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MÉTIERS ressources humaines

RESSOURCES HUMAINES

la gestion des ressources humaines n’est pas un secteur économique mais une fonction transversale dont toutes les entreprises ont besoin. Gérer les relations sociales, valoriser les carrières, recruter de bons profils sont autant de facteurs déterminants pour la réussite d’une société, et qui demande des compétences professionnelles et humaines solides.

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Droits et justice

analyste juridique

Une carrière en informatique judiciaire peut allier la passion du numérique à des habiletés d’enquête dans les services policiers, juridiques, militaires ou commerciaux. Partout où on trouve des données – bref, à peu près partout –, les analystes en informatique judiciaire s’en servent pour poursuivre des criminels endurcis, des terroristes, des pirates informatiques et des escrocs à cravate.
Fonctions :
En fonction du domaine de l’entreprise où il travaille, il peut lui être demandé d’assurer la gestion et le suivi des dossiers. Après avoir effectué des recherches touchant au droit sur des sujets spécifiques, il rédige des accords commerciaux. Son but, d’un point de vue juridique, est de valider les documents et supports destinés à la clientèle : courriers, contrats et procédures. De plus, l’analyste juridique contribue à l’élaboration de procédures, la traduction de documents juridiques, et à la rédaction de rapports ou consultations. Il possède aussi un rôle stratégique. En effet il participe à la défense des intérêts de son entreprise dans l’instruction du dossier, la recherche d’éléments de preuve ou la collaboration avec les avocats.
La veille administrative, Il assiste par exemple les responsables juridiques dans leur rapport avec l’extérieur et leurs papiers. Son rôle réside dans le suivi des factures, ainsi que dans la veille documentaire des textes de loi et de la jurisprudence. Il doit préparer les dossiers en rassemblant les documents nécessaires aux procédures. Posséder les qualités relationnelles d’un secrétaire est aussi important afin de sauvegarder l’intérêt de son entreprise lorsqu’il sert d’interlocuteur avec les clients. En cas de litige, il répond aux réclamations et prépare les documents nécessaires

Profil :
• Avoir une fascination pour les aspects techniques de l’information numérique
• Avoir le souci du détail et faire preuve de persévérance
• Savoir sortir des sentiers battus pour réfléchir et résoudre des problèmes
• S’intéresser aux aspects judiciaires et commerciaux du crime informatique

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Droits et justice

assistant juridique

À l’aise aussi bien avec la bureautique qu’avec le vocabulaire juridique, le secrétaire juridique à la double compétence assiste les avocats, les huissiers, les notaires ou les juristes d’entreprise.
Fonctions :
Secrétariat classique Ce professionnel est d’abord un secrétaire : il accueille les clients, répond au téléphone, fixe des rendez-vous, tient l’agenda de son supérieur, assure la saisie des courriers et le suivi du règlement des factures, classe et archive les dossiers, organise les déplacements et les voyages.
Suivi des dossiers juridiques Le secrétaire juridique assure également une veille documentaire des textes de loi et de la jurisprudence, prépare les dossiers en rassemblant les documents nécessaires aux procédures. Il peut participer à la rédaction des notes de synthèse ou des conclusions. En entreprise, il aborde davantage des questions liées au droit des sociétés, au droit social (contrats de travail, procédures de licenciement, élaboration de dossiers pour les prud’hommes, formation professionnelle, etc.).
Accueil des clients Premier contact avec le client, le secrétaire juridique doit lui réserver le meilleur accueil, lui indiquer le juriste qui saura répondre à sa demande, mais aussi le tenir informé de l’évolution de son dossier en l’absence de son supérieur.
Profil :
Organisé, fiable et discret Le secrétaire juridique (généralement une femme) doit se montrer rigoureux, organisé, autonome et capable de prendre des initiatives. Aimable avec la clientèle, il sait aussi faire preuve de discrétion, car il est soumis au secret professionnel.
À l’aise à l’oral et à l’écrit La maîtrise de l’outil informatique, l’aisance dans l’expression orale et écrite sont évidemment indispensables. Chargé de saisir le contenu des dossiers, les conclusions adressées aux parties…, il doit connaître le droit et ses procédures. Parler au moins une langue étrangère (l’anglais) est souvent demandé par les employeurs.
Résistant au stress Aptitude à communiquer diplomatiquement en toutes circonstances, confidentialité, capacité d’adaptation… nombreuses sont les qualités relationnelles du secrétaire juridique. En cabinet, il lui faut également se montrer rapide, réactif, capable de gérer les priorités… et le stress.

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commissaire au compte

Le Commissaire Aux Comptes exerce une profession agrée dans tous les pays de l’union européenne. Son rôle est de contrôler la régularité et la sincérité des comptes annuels des entités qu’il contrôle. Il vérifie et garantie que les comptes annuels sont l’image sincère et fiable du patrimoine de l’entreprise, de sa situation financière et de son résultat. Il vérifie l’exactitude des comptes en fonction des normes en vigueur en se basant sur les justificatifs des opérations. Il a pour obligation de mentionner toute anomalie ou irrégularité qu’il découvre aux dirigeants de la société et aux actionnaires (voire au Procureur de la République). En fin de mission, le Commissaire Aux Comptes rédige un rapport général dans lequel il présente ses conclusions à l’assemblée générale de l’entreprise
Fonctions :
Le commissaire aux comptes a pour mission première de valider les comptes des entreprises de plus de 50 salariés et des sociétés anonymes. S’il découvre une irrégularité, il doit en avertir le conseil d’administration et les actionnaires puis, si besoin, le procureur de la République. Il est également chargé de certifier les comptes annuels remis aux actionnaires lors de l’assemblée générale d’une entreprise.

Rôle du commissaire aux comptes
Dans une entreprise, le commissaire aux comptes occupe une fonction légale de manière autonome et indépendante. Pour mener à bien sa mission, il va :
• prendre connaissance de l’environnement et des particularités de l’entreprise en s’entretenant avec ses dirigeants ;
• analyser tous les documents financiers et les comptes annuels d’une entreprise ;
• mener une enquête interne afin de contrôler la véracité et la régularité des comptes de l’entreprise ;
• indiquer au conseil d’administration ou au procureur de la République les irrégularités qu’il a pu découvrir ;
• certifier que les comptes sont en conformité avec les principes comptables (avec ou sans réserve), ou refuser leur certification s’ils ne correspondent pas à la réalité financière de l’entreprise ;
• jouer le rôle de conseil auprès du chef d’entreprise dans les domaines du droit fiscal et social, du droit des affaires et en matière de gestion.
Profil :
Le Commissaire Aux Comptes doit avoir une connaissance poussée des règles comptables et juridiques. Ses missions sont avant tout d’ordre légal et impliquent sa responsabilité pénale vis-à-vis des associés de ses sociétés clientes. Les règles déontologiques sont très présentes, de même que les normes professionnelles d’exercices qui régissent le déroulement de ses missions. La connaissance de ces règles et normes est la condition à l’exercice de la profession.
Le Commissaire Aux Comptes doit disposer de bonnes capacités relationnelles afin de travailler de façon optimale avec son client, sans s’imposer ni s’effacer. Il doit être un excellent analyste, savoir mesurer les risques et établir des seuils de contrôle. Ces qualités lui permettent la mise en place de procédures complètes pour ainsi effectuer ses travaux avec rapidité et assurance.

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juriste immobilier

le juriste apporte ses compétences à la fois en matière de prévention, de protection et de conseil. Il s’assure de la bonne tenue juridique des ventes et des acquisitions de biens immobiliers de ses clients ou de son agence. En d’autres termes, il vieille au bon respect du droit dans toutes les transactions et à l’intérêt de ses clients Il s’occupe de la rédaction d’actes juridiques. Il peut également participer aux opérations immobilières en analysant le plan d’occupation des sols, en effectuant le montage juridique de l’opération, en déposant le permis de construire, etc. Il répond à toutes les interrogations de manière rigoureuse.
Fonctions :
• Conseille et applique le droit immobilier envers les professionnels et les particuliers.
• Veille à la réalisation des dossiers administratifs et financiers/
• S’assure de la bonne tenue juridique des ventes et des acquisitions de biens immobiliers de ses clients ou de son agence.
• Apporte des réponses claires et précises en cas de litiges.
• S’assure que l’intérêt de ses clients soit parfaitement respecté et en conformité avec le droit juridique.
• Prend en charge ou délègue à d’autres professionnels la rédaction d’actes juridiques.
• Reste informé en permanence des dernières législations qui régissent le droit immobilier.
L’objectif ultime du juriste immobilier est d’apporter un soutien sans faille à ses clients lors de transactions immobilières en répondant à toutes les interrogations de manière claire et précise.

Profil :
un bon communicant :En raison des nombreux contacts qu’il entretient avec des interlocuteurs variés, ce poste nécessite de grandes qualités relationnelles ainsi que des capacités d’adaptation et de communication mais également une réelle curiosité d’esprit, un sens pratique développé et des facultés pour travailler en équipe. Il se tient informé en permanence des dernières législations qui régissent le droit immobilier par ailleurs.
Maîtrise du droit et l’outil informatique
Esprit de synthèse et d’analyse
Bon négociateur
Ténacité et rigueur
Qualités relationnelles, sens de l’écoute

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juriste d’entreprise

Protéger les intérêts de sa société sur les plans commercial, fiscal, social…, telle est la mission du juriste d’entreprise. Cela, qu’il soit généraliste ou spécialisé dans un domaine comme les contrats ou les contentieux.
Fonction :
Selon la taille de l’entreprise qui l’emploie, il peut effectuer des tâches variées de conseil, de documentation, d’administration ou faire partie d’un secteur juridique spécialisé, en tant que responsable du département des marques et brevets par exemple.
Pour exercer au mieux son travail, le juriste doit se tenir régulièrement informé de l’évolution de la législation en droit commercial, droit du travail, droit des contrats, etc.
De plus en plus souvent, le juriste affine ses compétences en se spécialisant dans des domaines porteurs : les contrats, la concurrence, le droit social, l’environnement, les brevets, la propriété intellectuelle… Les employeurs, en particulier les grands groupes, recherchent une expertise.
Profil :
Des solutions concrètes Doté d’une excellente mémoire, le juriste connaît parfaitement son domaine d’intervention : droit du travail, fiscalité, contrats, contentieux, droit immobilier… sans oublier le monde de l’entreprise, de l’économie et de la finance. Ses principaux atouts ? Utiliser ses connaissances de la législation en s’adaptant aux situations très concrètes qu’il rencontre et en apportant des réponses précises.
La pratique de l’anglais est devenue indispensable.
Rigueur et objectivité Aisance écrite et orale, capacité d’analyse et de synthèse associées à une grande rigueur sont des qualités indispensables pour comprendre la problématique d’un dossier et la résoudre. De plus, le juriste doit faire preuve d’objectivité, afin d’éviter de porter des jugements de valeur dans son interprétation de la législation.
Solides connaissances en droit (contrats, protection de la propriété industrielle, droit international…)
Aisance relationnelle, capacités rédactionnelles
Sens de la négociation et du travail en équipe
Esprit de rigueur, de synthèse et d’analyse
Connaissances en langues étrangères

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fiscaliste

Ses compétences sont précieuses lorsqu’une entreprise entreprend une opération importante comme une restructuration ou une fusion. Il est également l’interlocuteur de l’administration fiscale, pour le compte de l’entreprise. Ainsi, lors d’un contrôle, il sait trouver les arguments pour limiter les contentieux ou les redressements…
Le fiscaliste se doit de connaître sur le bout des doigts les dernières dispositions en vigueur et les utiliser au mieux. Ce qui suppose pour lui d’actualiser en permanence ses connaissances dans un univers particulièrement évolutif.
Fonctions :
L’objectif d’un fiscaliste est que son entreprise ou ses clients payent le moins d’impôts possible, car les taxes représentent une perte d’argent. Il faut donc les réduire le plus possible. C’est dans ce but que le juriste en droit fiscal doit :
• Trouver la meilleure option fiscale. Il s’agit de choisir le régime fiscal le mieux adapté aux besoins de chacun de ses clients. Le régime fiscal le mieux adapté est celui qui permettra de réduire les impôts au maximum sans risquer de redressement fiscal.
• Conseiller ses clients en matière fiscale. La législation fiscale évolue très vite et il est nécessaire de consulter un professionnel pour s’assurer de bénéficier de toutes les connaissances sur le sujet. Le fiscaliste doit connaître toutes les évolutions dans son domaine d’activité.

• Suivre l’activité juridique. Le fiscaliste doit connaître les lois fiscales et suivre leur évolution. Il doit tenir à jour sa documentation.
• Défendre les intérêts de ses clients. En cas de contrôle judiciaire, il devra justifier et défendre les choix de l’entreprise en matière fiscale afin que son client ou son entreprise ne subissent pas de redressement judiciaire.
• Eviter le redressement judiciaire. Le fiscaliste est également un garant. Son expertise en matière fiscale doit assurer à l’entreprise le respect des lois et des procédures auprès des pouvoirs publics.
Profil :
Le fiscaliste se doit de connaître sur le bout des doigts les dernières dispositions en vigueur et les utiliser au mieux. Ce qui suppose pour lui d’actualiser en permanence ses connaissances dans un univers particulièrement évolutif.
– Connaissance du droit et des règles de comptabilité
– Esprit d’analyse et de synthèse
– Capacités d’expression orale et écrite
– Rigueur et méthode
– Sens de la négociation

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mandataire pénal

Le médiateur est un tiers qualifié pour résoudre les conflits. Le juge fait appel à lui quand les parties sont d’accord pour résoudre un conflit de manière amiable mais sous le contrôle du juge.
Attention ! Cette fiche ne concerne que la médiation judiciaire, c’est-à-dire la médiation ordonnée par un juge, et non la médiation extrajudiciaire, à laquelle les parties peuvent elles-mêmes toujours décider d’avoir recours.
Fonctions :
• mise en place par le Parquet avec l’accord des parties
• c’est une mesure alternative aux poursuites pénales
En cas d’échec, le procureur de la République, sauf élément nouveau, met en oeuvre une composition pénale ou engage des poursuites.
La spécificité du médiateur familial
La médiation n’est pas limitée dans son domaine, elle concerne aussi les différends entre particuliers et les entreprises, et de manière générale, la matière civile et commerciale au sens large.
Cependant, elle est majoritairement utilisée dans le domaine du droit de la famille:
• pendant le mariage, pour des problèmes liés à l’éducation des enfants, les charges du mariage
• ou après le divorce, pour des problèmes liés à la pension alimentaire, l’aménagement du droit de garde
Profil :
Un Médiateur de justice doit être juste et disponible. Il sait faire preuve de diplomatie et de psychologie. Le Médiateur doit être calme, patient et attentif.
Le Médiateur de justice doit faire face à des personnes étant en conflit, qui peuvent être désagréables entre elles ou envers le médiateur.

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mandataire judiciaire

Le mandataire judiciaire représente les créanciers (salariés, Trésor public, fournisseurs, banques…) d’une entreprise placée en redressement judiciaire. En cas de liquidation de celle-ci, il est chargé de vendre les biens, de rembourser les dettes et de prononcer l’arrêt total de l’activité.
Fonctions :
Représenter les créanciers
Une entreprise dans l’incapacité de payer ses dettes peut être placée en redressement judiciaire par le tribunal de commerce ou de grande instance, à la demande des créanciers (salariés, clients, fournisseurs, banques…) représentés par le mandataire judiciaire. Ce dernier analyse les comptes, épluche les factures, vérifie le montant exact des dettes pour proposer des solutions de remboursement.
Procéder à la liquidation
Si les tentatives de redressement ont échoué, le tribunal ordonne la liquidation judiciaire de la société. Le mandataire (appelé alors liquidateur) procède à la vente des biens de l’entreprise, de l’artisan ou du commerçant, aux enchères ou à l’amiable. Il gère les licenciements et règle les sommes dues aux créanciers en fonction de leur rang (salariés, Trésor public, propriétaires des murs, créanciers nantis…). Lorsqu’un repreneur a été accepté par le tribunal, le mandataire procède à la cession de l’entreprise avec reprise partielle ou totale des salariés. Le liquidateur agit sous le contrôle d’un juge-commissaire, du procureur de la République et d’un commissaire aux comptes.
Vérifier les responsabilités
Collaborant, au cours de ses missions, avec tous les acteurs de la procédure (juges, patrons, créanciers, banques, salariés…), le mandataire apporte au juge sa connaissance du terrain et des dossiers. S’il constate des faits susceptibles d’engager la responsabilité pénale ou civile des dirigeants (faute de gestion, faillite personnelle, etc.), il saisit le procureur de la République.

Profil :
Spécialisé en droit, mais pas seulement Outre des connaissances approfondies en droit (commercial, civil, social, fiscal), ce métier exige des compétences complémentaires en gestion, en finance, et plus particulièrement en comptabilité.
Humain et diplomate, Le mandataire judiciaire doit faire preuve d’une grande capacité d’écoute et d’adaptation pour gérer, au mieux, des situations critiques. Ses décisions, lourdes de conséquences, doivent être expliquées à ses interlocuteurs et acceptées. Tact, diplomatie, patience, sens du contact et de la négociation sont autant de qualités exigées pour ce poste.
Respectueux et assermenté Soumis au respect de règles professionnelles et déontologiques très strictes, le mandataire judiciaire prête serment dès son accès à la profession. Il exerce sa mission dans la plus grande confidentialité et ne doit pas avoir d’intérêts communs avec le dirigeant (ou les créanciers). Il lui est expressément interdit d’exercer en parallèle une autre profession, afin d’éviter les conflits d’intérêts

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administrateur judiciaire

Une entreprise est dans l’impossibilité de payer ses dettes ? L’administrateur judiciaire, nommé par le tribunal, la prend sous sa responsabilité et s’efforce de la sauver. Cet auxiliaire de justice est un spécialiste du droit et de la gestion.
Fonctions :
Conseiller les entreprises, L’administrateur judiciaire a pour première mission le conseil aux entreprises qui rencontrent des difficultés financières, dans le cadre de procédures de prévention (conciliation et mandat ad hoc). Il aide les dirigeants à renégocier leurs dettes, à trouver des partenaires…
Diagnostiquer et assister, Lorsqu’une entreprise ne peut plus faire face au remboursement de ses dettes, une procédure judiciaire est engagée par le tribunal. L’administrateur judiciaire prend alors l’entreprise sous sa responsabilité afin qu’elle poursuive son activité ou soit reprise par de nouveaux actionnaires.
Pour mener à bien sa mission, il établit un diagnostic complet de la société et assiste le chef d’entreprise dans la gestion de ses biens. Il élabore un plan de sauvegarde ou de redressement, voire de cession.
Proposer des solutions
À l’issue de la période d’observation, l’administrateur présente des solutions au tribunal. Si ce dernier est favorable à la poursuite de l’activité de la société, l’administrateur négocie avec les banques un remboursement échelonné des dettes dans le temps. Si l’entreprise est, en partie ou totalement, reprise par un autre dirigeant, il se charge de régler les formalités liées à la vente. Lorsque toutes les mesures de sauvegarde ont échoué, le tribunal ordonne la liquidation de la société et fait intervenir un mandataire judiciaire.
Profil :
Juriste et gestionnaire, Outre des connaissances approfondies en droit (commercial, civil, social, fiscal), ce métier exige des compétences complémentaires en gestion, en finance et en comptabilité.
Négociateur et conciliateur, l’étude de dossiers et de colonnes de chiffres est loin de constituer l’essentiel des activités. Audiences au tribunal, rendez-vous avec les chefs d’entreprise, rencontres avec les représentants du personnel, les banques, les experts-comptables, les avocats des entreprises, etc. occupent également les journées de l’administrateur judiciaire. Si sa capacité d’analyse de la situation commerciale et financière de l’entreprise est essentielle, il doit aussi savoir communiquer dans un esprit de conciliation, de recherche d’accord entre l’entreprise et ses créanciers.
Tact et diplomatie, qu’il intervienne comme conseil, pour épauler un chef d’entreprise, ou dans un établissement en pleine crise, il doit faire preuve d’une grande capacité d’écoute et d’adaptation pour gérer des situations critiques. Tact et diplomatie, patience et compréhension sont autant de qualités exigées dans cette fonction. Les décisions sont lourdes de conséquences : à lui de les expliquer à ses interlocuteurs et de les faire accepter.

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commissaire priseur

Une fois, deux fois, trois fois… adjugé, vendu ! Avant de prononcer cette célèbre formule, le commissaire-priseur inventorie les objets qui lui sont soumis, organise les ventes et dirige les enchères.
Fonctions :
Inventorier et expertiser Le commissaire-priseur procède à l’inventaire de la prise, c’est-à-dire de tous les biens qui lui sont soumis par décision de justice (liquidation, succession…) ou par un particulier : mobilier, tableaux de maître, objets d’art, argenterie… Il consigne leur provenance, date l’époque de leur fabrication, inscrit le nom de l’artisan, du peintre ou du joaillier, s’il est connu. Il estime ensuite la valeur de ces objets pour fixer leur prix de départ lors de la vente.
Organiser des ventes L’organisation d’une vente commence par la constitution d’un réseau, en démarchant des acheteurs potentiels. C’est pendant cette phase que le commissaire-priseur réalise le catalogue. Celui-ci présente les références artistiques et physiques des objets mis à la vente, leur époque et leurs dimensions. Les ventes peuvent être à thèmes (mobilier, voitures, bijoux…). Le commissaire-priseur peut également faire de la publicité dans la presse spécialisée ou régionale.
Faire monter les enchères Les enchères représentent l’aboutissement du travail du commissaire-priseur et révèlent tout son talent. Il y démontre sa capacité à se constituer un stock intéressant et une bonne clientèle, son habileté à présenter les objets, sa faculté à faire monter les enchères…
Profil :
Connaître les arts Il est impossible d’exercer ce métier sans une excellente culture et des connaissances approfondies en art : il ne s’agit pas d’approfondir une spécialité, mais d’être un très bon généraliste. Passionné par l’objet et son histoire, le commissaire-priseur doit pouvoir facilement identifier, dater un objet et ne faire appel à un expert spécialisé qu’en cas de doute.
Maîtriser le droit Sa formation juridique lui permet de bien connaître le marché de l’art, sa réglementation, son évolution… Il a des compétences en droit civil, commercial, notarial ou encore européen. Il doit aussi acquérir une pratique des estimations et prisées, des inventaires, des expertises et des partages.
Mettre en valeur Le commissaire-priseur doit avoir un sens certain de la mise en scène des œuvres, objets, ou pièces de mobiliers présentés sur catalogue ou en salle des ventes, afin d’en tirer le meilleur prix. Il les met en valeur afin de susciter de l’intérêt chez les acheteurs potentiels. À la fois expert, psychologue et acteur, il sait les convaincre et les séduire. La lecture régulière de « La Gazette de l’hôtel Drouot » lui permet de suivre le marché de l’art, en constante évolution.

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clerc de notaire

Le clerc de notaire est un technicien du droit. Les actes dont il s’occupe sont d’une extrême diversité et souvent très techniques. De fait, il peut être amené à se spécialiser en droit fiscal, en droit des affaires ou encore en droit des sociétés.
Fonctions :
Le rôle du clerc de notaire dépend de son expérience et de l’importance de l’étude où il travaille.
A ses débuts, il peut avoir un rôle de réceptionniste, rédiger sous contrôle des actes notariés simples. A l’opposé, avec de l’expérience, le clerc peut se rendre indispensable et devenir le bras droit du notaire (premier clerc). Il travaille alors en étroite collaboration avec ce dernier.
Certains clercs peuvent se retrouver quasiment à la tête d’études notariales et ne pas éprouver le besoin de devenir notaire.
Le clerc de notaire doit maîtriser les rouages juridiques et maintenir à jour ses connaissances parce que le droit et la jurisprudence sont des matières en perpétuelle évolution.
Il reçoit la clientèle et doit donc être doté d’un très bon sens de l’écoute et des contacts humains. En effet, les clients arrivent parfois en consultation dans des situations délicates (comme un décès ou des conflits familiaux, par exemple).
Le clerc constitue et suit les dossiers. Il effectue des recherches, rassemble les pièces administratives.
Il doit se montrer particulièrement rigoureux dans la rédaction des actes, car ces derniers doivent respecter une forme légale et un langage précis.
Grande discrétion, sens du contact et des responsabilités sont des qualités indispensables.
Profil :
L’aptitude au travail et la rigueur : chaque dossier est différent et nécessite une implication sans faille.
Ensuite, votre sens du contact et votre diplomatie : effectivement, vous aurez affaire à des situations compliquées (décès, divorce, etc.), ou pour lesquelles il faut rester discret.

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notaire

Le notaire authentifie au nom de l’Etat des actes et des contrats et les conserve. Il intervient dans plusieurs domaines : droit de la famille, droit de l’immobilier et du patrimoine. Le conseil aux entreprises devient de plus en plus important.
Fonctions :
Le notaire est un officier public bénéficiant d’une délégation de puissance publique c’est à dire de l’Etat. Il est placé sous le contrôle de la chambre départementale ou interdépartementale des notaires dont il dépend et du Procureur de la République.
Sa mission première est d’authentifier les actes mais il est tenu également à une mission de conseil vis à vis de sa clientèle lors de la réalisation des actes : rédaction des contrats de mariage, des testaments, des règlements de succession. Il doit pouvoir rendre accessible ses connaissances juridiques. Le notaire peut aussi gérer les affaires de ses clients, notamment le patrimoine familial, immobilier et mobilier. Il peut jouer un rôle de conseiller en placements financiers pour faire fructifier un patrimoine. Le notaire est tenu au secret professionnel.
Son rôle de conseil auprès des entreprises se développe. Le notaire peut accompagner un créateur d’entreprise – en rédigeant ses statuts, en négociant son bail commercial – ou guider un particulier qui rachète un fonds de commerce. Il peut aussi faire du conseil juridique ou fiscal aux sociétés, au même titre que les avocats et les juristes d’entreprises.
Profil :
Être irréprochable
Le notaire est lié par le secret professionnel : une discrétion absolue s’impose. Des sommes d’argent importantes lui étant confiées, le sens des responsabilités et une honnêteté rigoureuse sont indispensables. Officier public, il doit faire preuve d’une totale impartialité dans la rédaction des actes ou contrats et dans la négociation des accords.
Expliquer et conseiller
Intervenant dans les dossiers touchant au droit de la famille (contrats de mariage, adoption…) et au droit immobilier, le notaire est incontestablement le juriste le plus souvent en contact avec le public. Il sait se montrer pédagogue pour informer le public sur la nature des actes et leurs conséquences.

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avocat

Un avocat est une personne qui a pour profession de plaider en justice pour ses clients. Traditionnellement, son rôle est de défendre ses clients, faire valoir leurs intérêts et les représenter devant la justice. L’avocat, également appelé défenseur, doit faire bénéficier ses clients de ses conseils avisés et rédiger les documents nécessaires aux traitements d’affaires juridiques. Il est à noter que les avocats sont répartis en trois grandes catégories: les avocats d’affaires, les avocats pénali
Comment devenir Avocat ? Retrouvez ici les missions, formation nécessaire, rémunération…

Fonctions:
Les missions de l’avocat sont toutes dirigées vers la défense des intérêts de son client dans un processus judiciaire. L’avocat a un rôle partial. Si les deux principales fonctions de l’avocat sont de représenter et de défendre ses clients, on peut identifier cinq missions:
• Représenter ses clients devant les organes de justice. Il parle au nom de ses clients devant les tribunaux.
• Défendre ses clients. Pour ce faire, l’avocat devra constituer un dossier, rédiger les pièces de ce dossier, accompagner ses clients dans toutes leurs démarches chez le juge, intervenir et plaider devant le tribunal.
• Assister ses clients dans leur prise de décisions, négocier avec les autres parties impliquées dans le contentieux.
• Rédiger les actes nécessaires à la justice ou à son client pour arriver à la résolution du conflit. L’avocat peut rédiger des actes dans les domaines les plus variés, un contrat de bail par exemple ou un contrat de propriété intellectuelle.

Profil :
Le métier d’avocat est très exigeant, il faut faire preuve de nombreuses qualités. Le défenseur doit se montrer très organisé dans son travail et être capable d’assimiler facilement une quantité très importante d’information car la Loi est vaste et parfois compliquée. Le conseil doit avoir une capacité d’analyse et un esprit de synthèse développés.
L’avocat est mené par le désir de faire respecter la loi. Il doit être irréprochable, c’est pourquoi l’éthique et la déontologie sont au centre de cette profession. Lors du serment que prononce le futur avocat, il promet de faire preuve de « dignité, conscience, indépendance, probité et humanité » dans l’exercice de ses fonctions. Le défenseur doit être digne de confiance et respecter le secret professionnel vis-à-vis de ses clients.
Un avocat est également un orateur de grande qualité. Souvent considéré comme quelqu’un d’éloquent, l’avocat doit convaincre son auditoire en usant d’argumentation et de logique. L’une des qualités essentielles d’un bon défenseur est la vivacité d’esprit et la réactivité pour savoir contrer les arguments de son adversaire, le procureur.
Les étudiants s’orientant vers cette carrière ne doivent pas négliger la dimension pédagogique de la profession d’avocat. Ils devront conseiller ses clients, leur donner des explications et souvent les convaincre. Il joue parfois le rôle d’un médiateur, voire d’un psychologue. D’ailleurs, l’avocat peut se trouver confronté à des situations très tendues ou même très dures, il doit faire preuve de force de caractère.

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administrateur de fonction publique

Les fonctions d’administrateur de la fonction publique se déclinent selon deux catégories de cadres : les administrateurs de la fonction publique d’État et les administrateurs de la fonction publique territoriale. Tous appartiennent au corps des hauts fonctionnaires de l’État. Dans ces deux domaines, leurs missions consistent en la conception, la concrétisation et la mise en œuvre d’orientations politiques à divers niveaux (collectivités locales et territoriales, ministères ou entreprises publique.
Comment devenir Administrateur de la fonction publique ? Retrouvez ici les missions, formation nécessaire, rémunération…
Fonctions:
L’administrateur de la fonction publique d’État, ou administrateur civil, se place au cœur de la mise en application de la politique du gouvernement. Ses fonctions ayant une vocation interministérielle, l’administrateur civil est théoriquement placé sous la tutelle du Premier ministre. Ses principales attributions sont les suivantes :
• Il est notamment chargé de définir les budgets et de concevoir des projets de loi ou des décrets.
• En fonction du cadre dans lequel il évolue, il est généralement en charge de préparer les objectifs et arguments afin de défendre un projet devant les instances compétentes.
• Au sein d’un ministère, il élabore le programme et les budgets afin de permettre l’action de l’État.

L’administrateur de la fonction publique territoriale, ou administrateur territorial, est quant à lui en charge de la direction stratégique des établissements des collectivités territoriales. Ses missions sont les suivantes :
• Il exerce auprès des élus territoriaux au sein des mairies, des conseils généraux, des conseils régionaux ou des intercommunalités.
• Il est souvent responsable de la conception et de l’application opérationnelle des politiques publiques déterminées par les élus.
• Il peut participer et diriger l’encadrement de ces collectivités : il gère la bonne coordination des services, la gestion des ressources humaines ou encore des systèmes d’information.

Profil :
La polyvalence et la perspicacité sont les atouts premiers de l’administrateur de la fonction publique : son niveau de responsabilités très élevé l’oblige à savoir appréhender une situation de façon synthétique et efficace. Souvent sollicité dans l’urgence, il sait prendre les bonnes décisions rapidement. Par ailleurs, souvent à la tête d’une équipe, il est un excellent meneur et communicant.

D’autre part, le milieu de la fonction publique comprenant nombre de codes qu’il est nécessaire de suivre, le respect de la hiérarchie et la discrétion sont deux exigences indispensables dont il faut savoir faire preuve.

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assistant de justice

À mi-chemin entre le statut d’étudiant et celui de professionnel, le « métier » d’assistant de justice n’en est pas véritablement un. On ne peut l’exercer au-delà de six ans. Les assistants de justice sont les collaborateurs des magistrats. Afin d’accroître la qualité et l’efficacité de l’activité judiciaire, les magistrats de toutes les juridictions leur délèguent une partie des travaux préparatoires aux jugements. Cette fonction est considérée comme un tremplin pour l’École Nationale de Magistrature. L’assistant s’est notamment révélé indispensable pour gérer l’accroissement des contentieux administratifs lors de l’introduction des référés.
Fonctions :
L’assistant de justice n’a aucun pouvoir juridictionnel et ne prend aucune décision. Il est chargé, par et pour les magistrats, de faire des recherches de documentation et de jurisprudence, de rédiger des notes de synthèse sur les dossiers et d’élaborer des projets de jugement.
Profil :
Pour devenir assistant de justice, il faut justifier d’un Master 1 en droit, même si la plupart d’entre eux sont titulaires d’un
Master 2. Il faut ensuite postuler dans la juridiction de son choix. Le recrutement se fait sur dossier et après entretien. Les magistrats sont très exigeants : seuls les meilleurs étudiants sont choisis (mentions, stages divers, motivation…).

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juge

Un juge a pour mission de rendre un jugement en appliquant la loi. Travaillant en totale impartialité, le magistrat étudie les dossiers et écoute tous les intervenants du procès avant de rendre la justice.

Fonctions :
Indépendant du pouvoir, un magistrat du siège est un agent public qui ne peut être révoqué ou muté. Dès sa titularisation, il prend en charge de grandes responsabilités. Les décisions qu’il prend sont susceptibles de changer la vie des citoyens. Il n’est cependant pas seul pour rendre un jugement. Il prend en compte les argumentaires des deux parties du procès mais aussi de collaborateurs du droit, d’experts ou de travailleurs sociaux.
Rôle du magistrat
selon la fonction de sa spécialité, un juge va
• étudier le dossier qui lui est confié ;
• enquêter pour trouver d’éventuelles preuves ;
• mener une reconstitution ;
• préparer les audiences ;
• interroger les victimes et les accusés ainsi que les avocats ;
• prendre en considération les avis des experts et travailleurs sociaux ;
• ordonner des dommages et intérêts ;
• fixer des peines et des sanctions ;
• annoncer le verdict à la fin du procès.

Profil :

La première qualité d’un juge est sans conteste son impartialité.
Un magistrat dans l’exercice de ses fonctions doit se débarrasser de son vécu, de ses expériences personnelles ou de ses préférences politiques. Il est le garant de la justice, et ne peut se permettre de juger selon ses sentiments. Il applique simplement les règles législatives en vigueur.
Mais le métier de juge demande aussi une bonne dose d’humanité. Avec une conscience de la gravité de ses décisions, il doit écouter attentivement les deux parties ainsi que les avis des experts et les recommandations d’éducateurs ou d’assistantes sociales par exemple.
Un magistrat doit aussi tenter de concilier l’accusateur et l’accusé, d’apaiser les tensions.
Il va sans dire qu’un juge doit maîtriser le droit en général et le domaine dans lequel il est spécialisé particulièrement. Un bon juge ne doit pas être arrogant, mais il doit faire preuve d’humilité. Il est capable de rester concentré pendant de longues heures tout en restant réactif pour ne pas omettre le moindre détail d’un procès. Professionnel du droit intègre et autonome, il doit s’efforcer de trouver la vérité et savoir un rendre un jugement équitable en fonction des faits.

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Droits et justice

droit et justice

Les métiers du droit et de la justice : des longues études de droits peuvent mener a exercer de divers métiers ; avocats, juristes, magistrats, notaires… Sous des statuts divers et dans des lieux différents.
Un métier du droit et de la justice peut être défini par l’association de quatre critères :
la rigueur est la première compétence requise.
Nécessite de posséder au moins de bonnes notions d’anglais et de français
Organisation, rapidité et disponibilité
Travailler en équipe
La formation du métier en général :
A l’université : des diplômes de bac+2, bac+3 à bac+5 :
Chaque année, des milliers d’étudiants débutent une licence de droit à l’université, attirés par le côté généraliste de la formation. Il faut savoir cependant que la charge de travail y est importante. Les plus rigoureux n’auront pas de mal à y arriver et pourront même accéder à l’un des dix masters de droit permettant de se spécialiser dans un domaine particulier (Masters pro) ou de préparer les concours (Master Recherche).
Si vous avez déjà un bac+2, vous pouvez choisir de vous spécialiser en un an grâce à une licence professionnelle, ou en trois ans pour atteindre un niveau Master dans le cadre d’un IUP.

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Recherche & développement

technicien de laboratoire de contrôle

Le technicien de laboratoire de contrôle réalise des analyses en vue d’évaluer la qualité des produits dans le respect de la réglementation et des règles d’hygiène et sécurité.
• Réalisation d’analyses sur les matières premières et les produits en cours de fabrication et finis
• Contrôle de la qualité des matières premières et des produits aux différents stades de la production
• Rédaction des comptes rendus d’analyses de contrôle
• Proposition de modifications des modes opératoires ou des techniques d’analyse
• Etalonnage des instruments de mesure pour les contrôles qualité
• Qualification des équipements de contrôle
• Définition et validation de nouvelles méthodes de contrôle qualité
• Coopération avec les équipes de production dans l’évaluation des problèmes qualité
• Support au contrôle en cours des techniciens de production
Capacité à :
• Organiser et planifier son travail en priorisant ses activités, en adaptant les actions et en intégrant les contraintes et aléas
• Vérifier les propriétés chimiques et/ou biologiques d’un produit ou de ses composants
• Rédiger des comptes- rendus d’analyses
• Utiliser des techniques et les outils analytiques de laboratoire de contrôle et les logiciels dédiés
• Lire des documents techniques en anglais
• Transmettre des savoirs et savoir- faire sur les différentes techniques de contrôle
• Respecter les modes opératoires, les règles et les procédures
• Renseigner et analyser les tableaux de suivi
• Analyser les composants d’un système
• Diagnostiquer un problème, une défaillance, une anomalie et proposer des solutions pertinentes
• Contrôler et vérifier la conformité des pratiques et/ou des outils aux règles en vigueur
formations :
Bac +2 à bac +3 dans un domaine technique et/ ou scientifique (sciences de la vie ou chimie)

Expérience demandée :
Le métier de technicien de laboratoire de contrôle est accessible aux débutants

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Recherche & développement

chargé de recherches et développement

Le chargé de recherche et développement réalise des travaux d’études dans le cadre d’un projet défini, dans le respect de la réglementation et des règles d’hygiène et sécurité.
• Elaboration d’un cahier des charges avec l’aide du groupe pluridisciplinaire, dans le respect d’un planning et d’un budget qu’il propose.
• Conception et réalisation d’expériences scientifiques / technologiques
• Définition des protocoles, des moyens matériels et des méthodes de ces expériences
• Analyse et interprétation des résultats de ces expériences scientifiques ou technologiques
• Rédaction des procédures, des hypothèses de recherche et des modèles
• Contrôle de la cohérence des résultats des expériences par rapport aux hypothèses
• Rédaction de rapports et publications d’études scientifiques/technologiques
• Présentation des résultats des études en interne et en externe
• Réalisation de la veille scientifique et/ou technique
• Identification de nouvelles pistes scientifiques et techniques au cours des expériences
• Conception et transmission de méthodes et résultats innovants susceptibles de valorisation au titre de la propriété industrielle
• Supervision technique des activités sous traitées
• Elaboration et respect des planning et budgets validés
• Participation, le cas échéant, à l’établissement des dossiers de marquage CE
Capacité à :
• Analyser de manière critique et synthétiser les données et résultats obtenus, le cas échéant à l’aide de logiciels informatiques ou d’outils d’analyse
• Modéliser un système (vivant ou fabriqué)
• Formaliser des procédures
• Identifier et diagnostiquer les dysfonctionnements et/ ou les anomalies et proposer des solutions pertinentes
• Comprendre les contraintes et les fonctionnalités bio-médicales attendues
• Etre force de proposition afin d’anticiper, de rester à niveau et d’améliorer les techniques de recherche
• Communiquer par oral et par écrit de manière claire sur le déroulement et sur les résultats d’une étude
• Intégrer les contraintes réglementaires, budgétaires et les bonnes pratiques
• Travailler en mode projet et dans une équipe pluridisciplinaire
• Piloter des sous-traitants
• Maîtriser l’anglais technique / scientifique
• Concevoir desmodes opératoires en adéquation avec les protocoles de recherche
• Détecter de nouvelles pistes de recherche au cours des expériences scientifques/ technologiques
Formations :
Médicament vétérinaire, Diagnostic in vitro :
• Bac +5 en sciences de la vie,
• Vétérinaire,
• Biologiste
Médicament à usage humain :
• Bac +8 en biologie ou chimie
Technologies médicales et dispositifs médicaux, Dispositifs de soins médicaux, Diagnostic in Vitro, Optique :
• Ingénieur électronique, mécanique…