting et d’évaluation des actions RH (tableaux de bord, bases de données)
o Diversité : mise en oeuvre des plans handicap, senior, jeunes, égalité hommes/femmes, chômeurs…

Suivi, accompagnement, évaluation des projets
• Suivre les projets RH en cours.
• Conseiller et accompagner les responsables opérationnels ou fonctionnels impliqués.
• Mesurer les résultats, les comparer aux objectifs définis.
• Assurer le reporting auprès de la hiérarchie sur les conditions de déroulement des projets.
• Analyser les obstacles rencontrés.

ACTIVITÉS
Le responsable du développement RH peut piloter un projet confié à un expert extérieur (cabinet conseil RH, juristes en droit social, consultant en outplacement) : définir le cahier des charges (brief), participer à sa sélection, animer des groupes de travail internes et/ou externes, analyser les recommandations, mettre en place le projet en interface avec les autres cadres RH (opérationnels ou fonctionnels).

Il peut également prendre en charge l’information des salariés relative aux projets qu’il pilote. Il se rapproche alors d’un rôle de communication interne.

Il peut être chargé de mener diverses études et analyses des problématiques RH (bilan social, rapport égalité hommes/femmes, plans seniors, handicapés…), être associé à la conduite des relations sociales, assurer une veille active sur les mouvements sociaux pour éclairer les IRP et les managers.

Catégories
MÉTIERS ressources humaines

RESSOURCES HUMAINES

la gestion des ressources humaines n’est pas un secteur économique mais une fonction transversale dont toutes les entreprises ont besoin. Gérer les relations sociales, valoriser les carrières, recruter de bons profils sont autant de facteurs déterminants pour la réussite d’une société, et qui demande des compétences professionnelles et humaines solides.

Catégories
BOURSES Organismes

Bourses d’études MBA IMD

IMD offre un certain nombre de programmes de bourses aux étudiants internationaux de différents pays et milieux. Chaque programme de bourses octroie environ CHF 25,000-50,000.
• Jim Ellert Bourses de MBA pour l’Afrique, l’Europe centrale et de l’Est et l’Asie du Sud-Est
• Bourses d’études de l’IMD MBA Future Leaders
• Bourse d’études IMD MBA pour les marchés émergents
• Bourses d’études Nestlé MBA pour les femmes
[vc_row][vc_column][vc_column_text el_class=”StudentsSearchFilter”]

[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]

Catégories
BOURSES Organismes

Bourses d’excellence de l’Université de Genève

La Faculté des sciences de l’Université de Genève, en collaboration avec plusieurs commanditaires, a mis en place un programme de bourses d’excellence pour appuyer des candidats exceptionnels et hautement motivés qui ont l’intention de poursuivre leurs études de Master en sciences dans n’importe quelle discipline de la Faculté. La bourse Excellence consiste en une subvention de CHF 10 000 à CHF 15 000 par an.
[vc_row][vc_column][vc_column_text el_class=”StudentsSearchFilter”]

[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]

Catégories
BOURSES Organismes

Bourses d’études supérieures

Le Graduate Institute vise à soutenir les étudiants ayant des besoins financiers démontrés en leur fournissant une aide financière qui peut prendre la forme d’une bourse couvrant le coût de vie complet, d’une bourse partielle et / ou d’une réduction des frais de scolarité. Les doctorants peuvent postuler pour un poste d’assistant d’enseignement ou de recherche rémunéré, généralement à partir de leur deuxième année d’études. Pour obtenir une liste des bourses d’études attribuées par l’Institut, Visitez ce lien : http://graduateinstitute.ch/files/live/sites/iheid/files/shared/admissions/Scholarships-en.pdf
[vc_row][vc_column][vc_column_text el_class=”StudentsSearchFilter”]

[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]

Catégories
BOURSES Organismes

Bourses d’excellence de l’EPFL

L’Ecole Polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL) offre un nombre limité de bourses de maîtrise aux étudiants ayant des antécédents académiques exceptionnels. Tout candidat à un programme de maîtrise d’EPFL est éligible. Pour les candidats externes, chaque bourse se compose d’un forfait financier de 16 000 CHF par année académique plus la réservation d’une chambre pour étudiants.
[vc_row][vc_column][vc_column_text el_class=”StudentsSearchFilter”]

[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]

Catégories
BOURSES Organismes

La bourse de mastère de l’Université de Lausanne

L’Université de Lausanne en Suisse offre des bourses aux étudiants étrangers qui souhaitent poursuivre leurs études en master à l’Université par l’intermédiaire de l’UNIL. Le montant de la subvention est de 1 600 francs suisses par mois, du 15 septembre au 15 juillet, pour une durée ne dépassant pas la période minimale réglementaire du programme.
[vc_row][vc_column][vc_column_text el_class=”StudentsSearchFilter”]

[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]

Catégories
BOURSES Organismes

Bourses d’excellence ETH

L’ETH de Zurich soutient les étudiants des universités (nationales et internationales) désirant poursuivre leurs études en master à l’ETH avec deux programmes de bourses: le programme d’excellence de bourses d’études et d’opportunités (ESOP) qui couvre tous les frais de scolarité et les coûts du séjour académique et le Programme de bourses d’études (MSP) où les étudiants reçoivent une allocation partielle ainsi qu’un assistantship.
[vc_row][vc_column][vc_column_text el_class=”StudentsSearchFilter”]

[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]

Catégories
Droits et justice

analyste juridique

Une carrière en informatique judiciaire peut allier la passion du numérique à des habiletés d’enquête dans les services policiers, juridiques, militaires ou commerciaux. Partout où on trouve des données – bref, à peu près partout –, les analystes en informatique judiciaire s’en servent pour poursuivre des criminels endurcis, des terroristes, des pirates informatiques et des escrocs à cravate.
Fonctions :
En fonction du domaine de l’entreprise où il travaille, il peut lui être demandé d’assurer la gestion et le suivi des dossiers. Après avoir effectué des recherches touchant au droit sur des sujets spécifiques, il rédige des accords commerciaux. Son but, d’un point de vue juridique, est de valider les documents et supports destinés à la clientèle : courriers, contrats et procédures. De plus, l’analyste juridique contribue à l’élaboration de procédures, la traduction de documents juridiques, et à la rédaction de rapports ou consultations. Il possède aussi un rôle stratégique. En effet il participe à la défense des intérêts de son entreprise dans l’instruction du dossier, la recherche d’éléments de preuve ou la collaboration avec les avocats.
La veille administrative, Il assiste par exemple les responsables juridiques dans leur rapport avec l’extérieur et leurs papiers. Son rôle réside dans le suivi des factures, ainsi que dans la veille documentaire des textes de loi et de la jurisprudence. Il doit préparer les dossiers en rassemblant les documents nécessaires aux procédures. Posséder les qualités relationnelles d’un secrétaire est aussi important afin de sauvegarder l’intérêt de son entreprise lorsqu’il sert d’interlocuteur avec les clients. En cas de litige, il répond aux réclamations et prépare les documents nécessaires

Profil :
• Avoir une fascination pour les aspects techniques de l’information numérique
• Avoir le souci du détail et faire preuve de persévérance
• Savoir sortir des sentiers battus pour réfléchir et résoudre des problèmes
• S’intéresser aux aspects judiciaires et commerciaux du crime informatique

Catégories
Droits et justice

assistant juridique

À l’aise aussi bien avec la bureautique qu’avec le vocabulaire juridique, le secrétaire juridique à la double compétence assiste les avocats, les huissiers, les notaires ou les juristes d’entreprise.
Fonctions :
Secrétariat classique Ce professionnel est d’abord un secrétaire : il accueille les clients, répond au téléphone, fixe des rendez-vous, tient l’agenda de son supérieur, assure la saisie des courriers et le suivi du règlement des factures, classe et archive les dossiers, organise les déplacements et les voyages.
Suivi des dossiers juridiques Le secrétaire juridique assure également une veille documentaire des textes de loi et de la jurisprudence, prépare les dossiers en rassemblant les documents nécessaires aux procédures. Il peut participer à la rédaction des notes de synthèse ou des conclusions. En entreprise, il aborde davantage des questions liées au droit des sociétés, au droit social (contrats de travail, procédures de licenciement, élaboration de dossiers pour les prud’hommes, formation professionnelle, etc.).
Accueil des clients Premier contact avec le client, le secrétaire juridique doit lui réserver le meilleur accueil, lui indiquer le juriste qui saura répondre à sa demande, mais aussi le tenir informé de l’évolution de son dossier en l’absence de son supérieur.
Profil :
Organisé, fiable et discret Le secrétaire juridique (généralement une femme) doit se montrer rigoureux, organisé, autonome et capable de prendre des initiatives. Aimable avec la clientèle, il sait aussi faire preuve de discrétion, car il est soumis au secret professionnel.
À l’aise à l’oral et à l’écrit La maîtrise de l’outil informatique, l’aisance dans l’expression orale et écrite sont évidemment indispensables. Chargé de saisir le contenu des dossiers, les conclusions adressées aux parties…, il doit connaître le droit et ses procédures. Parler au moins une langue étrangère (l’anglais) est souvent demandé par les employeurs.
Résistant au stress Aptitude à communiquer diplomatiquement en toutes circonstances, confidentialité, capacité d’adaptation… nombreuses sont les qualités relationnelles du secrétaire juridique. En cabinet, il lui faut également se montrer rapide, réactif, capable de gérer les priorités… et le stress.

Catégories
Droits et justice

commissaire au compte

Le Commissaire Aux Comptes exerce une profession agrée dans tous les pays de l’union européenne. Son rôle est de contrôler la régularité et la sincérité des comptes annuels des entités qu’il contrôle. Il vérifie et garantie que les comptes annuels sont l’image sincère et fiable du patrimoine de l’entreprise, de sa situation financière et de son résultat. Il vérifie l’exactitude des comptes en fonction des normes en vigueur en se basant sur les justificatifs des opérations. Il a pour obligation de mentionner toute anomalie ou irrégularité qu’il découvre aux dirigeants de la société et aux actionnaires (voire au Procureur de la République). En fin de mission, le Commissaire Aux Comptes rédige un rapport général dans lequel il présente ses conclusions à l’assemblée générale de l’entreprise
Fonctions :
Le commissaire aux comptes a pour mission première de valider les comptes des entreprises de plus de 50 salariés et des sociétés anonymes. S’il découvre une irrégularité, il doit en avertir le conseil d’administration et les actionnaires puis, si besoin, le procureur de la République. Il est également chargé de certifier les comptes annuels remis aux actionnaires lors de l’assemblée générale d’une entreprise.

Rôle du commissaire aux comptes
Dans une entreprise, le commissaire aux comptes occupe une fonction légale de manière autonome et indépendante. Pour mener à bien sa mission, il va :
• prendre connaissance de l’environnement et des particularités de l’entreprise en s’entretenant avec ses dirigeants ;
• analyser tous les documents financiers et les comptes annuels d’une entreprise ;
• mener une enquête interne afin de contrôler la véracité et la régularité des comptes de l’entreprise ;
• indiquer au conseil d’administration ou au procureur de la République les irrégularités qu’il a pu découvrir ;
• certifier que les comptes sont en conformité avec les principes comptables (avec ou sans réserve), ou refuser leur certification s’ils ne correspondent pas à la réalité financière de l’entreprise ;
• jouer le rôle de conseil auprès du chef d’entreprise dans les domaines du droit fiscal et social, du droit des affaires et en matière de gestion.
Profil :
Le Commissaire Aux Comptes doit avoir une connaissance poussée des règles comptables et juridiques. Ses missions sont avant tout d’ordre légal et impliquent sa responsabilité pénale vis-à-vis des associés de ses sociétés clientes. Les règles déontologiques sont très présentes, de même que les normes professionnelles d’exercices qui régissent le déroulement de ses missions. La connaissance de ces règles et normes est la condition à l’exercice de la profession.
Le Commissaire Aux Comptes doit disposer de bonnes capacités relationnelles afin de travailler de façon optimale avec son client, sans s’imposer ni s’effacer. Il doit être un excellent analyste, savoir mesurer les risques et établir des seuils de contrôle. Ces qualités lui permettent la mise en place de procédures complètes pour ainsi effectuer ses travaux avec rapidité et assurance.

Catégories
Droits et justice

juriste immobilier

le juriste apporte ses compétences à la fois en matière de prévention, de protection et de conseil. Il s’assure de la bonne tenue juridique des ventes et des acquisitions de biens immobiliers de ses clients ou de son agence. En d’autres termes, il vieille au bon respect du droit dans toutes les transactions et à l’intérêt de ses clients Il s’occupe de la rédaction d’actes juridiques. Il peut également participer aux opérations immobilières en analysant le plan d’occupation des sols, en effectuant le montage juridique de l’opération, en déposant le permis de construire, etc. Il répond à toutes les interrogations de manière rigoureuse.
Fonctions :
• Conseille et applique le droit immobilier envers les professionnels et les particuliers.
• Veille à la réalisation des dossiers administratifs et financiers/
• S’assure de la bonne tenue juridique des ventes et des acquisitions de biens immobiliers de ses clients ou de son agence.
• Apporte des réponses claires et précises en cas de litiges.
• S’assure que l’intérêt de ses clients soit parfaitement respecté et en conformité avec le droit juridique.
• Prend en charge ou délègue à d’autres professionnels la rédaction d’actes juridiques.
• Reste informé en permanence des dernières législations qui régissent le droit immobilier.
L’objectif ultime du juriste immobilier est d’apporter un soutien sans faille à ses clients lors de transactions immobilières en répondant à toutes les interrogations de manière claire et précise.

Profil :
un bon communicant :En raison des nombreux contacts qu’il entretient avec des interlocuteurs variés, ce poste nécessite de grandes qualités relationnelles ainsi que des capacités d’adaptation et de communication mais également une réelle curiosité d’esprit, un sens pratique développé et des facultés pour travailler en équipe. Il se tient informé en permanence des dernières législations qui régissent le droit immobilier par ailleurs.
Maîtrise du droit et l’outil informatique
Esprit de synthèse et d’analyse
Bon négociateur
Ténacité et rigueur
Qualités relationnelles, sens de l’écoute

Catégories
Droits et justice

juriste d’entreprise

Protéger les intérêts de sa société sur les plans commercial, fiscal, social…, telle est la mission du juriste d’entreprise. Cela, qu’il soit généraliste ou spécialisé dans un domaine comme les contrats ou les contentieux.
Fonction :
Selon la taille de l’entreprise qui l’emploie, il peut effectuer des tâches variées de conseil, de documentation, d’administration ou faire partie d’un secteur juridique spécialisé, en tant que responsable du département des marques et brevets par exemple.
Pour exercer au mieux son travail, le juriste doit se tenir régulièrement informé de l’évolution de la législation en droit commercial, droit du travail, droit des contrats, etc.
De plus en plus souvent, le juriste affine ses compétences en se spécialisant dans des domaines porteurs : les contrats, la concurrence, le droit social, l’environnement, les brevets, la propriété intellectuelle… Les employeurs, en particulier les grands groupes, recherchent une expertise.
Profil :
Des solutions concrètes Doté d’une excellente mémoire, le juriste connaît parfaitement son domaine d’intervention : droit du travail, fiscalité, contrats, contentieux, droit immobilier… sans oublier le monde de l’entreprise, de l’économie et de la finance. Ses principaux atouts ? Utiliser ses connaissances de la législation en s’adaptant aux situations très concrètes qu’il rencontre et en apportant des réponses précises.
La pratique de l’anglais est devenue indispensable.
Rigueur et objectivité Aisance écrite et orale, capacité d’analyse et de synthèse associées à une grande rigueur sont des qualités indispensables pour comprendre la problématique d’un dossier et la résoudre. De plus, le juriste doit faire preuve d’objectivité, afin d’éviter de porter des jugements de valeur dans son interprétation de la législation.
Solides connaissances en droit (contrats, protection de la propriété industrielle, droit international…)
Aisance relationnelle, capacités rédactionnelles
Sens de la négociation et du travail en équipe
Esprit de rigueur, de synthèse et d’analyse
Connaissances en langues étrangères

Catégories
Droits et justice

fiscaliste

Ses compétences sont précieuses lorsqu’une entreprise entreprend une opération importante comme une restructuration ou une fusion. Il est également l’interlocuteur de l’administration fiscale, pour le compte de l’entreprise. Ainsi, lors d’un contrôle, il sait trouver les arguments pour limiter les contentieux ou les redressements…
Le fiscaliste se doit de connaître sur le bout des doigts les dernières dispositions en vigueur et les utiliser au mieux. Ce qui suppose pour lui d’actualiser en permanence ses connaissances dans un univers particulièrement évolutif.
Fonctions :
L’objectif d’un fiscaliste est que son entreprise ou ses clients payent le moins d’impôts possible, car les taxes représentent une perte d’argent. Il faut donc les réduire le plus possible. C’est dans ce but que le juriste en droit fiscal doit :
• Trouver la meilleure option fiscale. Il s’agit de choisir le régime fiscal le mieux adapté aux besoins de chacun de ses clients. Le régime fiscal le mieux adapté est celui qui permettra de réduire les impôts au maximum sans risquer de redressement fiscal.
• Conseiller ses clients en matière fiscale. La législation fiscale évolue très vite et il est nécessaire de consulter un professionnel pour s’assurer de bénéficier de toutes les connaissances sur le sujet. Le fiscaliste doit connaître toutes les évolutions dans son domaine d’activité.

• Suivre l’activité juridique. Le fiscaliste doit connaître les lois fiscales et suivre leur évolution. Il doit tenir à jour sa documentation.
• Défendre les intérêts de ses clients. En cas de contrôle judiciaire, il devra justifier et défendre les choix de l’entreprise en matière fiscale afin que son client ou son entreprise ne subissent pas de redressement judiciaire.
• Eviter le redressement judiciaire. Le fiscaliste est également un garant. Son expertise en matière fiscale doit assurer à l’entreprise le respect des lois et des procédures auprès des pouvoirs publics.
Profil :
Le fiscaliste se doit de connaître sur le bout des doigts les dernières dispositions en vigueur et les utiliser au mieux. Ce qui suppose pour lui d’actualiser en permanence ses connaissances dans un univers particulièrement évolutif.
– Connaissance du droit et des règles de comptabilité
– Esprit d’analyse et de synthèse
– Capacités d’expression orale et écrite
– Rigueur et méthode
– Sens de la négociation

Catégories
Droits et justice

mandataire pénal

Le médiateur est un tiers qualifié pour résoudre les conflits. Le juge fait appel à lui quand les parties sont d’accord pour résoudre un conflit de manière amiable mais sous le contrôle du juge.
Attention ! Cette fiche ne concerne que la médiation judiciaire, c’est-à-dire la médiation ordonnée par un juge, et non la médiation extrajudiciaire, à laquelle les parties peuvent elles-mêmes toujours décider d’avoir recours.
Fonctions :
• mise en place par le Parquet avec l’accord des parties
• c’est une mesure alternative aux poursuites pénales
En cas d’échec, le procureur de la République, sauf élément nouveau, met en oeuvre une composition pénale ou engage des poursuites.
La spécificité du médiateur familial
La médiation n’est pas limitée dans son domaine, elle concerne aussi les différends entre particuliers et les entreprises, et de manière générale, la matière civile et commerciale au sens large.
Cependant, elle est majoritairement utilisée dans le domaine du droit de la famille:
• pendant le mariage, pour des problèmes liés à l’éducation des enfants, les charges du mariage
• ou après le divorce, pour des problèmes liés à la pension alimentaire, l’aménagement du droit de garde
Profil :
Un Médiateur de justice doit être juste et disponible. Il sait faire preuve de diplomatie et de psychologie. Le Médiateur doit être calme, patient et attentif.
Le Médiateur de justice doit faire face à des personnes étant en conflit, qui peuvent être désagréables entre elles ou envers le médiateur.

Catégories
Droits et justice

mandataire judiciaire

Le mandataire judiciaire représente les créanciers (salariés, Trésor public, fournisseurs, banques…) d’une entreprise placée en redressement judiciaire. En cas de liquidation de celle-ci, il est chargé de vendre les biens, de rembourser les dettes et de prononcer l’arrêt total de l’activité.
Fonctions :
Représenter les créanciers
Une entreprise dans l’incapacité de payer ses dettes peut être placée en redressement judiciaire par le tribunal de commerce ou de grande instance, à la demande des créanciers (salariés, clients, fournisseurs, banques…) représentés par le mandataire judiciaire. Ce dernier analyse les comptes, épluche les factures, vérifie le montant exact des dettes pour proposer des solutions de remboursement.
Procéder à la liquidation
Si les tentatives de redressement ont échoué, le tribunal ordonne la liquidation judiciaire de la société. Le mandataire (appelé alors liquidateur) procède à la vente des biens de l’entreprise, de l’artisan ou du commerçant, aux enchères ou à l’amiable. Il gère les licenciements et règle les sommes dues aux créanciers en fonction de leur rang (salariés, Trésor public, propriétaires des murs, créanciers nantis…). Lorsqu’un repreneur a été accepté par le tribunal, le mandataire procède à la cession de l’entreprise avec reprise partielle ou totale des salariés. Le liquidateur agit sous le contrôle d’un juge-commissaire, du procureur de la République et d’un commissaire aux comptes.
Vérifier les responsabilités
Collaborant, au cours de ses missions, avec tous les acteurs de la procédure (juges, patrons, créanciers, banques, salariés…), le mandataire apporte au juge sa connaissance du terrain et des dossiers. S’il constate des faits susceptibles d’engager la responsabilité pénale ou civile des dirigeants (faute de gestion, faillite personnelle, etc.), il saisit le procureur de la République.

Profil :
Spécialisé en droit, mais pas seulement Outre des connaissances approfondies en droit (commercial, civil, social, fiscal), ce métier exige des compétences complémentaires en gestion, en finance, et plus particulièrement en comptabilité.
Humain et diplomate, Le mandataire judiciaire doit faire preuve d’une grande capacité d’écoute et d’adaptation pour gérer, au mieux, des situations critiques. Ses décisions, lourdes de conséquences, doivent être expliquées à ses interlocuteurs et acceptées. Tact, diplomatie, patience, sens du contact et de la négociation sont autant de qualités exigées pour ce poste.
Respectueux et assermenté Soumis au respect de règles professionnelles et déontologiques très strictes, le mandataire judiciaire prête serment dès son accès à la profession. Il exerce sa mission dans la plus grande confidentialité et ne doit pas avoir d’intérêts communs avec le dirigeant (ou les créanciers). Il lui est expressément interdit d’exercer en parallèle une autre profession, afin d’éviter les conflits d’intérêts

Catégories
Droits et justice

administrateur judiciaire

Une entreprise est dans l’impossibilité de payer ses dettes ? L’administrateur judiciaire, nommé par le tribunal, la prend sous sa responsabilité et s’efforce de la sauver. Cet auxiliaire de justice est un spécialiste du droit et de la gestion.
Fonctions :
Conseiller les entreprises, L’administrateur judiciaire a pour première mission le conseil aux entreprises qui rencontrent des difficultés financières, dans le cadre de procédures de prévention (conciliation et mandat ad hoc). Il aide les dirigeants à renégocier leurs dettes, à trouver des partenaires…
Diagnostiquer et assister, Lorsqu’une entreprise ne peut plus faire face au remboursement de ses dettes, une procédure judiciaire est engagée par le tribunal. L’administrateur judiciaire prend alors l’entreprise sous sa responsabilité afin qu’elle poursuive son activité ou soit reprise par de nouveaux actionnaires.
Pour mener à bien sa mission, il établit un diagnostic complet de la société et assiste le chef d’entreprise dans la gestion de ses biens. Il élabore un plan de sauvegarde ou de redressement, voire de cession.
Proposer des solutions
À l’issue de la période d’observation, l’administrateur présente des solutions au tribunal. Si ce dernier est favorable à la poursuite de l’activité de la société, l’administrateur négocie avec les banques un remboursement échelonné des dettes dans le temps. Si l’entreprise est, en partie ou totalement, reprise par un autre dirigeant, il se charge de régler les formalités liées à la vente. Lorsque toutes les mesures de sauvegarde ont échoué, le tribunal ordonne la liquidation de la société et fait intervenir un mandataire judiciaire.
Profil :
Juriste et gestionnaire, Outre des connaissances approfondies en droit (commercial, civil, social, fiscal), ce métier exige des compétences complémentaires en gestion, en finance et en comptabilité.
Négociateur et conciliateur, l’étude de dossiers et de colonnes de chiffres est loin de constituer l’essentiel des activités. Audiences au tribunal, rendez-vous avec les chefs d’entreprise, rencontres avec les représentants du personnel, les banques, les experts-comptables, les avocats des entreprises, etc. occupent également les journées de l’administrateur judiciaire. Si sa capacité d’analyse de la situation commerciale et financière de l’entreprise est essentielle, il doit aussi savoir communiquer dans un esprit de conciliation, de recherche d’accord entre l’entreprise et ses créanciers.
Tact et diplomatie, qu’il intervienne comme conseil, pour épauler un chef d’entreprise, ou dans un établissement en pleine crise, il doit faire preuve d’une grande capacité d’écoute et d’adaptation pour gérer des situations critiques. Tact et diplomatie, patience et compréhension sont autant de qualités exigées dans cette fonction. Les décisions sont lourdes de conséquences : à lui de les expliquer à ses interlocuteurs et de les faire accepter.

Catégories
Droits et justice

commissaire priseur

Une fois, deux fois, trois fois… adjugé, vendu ! Avant de prononcer cette célèbre formule, le commissaire-priseur inventorie les objets qui lui sont soumis, organise les ventes et dirige les enchères.
Fonctions :
Inventorier et expertiser Le commissaire-priseur procède à l’inventaire de la prise, c’est-à-dire de tous les biens qui lui sont soumis par décision de justice (liquidation, succession…) ou par un particulier : mobilier, tableaux de maître, objets d’art, argenterie… Il consigne leur provenance, date l’époque de leur fabrication, inscrit le nom de l’artisan, du peintre ou du joaillier, s’il est connu. Il estime ensuite la valeur de ces objets pour fixer leur prix de départ lors de la vente.
Organiser des ventes L’organisation d’une vente commence par la constitution d’un réseau, en démarchant des acheteurs potentiels. C’est pendant cette phase que le commissaire-priseur réalise le catalogue. Celui-ci présente les références artistiques et physiques des objets mis à la vente, leur époque et leurs dimensions. Les ventes peuvent être à thèmes (mobilier, voitures, bijoux…). Le commissaire-priseur peut également faire de la publicité dans la presse spécialisée ou régionale.
Faire monter les enchères Les enchères représentent l’aboutissement du travail du commissaire-priseur et révèlent tout son talent. Il y démontre sa capacité à se constituer un stock intéressant et une bonne clientèle, son habileté à présenter les objets, sa faculté à faire monter les enchères…
Profil :
Connaître les arts Il est impossible d’exercer ce métier sans une excellente culture et des connaissances approfondies en art : il ne s’agit pas d’approfondir une spécialité, mais d’être un très bon généraliste. Passionné par l’objet et son histoire, le commissaire-priseur doit pouvoir facilement identifier, dater un objet et ne faire appel à un expert spécialisé qu’en cas de doute.
Maîtriser le droit Sa formation juridique lui permet de bien connaître le marché de l’art, sa réglementation, son évolution… Il a des compétences en droit civil, commercial, notarial ou encore européen. Il doit aussi acquérir une pratique des estimations et prisées, des inventaires, des expertises et des partages.
Mettre en valeur Le commissaire-priseur doit avoir un sens certain de la mise en scène des œuvres, objets, ou pièces de mobiliers présentés sur catalogue ou en salle des ventes, afin d’en tirer le meilleur prix. Il les met en valeur afin de susciter de l’intérêt chez les acheteurs potentiels. À la fois expert, psychologue et acteur, il sait les convaincre et les séduire. La lecture régulière de « La Gazette de l’hôtel Drouot » lui permet de suivre le marché de l’art, en constante évolution.

Catégories
Droits et justice

clerc de notaire

Le clerc de notaire est un technicien du droit. Les actes dont il s’occupe sont d’une extrême diversité et souvent très techniques. De fait, il peut être amené à se spécialiser en droit fiscal, en droit des affaires ou encore en droit des sociétés.
Fonctions :
Le rôle du clerc de notaire dépend de son expérience et de l’importance de l’étude où il travaille.
A ses débuts, il peut avoir un rôle de réceptionniste, rédiger sous contrôle des actes notariés simples. A l’opposé, avec de l’expérience, le clerc peut se rendre indispensable et devenir le bras droit du notaire (premier clerc). Il travaille alors en étroite collaboration avec ce dernier.
Certains clercs peuvent se retrouver quasiment à la tête d’études notariales et ne pas éprouver le besoin de devenir notaire.
Le clerc de notaire doit maîtriser les rouages juridiques et maintenir à jour ses connaissances parce que le droit et la jurisprudence sont des matières en perpétuelle évolution.
Il reçoit la clientèle et doit donc être doté d’un très bon sens de l’écoute et des contacts humains. En effet, les clients arrivent parfois en consultation dans des situations délicates (comme un décès ou des conflits familiaux, par exemple).
Le clerc constitue et suit les dossiers. Il effectue des recherches, rassemble les pièces administratives.
Il doit se montrer particulièrement rigoureux dans la rédaction des actes, car ces derniers doivent respecter une forme légale et un langage précis.
Grande discrétion, sens du contact et des responsabilités sont des qualités indispensables.
Profil :
L’aptitude au travail et la rigueur : chaque dossier est différent et nécessite une implication sans faille.
Ensuite, votre sens du contact et votre diplomatie : effectivement, vous aurez affaire à des situations compliquées (décès, divorce, etc.), ou pour lesquelles il faut rester discret.